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La Chine pourrait entrer en guerre contre Israël : Les enjeux géopolitiques et énergétiques mondiaux – Analyse.
Publié le 20.5.2025 à 08h12 – Par Élise Delacroix – Temps de lecture 6 mn
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La situation géopolitique mondiale est aujourd’hui marquée par des tensions croissantes, où les conflits régionaux peuvent rapidement dégénérer en affrontements globaux. Dans ce contexte, une hypothèse inquiétante émerge : la Chine pourrait entrer en guerre contre Israël, mais sous une seule condition : si Taïwan déclarait son indépendance.
La « méchante Chine » envoie de la nourriture et des médicaments sur Gaza… Pendant ce temps, l'OTAN et l'UE fournissent gratuitement des bombes et des armes à Israël… Le monde de l'hypocrisie a depuis longtemps dépassé les limites de la raison… pic.twitter.com/SSA5io4xxw
— Rikard René 🇫🇷🇨🇦 (@RikardRene) May 14, 2025Le lien entre Taïwan, Israël et les États-Unis
Pour Pékin, Taïwan est une province inaliénable de la Chine. Toute tentative d’indépendance déclencherait une réaction militaire immédiate. Mais cette riposte ne se limiterait pas à Taïwan : la Chine s’en prendrait également aux États-Unis, son principal rival stratégique, et par extension à Israël, considéré comme un allié clé de Washington.
Pourquoi Israël serait-il concerné ? Parce que, dans la logique chinoise, Israël est perçu comme un acteur favorisant l’hégémonie américaine. La guerre en Ukraine a montré comment des conflits locaux peuvent rapidement impliquer des grandes puissances. Si la Russie et l’Ukraine s’affrontent en partie à cause des enjeux énergétiques (comme les sabotages des gazoducs Nord Stream, commandé par l’UE, leur donnant tout loisir d’accomplir leur agenda climatique du WEF pour nous vendre leur électricité sous prétexte de guerre !!), un scénario similaire pourrait se reproduire au Moyen-Orient.
Traduction du X :
L’Oncle Sam range le drapeau ukrainien. Après des milliards brûlés et des cercueils pleins, Washington commence à lâcher Kiev comme un vieux jouet cassé. Rubio, Kellogg, même Trump le disent : il est temps de s’occuper d’Israël, de la Chine… pas des rêves nazifiants de Zelensky. L’Amérique en a marre. L’Europe va payer l’addition.🇺🇸🇺🇦 L’Oncle Sam range le drapeau ukrainien.
Après des milliards brûlés et des cercueils pleins, Washington commence à lâcher Kiev comme un vieux jouet cassé.
Rubio, Kellogg, même Trump le disent : il est temps de s’occuper d’Israël, de la Chine… pas des rêves nazifiants de… pic.twitter.com/loGe4Hhyuq
L’enjeu du gaz méditerranéen et les alliances régionales
Pourquoi GAZA absolument, pour les terres et agrandir le grand Israël oui, mais pas que, parce qu’au large de Gaza se trouve un gisement de gaz naturel convoité par Israël. La Chine a investi 200 milliards de dollars au Liban pour sécuriser l’accès à cette ressource, ce qui place Pékin en concurrence directe avec les intérêts israéliens et américains.
Rafah en Palestine STOP maintenant !
Traduction du X :
La Chine exige le retrait d’Israël de Gaza, sinon elle agira.China demands Israel's withdrawal from Gaza, or else China will take action. #chinese #gaza pic.twitter.com/81QPbXZP7a
— Johannes Maria (@luo_yuehan) May 19, 2025Le 20/4/2025, un Xian Y-20 Kunpeng (« Fille potelée » 胖妞 ; pinyin : Pàng niū) de l’Armée populaire de libération de Chine (APL) a atterri à Beyrouth, capitale du Liban, via Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, après avoir voyagé depuis une destination inconnue.
C’est la première fois qu’un avion militaire de la Chine communiste atterrit au Liban.
Code : 20240 hex 7A4410
La Chine appelle Israël à retirer sans délai tous ses moyens militaires de Syrie et du Liban.
Selon la chaîne saoudienne Al Hadath, Trump a menacé Netanyahu d’abandonner Israël si l’armée israélienne continue ses attaques contre la bande de Gaza.
Information confirmée par le Washington post
Quand l’Iran envoie des missiles hypersoniques vers Israël, la réponse est immédiate : les États-Unis soutiennent Tel-Aviv, isolant Téhéran. Or, l’Iran peut compter sur le soutien de la Russie, qui pourrait le réarmer. Ainsi, un conflit entre Israël et l’Iran pourrait indirectement opposer les États-Unis à la Russie, comme c’est déjà le cas en Ukraine.
La Corée du Nord et l’équilibre des forces
La Corée du Nord, alliée de la Chine, soutient la Russie en Ukraine. Si la Corée du Sud (pro-américaine) avait envisagé une intervention militaire contre le Nord, la population s’y est opposée, évitant une escalade. Mais si la Chine renforce trop son soutien aux « BRICS » (Russie, Iran, etc.), Israël pourrait pousser Taïwan à proclamer son indépendance pour provoquer Pékin.
Dans ce cas, la Chine riposterait en détruisant Taïwan, mais aussi en attaquant les États-Unis et Israël, qu’elle tient pour responsables. Pékin considère qu’une guerre hybride (drones low-cost contre blindés high-tech) ou nucléaire lui serait favorable, grâce à sa supériorité industrielle.
Israël face à la menace chinoise
Si la Chine décidait d’armer massivement les pays du Moyen-Orient (Ligue arabe, Iran, etc.), même l’Arabie saoudite, pourtant alliée des États-Unis serait vulnérable. Les frappes hypersoniques chinoises pourraient neutraliser les installations nucléaires israéliennes (comme Dimona) en quelques minutes.
À long terme, Israël joue une partie d’échecs face à un adversaire maître du jeu de go : une stratégie d’encerclement implacable. Avec 6 milliards d’habitants (la majorité des pays du Sud), la Chine dispose d’une puissance logistique et organisationnelle redoutable.
Conclusion : un équilibre précaire
La situation reste volatile. Si Israël pousse trop loin ses alliances, il risque de déclencher une réaction en chaîne. La Chine, si elle est provoquée, pourrait bouleverser l’ordre mondial en s’attaquant à la fois à Taïwan, aux États-Unis et à Israël. Dans cette guerre des ressources et des influences, le monde est au bord d’un tsunami géopolitique.
La question n’est pas de savoir si un tel conflit éclatera, mais quand et qui en sortira vainqueur.
Dernières minutes : L’armée israélienne a lancé une opération spéciale pour libérer des otages à Khan Younis, mais l’opération a échoué.
Al-Hadath a ajouté qu’il n’existe aucune confirmation quant à la réussite ou à l’échec de l’enlèvement d’un dirigeant du Hamas lors de l’opération.
L’opération ratée à Khan Younis a été menée avec une équipe se faisant passer pour des personnes déplacées.
Le sac utilisé par l’unité opérationnelle israélienne pour transporter les armes a été retrouvé à proximité des lieux.
French (CA)