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Cuba : Cuba donne une réponse Historique aux USA et rejoint les BRICS, fin de l’isolement ?

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Cuba donne une réponse Historique aux USA et rejoint les BRICS, fin de l’isolement ?

Publié le 4.7.2025 à 09h26 – Par Ryan Clarke – Temps de lecture 11 mn

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Cuba et les BRICS : le cauchemar américain servi sur un plateau

Oh, quelle surprise délicieusement amère pour l’Oncle Sam ! Après plus de 60 ans à essorer Cuba avec des sanctions aussi absurdes qu’inutiles, voilà que La Havane, ce petit caillou rebelle à 90 miles de la Floride, claque la porte de l’isolement et s’invite à la table des BRICS. Oui, oui, les BRICS : Chine, Russie, Inde, Brésil, Afrique du Sud un club qui sent bon la défiance et qui doit donner des sueurs froides à Washington. Fini le tête-à-tête avec l’embargo, Cuba se paye une nouvelle bande d’amis, et pas des moindres !

C’est presque trop beau pour être vrai.

Pendant des décennies, les États-Unis ont joué les gros durs, pensant qu’en strangulant l’économie cubaine, ils forceraient ce peuple têtu à ramper à leurs pieds. Résultat ? Un échec monumental ! Cuba ne plie pas, Cuba rejoint les puissances qui rêvent d’un monde sans les leçons de morale américaines. Et pour l’Amérique latine, c’est une petite révolution : un futur sans l’ombre envahissante de Washington, ça vous dit quelque chose ?

Mais attendez, ça devient encore plus croustillant. Souvenez-vous de l’époque où l’URSS plantait ses missiles à Cuba, faisant trembler les États-Unis dans leurs bottes. Aujourd’hui, c’est presque un remake : avec les BRICS aux côtés de La Havane, on peut déjà imaginer des S-400 russes ou des missiles hypersoniques scintillant sous le soleil caribéen. Une ironie exquise quand on pense que les États-Unis, avec l’OTAN, n’ont cessé de grignoter l’espace des autres – coucou l’Ukraine, où Moscou hurlait depuis des années contre les missiles qui s’approchaient de ses frontières. Eh bien, voilà, le boomerang revient en pleine face !

Traduction du X :
Cuba n'est pas bloquée ; elle peut négocier avec 195 pays à travers le monde. Et ce sont les BRICS ! Il n'y a pas d'excuses, pas d'empires.

Cuba no está bloqueada, puede negociar con 195 países del mundo. ¡Y es BRICS! No hay excusas ni imperios que valgan.

— Luis Fernando (@Nando_Soriano) July 4, 2025

Et que dire de cet embargo, ce chef-d’œuvre de cruauté qui a fait suffoquer Cuba pendant plus de 50 ans, un peu comme l’Iran, n’est-ce pas ? Les États-Unis, champions autoproclamés de la liberté, ont tout essayé pour briser l’île.

Raté ! Cuba survit, Cuba s’allie, et bientôt, peut-être, Cuba fera trembler l’Amérique avec des joujoux militaires dernier cri. On parie combien que Washington repensera alors à sa politique géniale qui n’a fait que renforcer ses ennemis ?

Alors, bravo, États-Unis ! Comme toujours, en voulant écraser les pays comme Cuba, vous avez juste offert une chaise à la table des grands. L’ordre établi vacille, et franchement, on adore le spectacle.

Traduction du X :
La reconfiguration forcée du Moyen-Orient par Israël à travers une agression continue contre le Liban, la Syrie et #Irán fait partie de l'obsession de Netanyahu d'éliminer toute possibilité d'établir un État palestinien indépendant. À cette fin, il bénéficie du soutien sans restriction du gouvernement

Reconfiguración forzada de Oriente Medio por Israel mediante continuas agresiones al Líbano, Siria e #Irán es parte de obsesión de Netanyahu de eliminar cualquier posibilidad de establecer Estado palestino independiente

Para ello, cuenta con apoyo irrestricto del gobierno #EEUU pic.twitter.com/GP8juaUYBD

— Bruno Rodríguez P (@BrunoRguezP) July 2, 2025

La réponse de Trump : Le président cubain Miguel Díaz-Canel a rencontré Serguéi Naryshkin, chef du service de renseignement extérieur russe, à La Havane, afin de renforcer les liens dans un contexte de tensions croissantes avec les États-Unis. Au cours de leur rencontre, M. Díaz-Canel a salué « l’excellent état » des relations bilatérales et a exprimé sa gratitude pour le soutien apporté par la Russie contre les sanctions américaines.

