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Avec une incroyable prudence – et dissimulant l’origine des établissements concernés –, les médias ont relayé une information qui met directement en cause les pratiques alimentaires de l’islam. Ainsi, dans l’Aisne, deux boucheries musulmanes ont été fermées à la suite d’intoxications alimentaires graves ayant entraîné, entre autres, le décès d’une petite fille.
Et on ne pourra pas accuser l’extrême droite d’être derrière tout ça puisque c’est l’agence régionale de Santé qui, à la suite d’une enquête, a procédé à la fermeture des deux établissements halal : « Les investigations menées par Santé publique France autour des cas d’infection alimentaire constatés depuis le 12 juin dans l’agglomération de Saint-Quentin ont donné des premières informations. Il s’avère que les enfants malades ont consommé de la viande ou des produits à base de viande issus de deux établissements quelques jours avant les symptômes. »
L’Aisne, pour moi, c’étaient surtout les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, entre le Moulin de Laffaux et Berry-au-Bac, les deux extrémités de la bataille du Chemin des Dames, sans oublier le village disparu de Craonne au pied du plateau de Californie et haut lieu de la tragédie des Poilus, le bois Belleau où les Marines américains menèrent une lutte acharnée contre les Allemands. Mais en passant par Soissons, Villers-Cotterêts, Château-Thierry et quelques autres communes du département, j’ai pu voir de mes propres yeux l’invasion migratoire et le changement de population.
Changement de population qui implique des changements de mœurs, dont le halal est un élément majeur et invasif. Par exemple, des abattoirs le pratiquent en tout opacité et nous ignorons parfois que nous consommons de la viande halal.
Toutes choses contre lesquelles Alain de Peretti – vétérinaire et président de Vigilance halal – nous alerte inlassablement depuis des années :
Il serait temps que les pouvoirs publics protègent la population française contre des pratiques rituelles non seulement atroces pour les animaux – que les défenseurs de la cause animale dénoncent du bout des lèvres pour ne pas devenir d’infâmes « racistes » – mais encore inadmissibles du point de vue sanitaire, quand on sait que des restaurateurs français sont harcelés au moindre manquement aux règles.
En attendant, le halal fait partie de l’entrisme islamique, c’est une réalité que tous les islamo-gauchistes ne peuvent dissimuler. En effet, le hala s’insinue un peu partout avec comme ambition de devenir la norme et ce jusque dans les cantines scolaires :
Le halal, on pourrait le qualifier ainsi : un djihad alimentaire…
Charles Demassieux
French (CA)