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Klaus Schwab, l'ex-président du Forum économique de Davos (WEF, pour World Economic Forum), joue-t-il le trouble-fête alors qu'il a dû prendre la porte de la présidence du Forum ? Selon lui, il aurait approché Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE) et ex-présidente du FMI, afin de le remplacer à ce poste. Elle aurait donc envisagé de quitter son poste avant la fin de son mandat, selon une interview qu'il a accordée au Financial Times. Rappelons néanmoins que Klaus Schwab a dû démissionner en avril dernier, après des accusations d'irrégularités financières, qu'il dément catégoriquement. Une démission qui aurait donc mis à mal le processus.
Une rencontre à Francfort, selon Schwab
Klaus Schwab, 87 ans, affirme avoir entamé des discussions avec Christine Lagarde dès le début de l'année 2024 pour organiser sa succession à la tête du Forum, en vue d'une transition effective au plus tard début 2027, alors que le mandat de Christine Lagarde à la BCE doit normalement s'achever fin octobre 2027. Selon Schwab, une rencontre a eu lieu à Francfort en avril dernier, avant le scandale qui l'a éclaboussé, pour évoquer cette transition.
"La présidente Lagarde s'est toujours pleinement engagée à remplir sa mission et est déterminée à terminer son mandat."
Du côté de Francfort, la BCE a réagi en réfutant toute volonté de départ anticipé : "La présidente Lagarde s'est toujours pleinement engagée à remplir sa mission et est déterminée à terminer son mandat", a affirmé un porte-parole de l'institution.
Interrogé, le Forum économique de Davos a pour sa part déclaré ne pas être en mesure de commenter des informations potentiellement confidentielles.
Christine Lagarde, quant à elle, ne s'est pas exprimée sur le sujet. Mais la démission de Klaus Schwab lui a peut-être coupé l'herbe sous le pied.
Elon Musk extrêmement virulent au Forum Économique de Doha : "Ce sont des mensonges""Langage terrible"
La présidente de la BCE Christine Lagarde a, ce mardi, estimé que le président américain tenait un "langage terrible" – en revenant sur les propos tenus par ce dernier en février où il estimait que l'Union européenne avait été créée pour nuire aux États-Unis – et a affirmé que les Européens ne pouvaient pas "simplement rester les bras croisés et faire semblant", comme le relaie le Figaro. "Nous devons engager le dialogue, nous devons travailler avec son équipe et nous devons écouter leur proposition. Nous devons faire des propositions et nous devons négocier", a-t-elle encore ajouté.
Les remarques de Donald Trump faisaient "partie de la provocation habituelle à laquelle nous nous habituons, malheureusement", a-t-elle déclaré sur la chaîne allemande ARD, et repris par l'AFP.
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