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D’après un article d’Andrew McIntosh et Carolyn Jarvis publié sur Global News le 2 juillet 2025
En décembre 2020, le gouvernement Trudeau a annoncé la création d’un Programme de soutien aux victimes d’une vaccination (VISP), censé venir en aide aux Canadiens gravement victimes de problèmes de santé à la suite d’une vaccination contre la COVID-19. Doté de 50 millions de dollars, le programme devait offrir des indemnisations, des remboursements médicaux et une compensation pour perte de revenu. Or, selon une enquête approfondie de Global News menée par Andrew McIntosh et Carolyn Jarvis, ce programme laisse de nombreuses victimes dans un état d’abandon et de désespoir.
Kimberly MacDougall a vu son mari, Stephen, mourir à 45 ans des suites d’une myopéricardite causée par le vaccin. Malgré une compensation maximale équivalant à trois années de salaire, elle affirme que le montant est insuffisant face à la perte d’un père de famille et professionnel accompli. Le programme n’a couvert que 15 séances de thérapie familiale, à moitié remboursées au départ. L’avocate Lori Stoltz, mandatée par la famille, a dénoncé un manque d’humanité criant de la part du programme.
D’autres Canadiens témoignent de délais interminables, de rejets arbitraires et d’un traitement déshumanisé. Becky Marie Campbell, enseignante en Colombie-Britannique, a perdu sa mobilité peu après sa vaccination. Son propre médecin a appuyé sa demande, mais elle a été rejetée par des médecins anonymes du VISP qui ne l’avaient jamais rencontrée.
Mike Becker, ancien technicien en ameublement, souffre de thromboses sévères depuis son injection. Sa demande a été refusée sous prétexte qu’un test manquant empêchait de prouver un lien direct. Il a lancé un appel, mais n’a reçu aucune réponse pendant deux ans, jusqu’à ce qu’on lui apprenne que son dossier avait été fermé par erreur.
Kayla Pollock, assistante en maternelle, vit aujourd’hui en fauteuil roulant. Son dossier est toujours bloqué à l’étape de l’« intake » depuis 2022. Faute de soutien, elle a perdu son logement, vu son fils partir vivre ailleurs, et dit avoir envisagé l’aide médicale à mourir. « Il me coûte plus cher d’être en vie que d’être morte », affirme-t-elle.
Ross Wightman, atteint du syndrome de Guillain-Barré, a reçu une indemnisation, mais critique la lenteur des remboursements et l’instabilité de la gestion : dix gestionnaires de dossier se sont succédé. Il a dû emprunter à sa famille pour survivre en attendant les versements.
Shannon Dupont, travailleuse sociale manitobaine, a perdu sa carrière après avoir subi plusieurs effets secondaires graves. Deux ans après sa demande, elle a reçu une somme unique de 24 294 $, mais VISP lui doit encore 180 000 $. Elle vit désormais de crédits et a épuisé ses économies.
L’enquête révèle qu’Oxaro Inc., firme privée chargée d’administrer le programme, a reçu 50,6 millions $, dont 33,7 millions $ ont servi à l’administration, ne laissant que 16,9 millions $ aux victimes. Sur plus de 3 000 demandes, 1 700 restent non traitées.
Le ministère de la Santé publique, sous la nouvelle ministre Marjorie Michel, affirme vouloir revoir le contrat d’Oxaro et apprendre des meilleurs modèles internationaux. « Toutes les options sont sur la table », dit-elle. Mais pour ceux et celles qui souffrent en silence, comme Pollock ou Campbell, les promesses sonnent creux. « On dirait qu’ils attendent qu’on meure pour que le problème disparaisse », conclut Dupont.