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Boualem Sansal ne figurerait pas parmi les plus de 6.500 détenus amnistiés par la présidence algérienne. Selon plusieurs sources, l’écrivain franco-algérien n’aurait pas bénéficié d’une grâce présidentielle, malgré les espoirs de ses proches et les appels de Paris.
Boualem Sansal n’aurait donc pas été gracié. C’est ce qu’affirment plusieurs sources concordantes, dont Le Figaro, à quelques heures des célébrations de l’indépendance algérienne. L’écrivain franco-algérien, condamné le 1er juillet à cinq ans de prison par la Cour d’appel d’Alger pour "atteinte à l'unité nationale", ne figurerait pas sur la liste des plus de 6.500 détenus amnistiés par la présidence.
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Une absence qui mettrait fin aux espoirs de ses proches, qui espéraient encore une mesure de clémence de la part du président Abdelmadjid Tebboune à l’occasion des festivités du 5 juillet. À ce stade, la prudence reste de mise : ni l’Élysée ni le Quai d’Orsay n’ont confirmé l'information. Mais si cela venait à se faire, cette décision pourrait être perçue comme un camouflet pour la diplomatie française, qui aurait multiplié les signaux ces dernières semaines en direction d’Alger, espérant obtenir une grâce pour l’écrivain.
La possibilité d'une grâce pour raison médicale
Resterait, selon certains observateurs, une dernière possibilité : celle d’une grâce pour raison médicale, qui pourrait intervenir à tout moment. Une manière pour le président Tebboune de conserver la maîtrise totale du calendrier politique, sans donner le sentiment de répondre à une pression extérieure.
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