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Le dernier variant O’macron du Covid circulerait en France depuis le mois de mars. Selon les médicastres, apothicaires et charlatans de cour, O’macron pourrait déclencher une prochaine vague de terreur à l’été ou au plus tard à l’automne. Mais pas de panique, braves gens ! Il n’y a rien à craindre. Micronescu qui pense pour vous a tout prévu.
La France, c’est pas l’Amérique !
Là-bas, Donald Trump, Kennedy Junior son ministre de la Santé et la surgeon general Casey Means suivent les conclusions de Stephanie Seneff, directrice de recherche au MIT, Massachusetts Institute of Technology, considéré comme une des meilleures universités au monde tant par la qualité de ses enseignants que par les résultats de ses travaux.
« Il est maintenant prouvé que le contenu des vaccins à ARNm endommage la rate, les ovaires et les glandes surrénales. La protéine spike (stockée par le cobaye) finit par atteindre la circulation sanguine, provoquant au cœur et au cerveau des dommages systémiques tels que des problèmes cardiovasculaires et cognitifs pour la plupart irréversibles ».
Toutes les études indépendantes menées par des professionnels de la santé non rétribués par Big Pharma, à partir de cas concrets, disent à peu près la même chose. Cela n’empêche nullement Macronescu de relancer ses campagnes de vaccination.
En loucedé au début, pour éviter des réactions hostiles des personne vaccinées contre la désinformation
Vendredi 23 mai, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), ce ramassis de scientifiques dévoyés au service de Big Pharma auxquels Trump a claqué la porte au nez mais qui a compensé son départ en offrant un strapontin au Hamas, a placé la France « sous haute surveillance ». Au nom de quoi ? En vertu de quels critères ? Qui a donné les ordres ? Quels sbires vont encadrer cette nouvelle opération criminelle mais ô combien lucrative ? Combien de télés d’État et de journaux subventionnés en ont parlé ? Et si oui, en quels termes ?
Personne ne sait. Ou ne veut répondre. Ils sont gênés en haut lieu. Le sujet est épineux et le mutisme ou l’esquive sont garants des belles carrières. Puisque tant de collègues courent à la mangeoire pour s’empiffrer, pourquoi crever la dalle en les regardant bâfrer ?
Les politiques et leurs thuriféraires, médias calibrés et fact checkers clonés crient, une fois de plus, au complotisme. Les hauts fonctionnaires se défaussent sur les toubibs, lesquels se partagent comme d’habitude en deux groupes. Les crapules opportunistes qui se foutent pas mal de tuer des gens, pourvu que leur petite entreprise rapporte gros. Et les médecins honnêtes et courageux, prêts à risquer la radiation et l’annulation de leur diplôme pour respecter le serment d’Hippocrate.
En France, une nouvelle campagne de vaccination a démarré le 14 avril et devrait se terminer le 15 juin avec une extension possible au 15 juillet ou au-delà, si nécessaire… Tout dépendra du résultat des législatives, après qu’on ait viré l’âne pyrénéen.
Cette fois, plus de battage médiatique pour piquer les cobayes avant de leur piquer leurs sous. Moins de contraintes pour empoisonner des fonctionnaires et des agents hospitaliers en usant d’odieux chantages. C’est plus subtil. Plutôt que de vociférer à la télé pour paniquer des populations qui y croient moins, on agit au cas par cas. Selon l’âge. La géographie. L’appartenance socio-professionnelle. Par la persuasion, la pression psychologique et l’entretien d’une menace diffuse.
On a trouvé le coupable à tous ces désordres. L’ennemi public N°1 est un variant qui répond au doux nom de November Bravo 1.8.1. Covidus macronibus 2 pour les affranchis. Il circulerait en Asie depuis le mois de mars. Et hop, grâce aux avions, il a débarqué quelques jours plus tard à Roissy. Aussi rapide et furtif qu’une smala de migrants débrouillards.
En France il aura suffi de quatre cas officiellement recensés pour sonner le tocsin et réveiller les ardeurs des confineurs, des piquouseurs, des inquisiteurs et des matraqueurs, sans se poser la question de savoir s’il ne s’agissait pas de covids longs, ou de la rémanence d’anticorps pérennes.
