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Ceux qu’on appelle les islamophobes sont les vrais résistants

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À chaque époque dramatique de son histoire, et elle en a connu de très graves, la France a vu se lever des patriotes pour la défendre. Des Français qui ont sacrifié leur carrière et même souvent leur vie par amour de la Patrie.

On peut considérer cela comme idiot car la France ne leur a pas toujours été reconnaissante et même quelquefois les a rejetés, ne comprenant pas que l’on puisse se sacrifier pour elle !

Il n’est pas dans mes intentions de remonter l’histoire de France jusqu’à Clovis, d’autres l’ont fait et, en ce qui nous concerne aujourd’hui, Charles Martel serait plus approprié, mais arrêtons-nous quelques secondes sur la Seconde Guerre mondiale, 39/45 : certains ont accepté l’occupation allemande et ont collaboré, les communistes par exemple, mais d’autres, quelques milliers seulement (il y en avait des centaines de milliers mais à l’approche de la libération, pas avant !) n’ont pas accepté que leur pays soit occupé par des étrangers, par les nazis. Ils ont pris les armes, ont lutté, ont tué et souvent sont morts. Jean Moulin, Guy Moquet et des centaines d’autres.

En 1961 également, lors de la guerre d’Algérie et devant le lâche abandon de départements français, des généraux au sommet de leur carrière, qui n’avaient rien à espérer dans ce combat mais tout à perdre – et ils ont tout perdu – ne pouvaient se résigner à trahir la parole donnée à toute une population qui espérait que ce pays, le leur, resterait français. Ils décidaient de se sacrifier au service de la Patrie et non pas à celui d’un gouvernement d’abandon, de trahison, et, derrière eux, quelques milliers de volontaires, de tous les milieux, de toutes les origines, de tous les partis politiques (eh oui ! Même de nombreux communistes et socialistes des quartiers ouvriers de Bab-el-oued ou d’Hussein-Dey) les ont suivis aveuglément dans cette bataille.

Pas uniquement des Pieds-Noirs mais également de nombreux Français, que l’on baptise de souche et qui, eux, ne défendaient que l’honneur de la France et pas l’appartenance à la terre chérie.

Nombreux sont morts, les armes à la main en Algérie, mais d’autres assassinés en France par un pouvoir qui ne se souvenait même pas que tous s’étaient levés vingt années plus tôt pour libérer le sol où ils allaient pourrir.

Ils sont morts pour le drapeau, pour le pays, pour la Patrie… ne sont-ce pas là les paroles du « Chant des Africains » ?

Ces généraux n’avaient aucune ambition politique, comme ce fut le cas d’autres généraux au cours de notre récente histoire.

Aujourd’hui, la France est en danger. Elle a un ennemi qui veut l’occuper, qui la combat avec des armes nouvelles : l’attentat terroriste, l’assassinat, le meurtre, le couteau, la drogue et la plus dangereuse de toute, la religion.

Une religion qu’on veut, non pas lui faire accepter comme toutes les autres religions, dans la paix, la laïcité et la discrétion, mais lui imposer, dans sa complexité, dans sa cruauté, dans son incompréhension : « par la force, par le sabre et par le sang », comme elle s’est imposée au cours des siècles et des siècles dans d’autres pays, et notamment en Algérie et dans tout le Maghreb (renseignez-vous auprès des Kabyles !).

Cet ennemi a un nom : l’islam. Il a un Etat, il a une armée, il a des combattants, les djihadistes. Il recrute, il radicalise, non pas parmi la grande majorité des musulmans de France, fort heureusement, autrement nous serions submergés, mais parmi les délinquants, les truands, la racaille (comme ils l’ont fait en d’autres temps et notamment en Algérie et en métropole !).

Les gouvernements successifs ne l’ont pas compris, l’ont ignoré et donc ne l’ont pas combattu comme ils devaient le faire. Ils se sont montrés défaillants, impuissants, préoccupés par d’autres problèmes qu’ils estimaient majeurs, alors que c’était justement ce problème islamique qui était majeur et prioritaire.

L’Etat a laissé prêcher le djihad par des imams, dans les mosquées. A laissé la parole et le geste à des associations, des organisations, des partis pro-islamiques et anti-français qui ont proliféré, endoctriné, recruté, radicalisé.

Et l’on s’étonne soudain qu’une islamophobie s’installe, se diffuse, s’amplifie : « Bien sûr que tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans ! ». Cette citation est devenue la devise de ceux qui ont l’objectif de combattre l’islamisme radical, de ceux qui, sans doute plus patriotes que d’autres, se préparent à combattre cet ennemi de l’extérieur, cet étranger, mais également l’ennemi de l’intérieur, celui que l’on baptise Français, mais qui est bien loin de l’être.

Ils estiment que l’Etat baisse les bras, se soumet, néglige les mesures appropriées nécessaires pour mettre hors d’état de nuire notre ennemi, le chasser hors du territoire, hors des frontières.

Quand l’Etat se montre impuissant, la porte est ouverte à toutes les folies.

Quand le pays est en danger, comme il l’a été en 39/45, en 54/62, n’est-il pas prévisible que des patriotes se sentent concernés et se tiennent prêts à agir, si cette nécessité s’imposait demain ?

Le ministre de l’Intérieur pavoise (c’est vrai qu’il n’en a que rarement l’occasion), il a réussi à éliminer un groupe de « très dangereux terroristes d’extrême droite qui projetaient de commettre des attentats, paraît-il. Et qui tentaient d’empêcher des migrants illégaux de pénétrer en France ». Vous l’avez compris, il s’agissait de Génération Identitaire ! Aujourd’hui c’est au tour de l’extrême-gauche de subir le même sort : la Jeune Garde dissoute. Les titres disparaissent mais les groupes persistent, résistent, sont toujours prêts.

Mais que fait-il contre certains imams qui prêchent le djiha», contre certaines mosquées qui leur ouvrent leurs portes, contre certains terroristes qui vont être remis en liberté (quelques centaines encore d’ici fin 2025) et vont pouvoir poursuivre leurs actions criminelles ? Contre les centaines d’individus qui font l’objet d’une décision de quitter le pays… et qui sont chez nous depuis des années ? Contre les mineurs isolés illégaux qui terrorisent les arrondissements, la banlieue parisienne et, à présent, la France entière ?

Que fait-il pour expulser les délinquants étrangers ? Que fait le gouvernement pour faire voter la déchéance de nationalité pour les binationaux délinquants récidivistes ?

Rien, rien, rien… uniquement de belles envolées martiales et quelquefois littéraires !

Les prisons sont pleines, ces prisons qu’occupent et dirigent les groupes musulmans radicalisés, fanatisés, des prisons où ils font la loi, leur loi, même contre les surveillants qui sont impuissants car menacés quotidiennement et d’où ils s’évadent quand ça leur chante.

Que l’on se souvienne que la peine capitale a été abolie en France et que l’on ne relègue plus les dangereux récidivistes hors de la métropole, au bagne de Saint-Laurent-du-Maroni par exemple, ils restent donc tous en France, contre notre volonté

Méfiez-vous car, un jour prochain, ce n’est pas cent, ce n’est pas mille, mais plusieurs milliers qui se lèveront pour vous accuser de les avoir abandonnés et livrés à nos ennemis.

Manuel Gomez

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