Traduction du X :
Nous apprécions les déclarations du ministère des Affaires étrangères #China qui s'opposent au blocus américain et à la réinscription de #Cuba sur la liste arbitraire des présumés sponsors du terrorisme. Le gouvernement américain devrait tenir compte des appels de la communauté internationale à mettre fin à sa politique anti-cubaine.

Agradecemos pronunciamientos de Cancillería #China que se oponen al bloqueo de EEUU y a reinclusión de #Cuba en lista arbitraria de supuestos patrocinadores del terrorismo.

Gobierno EEUU debería escuchar llamados de comunidad internacional a poner fin a su política anticubana. pic.twitter.com/P12Oj913ap

— Bruno Rodríguez P (@BrunoRguezP) July 3, 2025

La visite a coïncidé avec des anniversaires importants, reflétant les liens politiques profonds entre les deux nations. Malgré les promesses russes d’aide économique, les citoyens cubains sont toujours confrontés à des pénuries et à des coupures d’électricité.

Le réchauffement des relations avec la Russie suscite des inquiétudes à Washington, notamment en ce qui concerne la coopération militaire et les activités de renseignement sur l’île. La veille de la visite, comme l’a rapporté l’Associated Press, M. Trump a ordonné à ses hauts fonctionnaires de revoir la politique américaine à l’égard de Cuba, en leur demandant de réexaminer les sanctions en vigueur et de proposer des moyens de les durcir dans les 30 jours.

Réponse de Cuba : « Cuba est un pays stable » : le régime réagit aux nouvelles mesures de Trump

Le gouvernement cubain accuse Washington de promouvoir un « blocus économique » visant à « s’emparer du pays et à contrôler son destin ».

Le gouvernement cubain a une fois de plus activé sa rhétorique anti-américaine à la suite de la publication d’un nouveau mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale par le président Donald Trump, qui renforce la politique d’embargo et restreint davantage les relations économiques et de voyage avec l’île.

Dans une déclaration du ministère des Affaires étrangères (MINREX), le régime de Castro a répondu par un discours qui vise à réaffirmer l’idée que « Cuba est un pays pacifique, stable et solidaire », alors même qu’il plonge dans l’une des pires crises de son histoire.

Mais la revendication de stabilité émise par La Havane dans sa déclaration officielle contraste fortement avec la dure réalité à laquelle sont confrontés des millions de Cubains chaque jour : coupures de courant de plus de 24 heures, pénuries chroniques de nourriture et de médicaments, effondrement du système d’approvisionnement en eau, détérioration des transports publics, inflation galopante et émigration massive sans précédent.

La déclaration du MINREX : victimisation et propagande

Dans le texte, le MINREX rejette « catégoriquement » le nouveau mémorandum présidentiel signé par Trump le 30 juin, qu’il décrit comme une « réédition » du document publié en 2017 lors de son premier mandat.

Le gouvernement cubain accuse Washington de tenter de « briser la volonté politique de toute la nation » et de promouvoir un blocus économique dans le but de « prendre le contrôle du pays et de contrôler son destin ».

Le régime dénonce que ces mesures sont fondées sur des prétextes tels que les droits de l’homme, la démocratie ou la liberté religieuse, et les qualifie d’hypocrites.

« Il s’agit d’un comportement abusif, transgressif et illégal », indique le communiqué. De plus, il affirme que les sanctions visent à détruire le socialisme cubain et à convertir l’économie au capitalisme.

Mais alors que La Havane se présente au monde comme une victime de « l’agression impérialiste », la vérité est que l’effondrement économique et social de Cuba découle principalement de l’incompétence et de la paralysie du gouvernement, et non de l’embargo.

Les entreprises privées peuvent à peine fonctionner en raison de l’asphyxie bureaucratique, les envois de fonds de l’étranger doivent passer par les canaux de l’État qui conservent une partie de l’argent, et les secteurs productifs sont contrôlés par des conglomérats militaires comme GAESA, qui supervise tout, du tourisme aux importations.

Néanmoins, le texte insiste sur le fait de dépeindre Cuba comme une « nation souveraine » qui a construit son projet « en plein exercice de ses droits », tout en ignorant les protestations réprimées, les centaines de prisonniers politiques et le mécontentement populaire croissant qui se manifeste de plus en plus en ligne et dans l’exode constant des jeunes.

Traduction du X :
À quelques jours du début du sommet des BRICS à Rio de Janeiro, les amis de Cuba au Brésil expriment leur solidarité avec l'île rebelle et généreuse et son peuple héroïque.

Le mémorandum Trump : étouffer l’appareil répressif

Le nouveau mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale (NSPM-5) publié par Trump rétablit et renforce les mesures les plus dures adoptées au cours de son premier mandat.

Plus précisément, le document :

Il interdit toutes les transactions financières avec les entreprises contrôlées par les forces armées cubaines, en particulier la GAESA, le bras économique du régime.

