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Cameroun : Serge Abouem dénonce la gestion du volleybal

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Serge Abouem au Cameroun sort de son silence dans un éclat retentissant sur le plateau d’Africa Vision Sport diffusée sur Vision4. Le président de la FECAVOLLEY lance une charge frontale contre ce qu’il qualifie de « dérive individuelle » dans la gestion du volleyball camerounais, pointant du doigt des ingérences présumées de certaines autorités. « Ce n’est pas le ministre qui agit, c’est un individu et le moment venu, chacun va tirer les conséquences », assène-t-il sans détour, révélant un malaise profond entre la fédération et des acteurs institutionnels non identifiés. Cette sortie intervient après des années de tensions autour de la gouvernance sportive au Cameroun.

La déclaration de Serge Abouem au Cameroun marque un tournant dans les relations entre la FECAVOLLEY et sa tutelle ministérielle. Le dirigeant n’a « pas mâché ses mots » lors de son passage télévisé, dénonçant ouvertement les pressions exercées sur son instance.

« Nous sommes dans un pays qui a des règles et des normes », rappelle fermement le président de la Fédération Camerounaise de Volleyball. Cette mise au point vise directement les tentatives de « mainmise politique ou administrative » que subit son organisation.

La sortie du dirigeant révèle l’ampleur des « tensions déjà perceptibles dans le paysage sportif camerounais » où l’autonomie des fédérations est régulièrement remise en question. Serge Abouem entend ainsi défendre « les prérogatives de son instance » face aux pressions extérieures.

Le président de la FECAVOLLEY, rétabli dans ses fonctions par la Cour Suprême en février 2024, fait référence aux nombreux conflits qui ont émaillé son parcours. Depuis 2022, sa fédération a vécu une crise majeure avec l’émergence de deux présidents autoproclamés.

Cette bataille juridique s’est soldée par la reconnaissance de Serge Abouem comme « président légal et légitime » par la plus haute juridiction du pays. Cette victoire lui donne aujourd’hui la légitimité pour dénoncer les « dérives personnelles » qu’il observe.

L’allusion à « un individu » sans le nommer explicitement témoigne de la prudence du dirigeant qui préfère laisser « les institutions trancher selon les règles ». Cette stratégie révèle une volonté de ne pas envenimer davantage les relations institutionnelles.

FECAVOLLEY revendique son autonomie face aux pressions

Le message de Serge Abouem au Cameroun résonne comme « un avertissement, voire un appel à la responsabilité collective » pour préserver l’intégrité des instances sportives. Le dirigeant s’appuie sur son expérience juridique pour défendre son point de vue.

La référence aux « règles et normes » n’est pas anodine dans la bouche d’un homme qui a navigué pendant des années dans les arcanes du système sportif camerounais. Cette expertise lui permet de dénoncer les pratiques qu’il juge contraires aux textes en vigueur.

« La gouvernance du sport au Cameroun ne peut se faire au mépris des textes en vigueur », martèle le président de la FECAVOLLEY. Cette position tranche avec les accommodements habituels observés dans le milieu sportif national.

La fermeté du ton adopté par Serge Abouem traduit sa « détermination à défendre » l’autonomie fédérale. Cette posture s’inscrit dans la continuité de ses combats juridiques menés ces dernières années.

Le dirigeant semble « déterminé à préserver » l’indépendance de sa fédération face aux tentatives d’instrumentalisation politique. Cette résistance s’appuie sur sa légitimité juridique restaurée par la Cour Suprême.

L’évocation des « conséquences » à venir laisse entrevoir de possibles développements dans cette affaire. Le président de la FECAVOLLEY semble prêt à aller au bout de sa démarche pour faire respecter les prérogatives fédérales.

Cette déclaration s’ajoute aux multiples épisodes qui ont marqué le volleyball camerounais, confirmant que « la frontière entre autorité ministérielle et indépendance fédérale » reste floue dans le paysage sportif national.


Que pensez-vous de l’autonomie des fédérations sportives au Cameroun ?

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