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Une opération de contrôle des VTC a été organisée ce mercredi 28 mai aux abords de la Gare de Lyon à Paris. Philippe Tabarot, ministre des Transports, y a participé.
Coup de poing ou coup de communication ? En plein bras de fer avec les chauffeurs de taxis, le ministère des Transports a organisé mercredi 28 mai une opération de contrôle de VTC devant la gare de Lyon à Paris.
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"Vous n'avez pas le droit de travailler"
"Présentez-moi votre téléphone s’il vous plaît". Devant la gare de Lyon, un policier arrête un chauffeur VTC et vérifie son application. Verdict : l’homme est en attente de course, une pratique assimilée à de la maraude, interdite pour les VTC.
"Sur les applications, du moment que vous êtes en attente de clientèle, vous êtes considérés en maraude, Monsieur. En plus, vous venez prendre votre pause à la gare de Lyon", lui rappelle l’agent, avant d’éplucher ses papiers et constater que son statut n’est pas réglementaire". "Vous n’avez pas le droit de travailler. Légalement parlant, vous n’êtes pas déclaré par la société pour effectuer le travail que vous êtes en train de faire, monsieur", détaille l'agent.
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“Est-ce que ça va durer ?”
Cette opération s’inscrit dans une promesse de fermeté du ministre des Transports, Philippe Tabarot, présent sur les lieux. "Certains ne respectent pas les règles, nous sommes là pour les traquer, pour les sanctionner", martèle-t-il.
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Mais sur le terrain, les professionnels restent prudents. "Sur le moment, ça fait plaisir, mais est-ce que ça va durer ?", interroge un chauffeur de taxi parisien. "On ne demande pas uniquement les contrôles sur les chauffeurs mais aussi les contrôles fiscaux des plateformes numériques", dit-il. Bolt et Uber sont justement convoquées mardi prochain par le ministre. De leur côté, des fédérations de taxis ont annoncé mercredi "continuer le mouvement" jusqu'à samedi à Paris et à Pau.
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