Officiellement, on évite de brandir des menaces de nouveaux confinements et de vaccinations forcées, en violation du code de Nuremberg qui définit clairement ces crimes contre l’humanité. Mais cela ne devrait pas durer quand il faudra réamorcer la pompe à finances alimentée par les juteuses commissions de Big Pharma.
Sur France Info « la voix de son maître », Vaxinator se veut rassurant : « Les vaccins Covid-19 actuellement approuvés (par qui ?) devraient être efficaces ». Façon sournoise de préparer le terrain. Par ici les blaireaux, les barjots et les gogos. L’État français s’occupe de vous. On vous pique. On vous plume. Mais c’est pour votre bien. Dites merci à Fripounette !
Malgré tout, des divergences pourraient annoncer des dissidences dans la forteresse monolithique des Macronescu.
Un covidiste remarqué, Bruno Mégarbane, chef de service à l’hôpital Lariboisière à Paris, questionné par BFM Télé Macron, a reconnu que « le Covid-19 circule en France et ne s’est jamais arrêté de circuler. Très régulièrement, de nouveaux mutants du virus apparaissent. NB 1.8.1 en est un parmi d’autres. »
Pas besoin d’un doctorat en biologie pour savoir ce que, de mon temps, on apprenait pour le BEPC. À savoir que, depuis l’aube de l’humanité, les humanoïdes que nous sommes trimballent une quantité phénoménale de virus de toutes sortes. Sans forcément succomber. Bien au contraire. Nos ancêtres descendus des arbres étaient sacrément balèzes.
On peut être porteur sain de germes actifs ou en stase. On peut aussi avoir conservé des reliquats d’agents infectieux neutralisés par les anti-corps, incrustés dans notre ADN. Car des fractions de micro-organismes ont été récupérées et reformatées par l’évolution qui en a fait des apports bénéfiques.
Qui est le nouveau monstre qui nous menace ? Pire que des macroniciens véreux associés à des djihadistes retors ?
NB 1.8.1 est un sous-lignage du variant O’macron qui aurait développé sa capacité d’infection des cellules et son aptitude à échapper au système immunitaire lorsqu’il y a été déjà confronté une fois. C’est possible car c’est l’évolution classique de la plupart des virus dans la lutte pour leur survie. Au même titre que leur adaptation par mutations successives aux thérapies qu’on leur oppose.
Mais Mégarbane replonge dans le catastrophisme quand il prétend que ce mutant « sera le virus à l’origine de la vague qui va sévir à l’automne ou à l’hiver prochains ».
Soit il est un voyant extra-lucide. Et sa place est au music hall ou dans une baraque foraine. Soit il dispose d’informations cachées au public sur les manœuvres ourdies par les empoisonneurs publics. Dans cette hypothèse, son devoir serait de les dénoncer !
On est tout de même fondé à se demander pour quelles raisons Macronescu a décidé seul, sans en informer la Nation, de reconstituer les stocks de pseudo-vaccins, puisque les réserves non utilisées, évaluées en milliards d’euros, étaient périmées depuis belle lurette.
On est encore un peu dans le flou artistique.
Alors que les zotorités de l’Eurocrature crient « au loup ! », les Chinois affirment que ce variant serait moins mortifère que ses prédécesseurs. Avec des symptômes relativement bénins : obstructions des voies respiratoires, fièvre, fatigue, douleurs musculaires et troubles digestifs. Rien d’aussi grave que les suites des thérapies expérimentales de Big Pharma : embolies, phlébites, myocardites, AVC, cancers, dérèglements hormonaux, troubles de la personnalité et encéphalite spongiforme.
Est-ce un moyen de ne plus perdre la face après que leur centre d’études de guerre bactériologique de Wuhan ait été démasqué ? Ou plus prosaïquement, cela traduit-il une certaine quiétude dans la mesure où toute la population chinoise a été vaccinée « à l’ancienne » sans ajouts d’ARN messager dans les solutions injectées ?
Christian Navis