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De Callac à Moulins, la « gauche » est devenue la peste rouge

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Il fut un temps où la population voyait le paysage politique de la manière suivante : la gauche était généreuse, pour la justice sociale, pour la défense des libertés, pour la liberté d’expression et considérant son sort lié à celui des autres peuples même si elle revendiquait la « préférence nationale », condamnant notamment l’immigration en cas de chômage « car cela venait voler le travail des ouvriers français ». C’était le temps où la gauche luttait pour le socialisme.

De l’autre côté, il y avait la droite, dure sur les libertés, soutenant les exploiteurs, n’hésitant pas à recourir à la répression pour mater les « travailleurs », patriote et ne se sentant nullement un destin commun avec les autres peuples. Cette droite était pour le capitalisme et entendait bien faire perdurer ce système en s’opposant frontalement à ceux qui se battaient pour le socialisme. Bref, d’un côté les bons et généreux, de l’autre les sans-cœur, exploiteurs et indifférents à la justice sociale, donc les méchants. Cette vision simpliste et manichéenne fut néanmoins une réalité qui dura pendant des décennies, jusqu’à l’arrivée de Mitterrand au pouvoir pour rester simple.

À partir des années 80 tout va changer. En 1982 Mitterrand se convertit définitivement au libéralisme de Thatcher et Reagan, abandonnant de facto son combat pour le socialisme. En 1983 il concrétise sa conversion en instaurant la politique de « rigueur » qui est l’exact contraire de tout ce qu’il avait promis en 1981 pour arriver au pouvoir. Ce virage sur l’aile se double d’un ralliement sans faille à l’Europe supranationale. Pour réaliser ce bouleversement idéologique et politique, Mitterrand aura un indéfectible complice : Jacques Delors. C’est ce dernier qui, à la tête du ministère de l’Économie et des Finances, mettra en œuvre la politique de « rigueur ». C’est aussi lui qui, à la tête de la Commission européenne de janvier 1985 à fin 1994, va en tandem avec Mitterrand jeter les bases de l’Europe que nous connaissons actuellement grâce à la révolution qu’ont constituée les accords de Maastricht en 1992, sonnant le glas de la souveraineté des États membres de l’Union européenne et instaurant par la même occasion la dictature des instances européennes alors qu’aucune n’est élue (sauf le Parlement européen qui n’a que très peu de pouvoirs).

Sur le plan politique, le PS va également acter cette « révolution » en abandonnant officiellement le combat pour le socialisme, imitant ce qu’avait fait en 1959 le parti socialiste allemand au congrès de « Bad-Godesberg », congrès mythique du PS allemand au cours duquel fut décidée la rupture avec le marxisme. Le PS français abandonnera la lutte pour le socialisme lors de son congrès de Rennes en 1990. Quant au PCF, les 4 ministres communistes du gouvernement de Mitterrand furent son chant du cygne. Depuis, ce parti n’a cessé de s’effondrer pour n’être plus de nos jours qu’un groupuscule obtenant autour de 2 % lors des élections. Enfin, les Verts n’étaient à cette époque qu’un « joyeux bordel » constitué d’une multitude de petits groupes incapables de s’entendre entre eux. Ce n’est que beaucoup plus tard que les Verts s’uniront en formant un courant politique.

Il est essentiel de garder en mémoire que Mitterrand eut durant cette période une idée « géniale » mais absolument machiavélique : la « lutte antifasciste ». À cette époque, le FN commençait à se faire connaître. Pour éviter que la colère populaire ne se retourne contre le gouvernement pratiquant la « rigueur », Mitterrand prétendit qu’il existait avec le FN un « danger fasciste » et qu’il fallait prioritairement le combattre. Comprenez : quiconque s’élève contre la politique de rigueur au lieu de se mobiliser contre le FN est un traître à la gauche. Cela eut d’autant plus d’effet qu’en septembre 1983 eurent lieu les élections municipales de Dreux où une liste RPR-FN remporta les élections et gagna la mairie.

À cette époque Chirac déclara : « Ceux qui ont fait alliance avec les communistes sont définitivement disqualifiés pour donner des leçons en matière de droit de l’homme et de règles de démocratie.(…) Cela n’a aucune espèce d’importance d’avoir quatre pèlerins du FN à Dreux comparé aux quatre ministres communistes au Conseil des ministres » [de Mitterrand]. Depuis la pression de la gauche n’a cessé d’augmenter sur ce thème et la droite classique et le centre se sont couchés devant les moralistes de la gauche. Pourtant Jospin, interrogé le 29 septembre 2007 sur France culture, déclarera : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste, donc tout antifascisme n’était que du théâtre. ». Un théâtre, sans aucun doute, mais qui près de 20 ans après cette déclaration fait toujours salle comble !

