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Thiago Silva et ses coéquipiers l’ont emporté 2-0 face aux vice-champions d’Europe de l’Inter Milan ce lundi, à Charlotte, en 8es de finale de la Coupe du monde des clubs.
Passer la publicité Passer la publicitéSurprise à Charlotte. Fluminense a composté son billet pour les quarts de finale de la Coupe du monde des clubs au bénéfice de sa victoire 2-0 sur l’Inter Milan, ce lundi, au Bank of America Stadium. Efficaces, les Brésiliens ont marqué dès la troisième minute avant de faire le break dans les arrêts de jeu. Ils ont fait preuve d’une solidarité de tous les instants entre les deux réalisations, pour tenir tête à des vice-champions d’Europe en manque d’idée, de mouvement, d’un peu tout. De réussite aussi. Il y aura donc deux clubs brésiliens en quarts de finale du Mondial des clubs, Palmeiras (qui a sorti Botafogo) et donc Fluminense, qui retrouvera le vainqueur de Manchester City – Al-Hilal le 4 juillet prochain à Orlando. Pour l’Inter Milan, qui a touché les montants à deux reprises, c’est une nouvelle désillusion.
Ça commençait mal pour l’Inter. Un ballon contré, un centre d’Arias détourné et la tête de Cano, seul aux six mètres (0-1, 3e). Coup de froid pour les Nerazzurri, qui ne réagissaient que timidement (5e, 11e, 24e). Début de match haché, avec le ballon dans les pieds italiens mais peu de danger. Arias, lui, faisait admirer sa technique. Puis sa frappe de balle, Sommer ne pouvant faire mieux que de repousser sur Xavier, qui manquait le cadre d’un rien (30e). Fluminense prenait ses aises, avec des phases de possession. Un peu d’espoir pour l’Inter avec ce coup franc de Dimarco (37e), mais surtout une défense dépassée et qui évitait le but grâce à une position de hors-jeu d’Ignacio (40e). L’Inter à la peine dans cette fin de première période houleuse, Mkhitaryan répondant à une petite mesquinerie du coach de Fluminense, Renato Gaucho, et tout le banc brésilien s’en mêlait (0-1 MT).
Fluminense plie mais ne rompt pas
La reprise, et la révolte italienne ? Pas vraiment. Ignacio multipliait les interventions salvatrices au sein d’une défense qui tenait bon. En fait, c’est même Fluminense qui se créait la première occasion digne de ce nom en seconde période. Encore Arias qui allumait la mèche de loin, une frappe déviée qui contraignait Sommer à sortir le grand jeu (62e). En difficulté défensivement, De Vrij, lui, était loin du niveau d’excellence de son gardien suisse. Le défenseur néerlandais manquait même l’immanquable offensivement sur une belle remise de la tête de Lautaro (70e).
Une occasion qui symbolisait en tout cas un temps fort de l’Inter, qui finissait bien. Dimarco donnait des frayeurs à l’arrière-garde brésilienne avec ce magnifique coup franc, tout près du cadre (75e). L’intelligence de l’ancien capitaine du PSG Thiago Silva, la hargne d’Ignacio, la vista d’Arias… Le club de Rio de Janeiro résistait face à des Nerazzurri qui manquaient de beaucoup de choses, à l’image de cette frappe trop molle de Lautaro (80e). Lequel Lautaro était parfaitement servi par Esposito mais butait sur un grand Fabio (82e) avant d’être contrarié par le poteau (82e). Cette fois, l’Inter avait la main. Cette fois, Fluminense subissait et comptait les minutes. Hercules n’était pas loin du break en contre (84e). Du KO dans l’air. Augusto vendangeait une belle occasion (90+1). Et Hercules tuait le suspense (0-2, 90+4). Efficacité maximale, à l’inverse de l’Inter qui touchait la barre par Dimarco (90+5), mais victoire méritée pour Fluminense (0-2 score final).