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TRIBUNE - La charge de l’ancienne ministre Najat Vallaud-Belkacem contre Didier Leschi, lors d’un débat télévisé, est révélatrice d’une tactique consistant à discréditer son adversaire dès qu’il aborde les questions migratoires. Cette «stratégie de l’étouffoir» condamne la gauche à la marginalisation.
Dominique Reynié est professeur des universités à Sciences Po et directeur général de la Fondapol (think-tank de droite).
L’immigration est-elle un sujet légitime d’information et de débat ? La Fondapol vient de publier, en partenariat avec l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (l’OID), une note intitulée « L’immigration afghane en France ». Un événement de grande ampleur. Son auteur, Didier Leschi, est l’un des mieux informés sur le sujet. Préfet, il est le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (l’Ofii). L’immigration afghane est un problème trop mal connu compte tenu de son importance croissante. En effet, en 2007, l’Insee recensait 1600 Afghans sur le territoire national. En 2025, si leur nombre est impossible à connaître précisément, comme toujours dans ce domaine, il dépasse sans aucun doute 100.000.
Le 11 juin dernier, lors d’une émission de la nouvelle chaîne de télévision T18, qui a succédé à C8, Didier Leschi est invité…