Le second virage majeur fut pris en 2011, avec le rapport du think tank du PS, « Terra Nova ». Il provoque la décomposition politique de ce qu’il reste de la gauche, dans le wokisme qui substitue la « lutte des races » à la lutte des classes. Et très logiquement, la gauche décide de changer d’électorat. Fini la recherche du vote des couches populaires, place au nouvel électorat : les « racisés » (les immigrés et tout ce qui n’est pas blanc), les minorités sexuelles, les féministes ayant comme ennemi l’homme blanc hétérosexuel de plus de 50 ans, les jeunes (qui ne connaissent pas grand-chose grâce à l’école et ne réfléchissent guère), les écologistes (qui parlent de tout sauf de la nature et de sa protection).

Pour tous, l’ennemi, c’est le Blanc et tous ceux qui défendent des notions comme la famille « normale » avec un père, une mère et des enfants. La gauche veut la mort du patriarcat. De même qu’est déclaré ennemi de la gauche quiconque défend la France, ses frontières, son identité, sa culture et souhaite décider qui a le droit de venir s’y installer ou doit quitter son territoire. Et logiquement, pour la gauche qui est devenue mondialiste, chacun doit pouvoir venir comme il veut et ceux qui sont contre sont simplement des racistes. La LFI de Mélenchon le revendique ouvertement : ils veulent une nouvelle France, créolisée, c’est-à-dire dans laquelle le peuple français aura été dissous. Et pour faire disparaître la France, tout est bon. Notamment le combat contre l’histoire de France. Elle doit être effacée afin que la nouvelle France n’ait aucun lien avec l’ancienne. C’est pour cela que le Puy du Fou, magnifique spectacle initié par Philippe de Villiers, ayant reçu le titre de meilleur spectacle mondial, est vomi par cette gauche qui refuse toute glorification de la France historique.

De même, toute commémoration du même genre voit la gauche se déchaîner contre afin de faire interdire de tels spectacles et leur supprimer toute subvention. C’est le combat actuel mené dans l’Allier autour de la possibilité ou pas du spectacle historique « Murmures dans la cité » les 11, 12 et 13 juillet, d’avoir lieu. Le dénommé Présumey, un dirigeant de la FSU (syndicat gauchiste d’enseignants) et Laurent Indrusiak (dirigeant de la CGT de l’Allier) sont dans tous leurs états et se dépensent sans compter depuis des mois pour priver le spectacle de subvention et même le faire interdire. Ils sont les fers de lance de cette offensive liberticide. Il serait injuste d’oublier de mentionner le collectif prétendument laïque et républicain, regroupement d’associations, de syndicats et de partis (CGT, LFI, Ligue de l’Enseignement, Parti socialiste, Parti communiste, Mouvement de la Paix, etc.) qui avaient décidé, eux aussi, d’unir leurs forces pour faire interdire ce spectacle.

À ceux qui s’interrogeraient pour savoir pourquoi cet acharnement contre un spectacle historique, la réponse est fort simple : pour ces gens qui veulent détruire notre pays, l’histoire commence en 1789 avec la Révolution française, et les 13 siècles qui précèdent (depuis le baptême de Clovis en 496), cela n’a pas existé ou n’a aucun intérêt. En fait pour être plus précis, l’histoire de France commence pour eux en 1793 avec la Terreur dont le génocide des Vendéens est l’exemple le plus frappant. Et leur conception peut se résumer ainsi : vous n’êtes pas d’accord avec nos conceptions, vous ne méritez que la mort. Mais comme aujourd’hui on ne peut pas faire comme en 1793, on se limite à tout faire pour vous faire taire. C’est là qu’on mesure le chemin parcouru et le gouffre dans lequel la gauche est tombée. En 1981, Mitterrand acceptait la généralisation des « radios libres » afin que la liberté d’expression puisse s’exercer. Aujourd’hui la gauche fait l’inverse. Son combat est pour faire taire tous ceux qui n’acceptent pas leur doxa.

Mais je pense qu’il faut aller plus loin dans l’analyse car en rester à ce constat est insuffisant.

