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Zacharie Perevet vient d’adresser un rapport explosif au directeur de cabinet de Paul Biya, Samuel Mvondo Ayolo, critiquant sévèrement le militantisme du ministre de la Santé Manaouda Malachie au sein du RDPC. Cette correspondance datée du 15 mai 2025 révèle des tensions internes majeures au sein du parti au pouvoir, particulièrement dans le Mayo Tsanaga où l’ancien ministre dénonce les « comportements divisionnistes » de son successeur. Cette offensive politique pourrait redéfinir les équilibres au sein de l’appareil dirigeant camerounais.
Rapport accablant : militantisme de Manaouda Malachie questionné
Le chef de la délégation permanente départementale du RDPC du Mayo Tsanaga ne mâche pas ses mots dans sa correspondance officielle. Zacharie Perevet « évalue les efforts du ministre de la santé pour prouver son militantisme et rassembler les militants du parti », révélant des carences préoccupantes.
Cette critique frontale intervient après une « rencontre regroupant ce jour et les quatre Députés RDPC du Mayo Tsanaga » organisée le 9 mai 2025 à Mokolo. L’ancien ministre y dénonce l’absence notable du ministre actuel, pourtant « invité que j’ai prononcées ».
Le rapport souligne que « saisissant l’occasion qui leur a été donnée, les Honorables Députés ont pris la parole » pour exprimer leurs griefs concernant l’attitude de Manaouda Malachie face aux responsabilités partisanes.
Tensions RDPC : divisions Mayo Tsanaga révélées
Cette offensive de Perevet s’inscrit dans une démarche récurrente puisqu’il « avait déjà dénoncé en 2022 les comportements divisionnistes de Manaouda Malachie dans une lettre au secrétaire général du comité central du RDPC, Jean Kuete ».
Le rapport détaille les griefs des élus locaux qui estiment que le ministre « a apaisé ses interlocuteurs vu qu’il était engagé, désormais, soucieux avec eux dans l’intérêt du Parti ». Cette formulation suggère des tensions antérieures significatives nécessitant un apaisement.
L’implication directe de Samuel Mvondo Ayolo dans cette affaire témoigne de la gravité des accusations portées. Le choix de contourner la hiérarchie partisane classique pour s’adresser directement au cabinet présidentiel révèle l’ampleur des dysfonctionnements dénoncés.
Ces révélations sur les divisions internes du RDPC vont-elles impacter la cohésion gouvernementale ?