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TRIBUNE - La courte victoire du candidat nationaliste, Karol Nawrocki, contre le libéral Rafal Trzaskowski traduit une profonde fracture, en forme de schisme quasi religieux, entre les européistes, voire mondialistes, et les nationaux, qui clive à présent l’ensemble des pays occidentaux.
Après un suspense cuisant qui a duré toute la journée du dimanche, le nationaliste conservateur Karol Nawrocki vient d’être élu en Pologne face à son rival libéral Rafal Trzaskowski, à une très courte tête de même pas un point (50,89 % contre 49,11 %). On sait que constitutionnellement, le président polonais ne dispose pas du pouvoir exorbitant du président français - pourtant, il a un large pouvoir de veto, et de grâce - le précédent président ne s’est pas privé d’en user. La Pologne reconduit une politique conservatrice, pour une société profondément clivée en deux parties, porteuse de conflits idéologiques profonds. On aperçoit cependant un glissement de ce conflit, signe d’un changement d’époque. Les clivages perdurent et cependant se déplacent lentement, ressemblant de plus en plus à ceux de l’Europe de l’Ouest.
Un des pays les plus catholiques d’Europe, la Pologne, depuis le tournant du siècle est celui qui résiste avec le plus de véhémence aux lois dites sociétales qui sont la marque…