Tout d’abord, notons que dans l’histoire du XXe siècle, le régime qui pratiqua de manière industrielle ces méthodes fut le régime communiste, devenant rapidement stalinien, de l’URSS. Staline accusait tous ses opposants d’être des « fascistes ». La presse (Pravda) était sous contrôle et ses journalistes des plumes serviles et sans honneur. Les procès contre les opposants étaient tous truqués et aboutissaient invariablement à la mort des accusés (procès de Moscou d’août 1936 à mars 1938) ou à leur déportation. Les camps de travail et de déportation furent légion et y virent mourir des millions d’hommes et de femmes. Enfin, le mensonge et la victimisation sont intimement liés au mot communisme ou communiste. Ainsi le PCF dans la lutte contre le fascisme se présente comme le « parti des fusillés » ayant été particulièrement persécuté alors qu’il a soutenu le pacte germano-soviétique, prôné la fraternisation avec les troupes nazies d’occupation, demandé la reparution légale de l’Humanité à la Kommandantur de Paris, et son secrétaire général a déserté et est allé se planquer en URSS pendant toute la guerre. Mais aujourd’hui tout cela est caché et les communistes refusent qu’on dise qu’ils ont été autre chose que des résistants.

Ce qui est le plus remarquable, c’est que d’un bout à l’autre de la France, on retrouve au sein de cette gauche dégénérée les mêmes comportements renouant avec les pires pratiques du stalinisme.

Tout d’abord une hargne sans borne contre leurs opposants qui ont la chance de vivre aujourd’hui dans un pays différent de ce qu’était l’URSS, sinon ils finiraient dans un camp ou avec une balle dans la nuque comme dans les caves de la Lubianka.

Ensuite une férocité contre tout moyen d’expression qui n’est pas en accord avec ce qu’ils considèrent « politiquement correct ». L’objectif est clairement affiché : faire fermer les médias concernés (CNews, Europe1, Frontières…) et faire taire les individus déviants à l’aide de multiples lois (Pleven, Gayssot, Taubira…) grâce à des actions en justice financées avec les subventions (nos impôts) que touchent ces structures.

Et puis, il y a un autre aspect qui n’est pas un détail : au plan individuel, agir ainsi étant peu glorieux quand on se prétend attaché à la liberté, il faut inventer une raison pour justifier de tels comportements. La solution est de se victimiser. Et c’est d’ailleurs le cas à chaque fois. Ainsi, à Callac où la gauche et l’extrême gauche ont pris une véritable gifle et ont retiré leur projet d’invasion du village par des centaines d’Africains, ils se sont victimisés après leur défaite. Des accusations de menaces de mort ont été entendues, de prétendus coups de téléphone anonymes en pleine nuit, des lettres ou mails de menaces… etc. Mais aucune preuve n’en a été donnée. Les gendarmes n’ont arrêté ni poursuivi personne. Quant à moi, j’ai été traîné au tribunal (avec Christine Tasin) où nous avons gagné. Et enfin et surtout, là aussi il y avait un « résistant », le dénommé Erwan Chartier (celui qui m’a traîné au tribunal), journaliste de son état dans un tout petit journal local. Ce monsieur a même écrit un petit livre (Callac de Bretagne ou les obsessions de l’extrême droite française)… 144 pages quand même. Il fit même le tour de la Bretagne pour expliquer aux Bretons que le fascisme était à nos portes et que l’heure était grave. La seule chose qu’il refusa de dire, c’est que le plan de Callac a été retiré parce que la population était contre !

Dans l’Allier on constate les mêmes profils et les même façons de faire à propos du spectacle « Murmures dans la cité ». Les enragés de gauche sentent qu’ils vont perdre et que le spectacle va avoir lieu. Alors comme à Callac, il paraît que certains ont reçu des menaces de mort, sont menacés… etc. Il paraît aussi que les fachos sont très très très méchants et représentent un vrai danger. Comme moi, Riposte Laïque va sans doute se retrouver traînée au tribunal et bien sûr il y a, comme à Callac, des « résistants », les sieurs Présumey et Indrusiak. C’est cousu de fil blanc… les mêmes méthodes grossières et accusations minables, inversant totalement la réalité.

Une dernière réflexion d’ordre général. D’un bout à l’autre du pays, on constate les mêmes comportements liberticides de cette gauche, les mêmes méthodes reprises du stalinisme, les mêmes accusations plus débiles les unes que les autres, les mêmes délires sur le prétendu danger fasciste qui menacerait le pays. On me permettra de dire que pour accepter d’agir ainsi et professer de tels discours, alors que tout montre que c’est faux, il faut certaines prédispositions mentales. Je ne suis pas médecin et encore moins psychiatre, mais il me semble que voir des complots partout et avoir des obsessions de la sorte, ça doit porter un nom. En cherchant je trouve le terme « paranoïa ».

Doctissimo en donne la définition suivante : « La paranoïa est un trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres, une sensation de menace permanente et un sentiment de persécution. ». Il me semble qu’un étudiant en médecine cherchant une thèse de doctorat pourrait utilement se pencher sur le sujet en prenant pour objets d’étude quelques individus bien représentatifs de ce qu’est cette gauche actuelle.

Reste que pour moi, au plan général, la gauche est devenue une authentique peste rouge.

Bernard GERMAIN

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