Il interdit le tourisme américain sur l’île et impose des audits et des registres détaillés pour assurer la conformité.

Réaffirme l’embargo économique actuel et s’engage à s’opposer à toute tentative de l’abroger dans les instances internationales.

Éliminer les incitations à la migration illégale en maintenant l’abrogation de la politique « Pieds mouillés, pieds secs ».

Il ordonne la préparation de rapports sur les droits de l’homme, les détentions arbitraires et la répression de la société civile.

Promeut le libre accès à Internet, la liberté de la presse et le soutien aux entreprises privées non étatiques.

Le récit du gouvernement cubain tente de dépeindre ce mémorandum comme une attaque contre l’ensemble de la population, mais l’objectif du document vise clairement à démanteler l’appareil répressif et l’élite économico-militaire qui le soutient.

La stratégie de Trump repose sur un principe fondamental : toute aide économique qui renforce l’armée ou les services de renseignement du régime – et non la société civile – renforce la dictature, plutôt qu’aide le peuple.

Réactions officielles : victimisation sans autocritique

Avant la publication de la déclaration officielle du MINREX, le chancelier Bruno Rodríguez Parrilla a qualifié le mémorandum de « comportement criminel » et de « violation des droits de l’homme » qui entrave le développement du pays.

Sur son compte X, il a accusé l’embargo de « punir l’ensemble du peuple cubain ».

Pour sa part, Miguel Díaz-Canel a déclaré que « l’impact se fera sentir, mais ils ne nous plieront pas », sur un ton qui visait à la fermeté mais reflétait clairement l’inquiétude quant à ce que représente cette nouvelle pression extérieure.

Díaz-Canel n’a pas mentionné que s’il parle de « résistance », les gens ne peuvent plus supporter : les hôpitaux n’ont plus de médicaments de base, les pannes d’électricité laissent des villes entières sans électricité et le salaire moyen n’est pas suffisant pour acheter un litre de pétrole.

Il ne reconnaît pas non plus que le véritable « blocus » qui asphyxie l’île est interne : celui d’un système qui interdit la liberté d’association, la presse indépendante, les partis politiques, la pleine propriété privée et l’alternance au pouvoir.

Le message du MINREX tente de projeter une image de cohésion et de force, mais en réalité, il s’agit d’un écran de fumée pour dissimuler la profonde décadence interne du régime.

Les seules entreprises qui continuent d’investir à Cuba sont celles qui sont prêtes à naviguer dans un environnement dominé par la corruption, le risque juridique et l’incertitude, ce qui limite sérieusement toute possibilité de développement durable.

Pendant ce temps, le régime répond aux sanctions avec le même scénario qu’il y a des décennies, en ne proposant pas une seule solution concrète pour améliorer la vie des Cubains. Au nom de la « souveraineté », ils maintiennent le pays en ruines.

C’est ainsi que, au milieu des pannes d’électricité, de la répression et des discours vides, le gouvernement insiste sur le fait que « Cuba est un pays stable ».

Foire aux questions sur le mémorandum présidentiel de Trump et son impact sur Cuba

Qu’établit le nouveau mémorandum présidentiel sur la sécurité nationale signé par Trump ?

Le nouveau mémorandum présidentiel de sécurité nationale (NSPM-5) signé par Trump renforce les mesures d’embargo et interdit les transactions financières avec les entreprises contrôlées par les forces armées cubaines. En outre, il interdit le tourisme américain à Cuba, réaffirme l’embargo économique et promeut le libre accès à Internet et la liberté de la presse sur l’île.

Comment le gouvernement cubain a-t-il réagi à ces nouvelles sanctions ?

Le gouvernement cubain a qualifié les mesures de Trump de « comportement abusif, transgressif et illégal », accusant les États-Unis de tenter de saper la volonté politique de la nation cubaine. Le régime de Castro maintient sa rhétorique de victimisation, accusant l’embargo américain d’être responsable de ses problèmes internes.

Quel est l’impact réel de ces mesures sur la population cubaine ?

Les mesures visent à affaiblir l’appareil répressif du régime cubain, et non à nuire à la population en général. Cependant, la restriction des envois de fonds et l’interdiction des transactions avec des entités militaires peuvent avoir des effets indirects sur l’économie cubaine, affectant ceux qui dépendent de ces envois de fonds pour répondre à leurs besoins fondamentaux.

Que recherchent les États-Unis avec cette politique à l’égard de Cuba ?

Les États-Unis cherchent à faire pression sur le régime cubain pour qu’il mette en œuvre des réformes politiques et économiques qui promeuvent la liberté et les droits de l’homme sur l’île. L’objectif est de soutenir le peuple cubain dans sa lutte contre la répression et d’encourager une transition vers un système démocratique et libre.

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