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Un prisonnier de Kondengui accusé de meurtre s’est évadé hier du Lycée de Nkolndongo pendant l’examen du Probatoire, soulevant de graves questions sur les protocoles de sécurité pénitentiaire. L’homme de 20 ans demeure introuvable après cette évasion spectaculaire qui embarrasse les autorités.
L’incident s’est produit entre l’épreuve de philosophie et celle de Sciences de la Vie et de la Terre (SVT). Le détenu, accusé du meurtre d’un élève du Lycée de Mballa 2, a profité de la pause pour disparaître « sans laisser de trace ».
L’agent pénitentiaire responsable de sa surveillance « n’aurait rien vu venir », selon les premières informations. Cette négligence interroge sur la formation et la vigilance des gardiens lors des sorties d’examen.
Enquête ouverte sur les complicités possibles
Les autorités ont immédiatement lancé une enquête pour élucider les circonstances de cette évasion embarrassante. Les enquêteurs cherchent à déterminer si le fugitif a bénéficié de complicités internes ou externes.
« Cette évasion révèle des failles majeures dans notre système de surveillance », confie une source proche du dossier. L’homme d’environ 20 ans reste activement recherché par les forces de sécurité.
Cette incident soulève des interrogations légitimes sur les protocoles appliqués aux détenus participant aux examens officiels hors des murs de la prison.
Défaillances du système pénitentiaire camerounais
L’évasion met en lumière les lacunes criantes du système pénitentiaire national. Paradoxalement, des détenus malades sont souvent enchaînés sur leur lit d’hôpital, alors que la surveillance électronique pourrait constituer une alternative moderne.
Cette technologie permettrait d’éviter de tels incidents tout en préservant la dignité humaine. Les autorités compétentes doivent urgemment repenser leurs méthodes de surveillance.
L’affaire révèle également l’inadéquation entre les moyens déployés et les risques réels posés par certains détenus lors de leurs sorties exceptionnelles.
Cette évasion spectaculaire ne traduit-elle pas l’urgence d’une réforme profonde du système pénitentiaire camerounais ?