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Cameroun : Révelation d’Ernest Obama sur l’argent de la Fecafoot dans le compte privé d’Eto’o

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Scandale financier explosif ! Révelation d’Ernest Obama sur l’argent de la Fecafoot dans le compte privé d’Eto’o secoue le football camerounais après les révélations sur 300 millions FCFA. L’ancien porte-parole de Samuel Eto’o brise le silence dans « Le Club » sur Bnews1 ce dimanche 22 juin 2025, contestant l’authenticité des documents accusateurs. Sa question choc résonne : « Si l’argent de la Fécafoot est dans le compte du président et qu’il décède, on fait comment ? » Les confidences de deux membres du Comex bouleversent la donne.

Cette affaire explosive découle des révélations de Jeune Afrique sur un match amical Cameroun-Russie. Selon le magazine, 300 millions FCFA de la Fédération russe auraient atterri dans le compte privé d’Eto’o au Qatar, avec l’accord du Comex Fecafoot.

Ernest Obama, fin connaisseur des arcanes de la fédération, mène sa propre enquête pour démonter ce qu’il considère comme une manipulation médiatique orchestrée.

L’ancien porte-parole d’Eto’o livre des révélations fracassantes basées sur ses contacts directs au sein du Comité exécutif Fecafoot.

« J’ai appelé ce matin deux membres du Comex : l’un a été évasif et le deuxième m’a dit clairement qu’il ne connaît rien de cette affaire et qu’il n’en a jamais entendu parler au Comex« , déclare Ernest Obama avec précision.

Les détails de ces conversations téléphoniques matinales sont révélateurs. Le premier membre contacté adopte une posture défensive : « Je ne me sens pas bien, je suis malade, moi aussi j’ai découvert ça sur la toile« . Une réaction qui trahit l’embarras face à cette polémique inattendue.

Plus significatif encore, le second membre du Comex nie catégoriquement : « Il a dit clairement qu’il n’a jamais siégé pour une histoire de match amical Cameroun-Russie« . Cette déclaration remet frontalement en cause la version de Jeune Afrique selon laquelle le Comex aurait validé le dépôt sur le compte privé d’Eto’o.

Obama laisse planer le mystère sur ses sources supplémentaires : « J’en sais un peu plus, mais je ne peux pas en parler« . Cette réserve journalistique suggère des informations explosives gardées sous embargo.

L’authenticité des documents divulgués devient l’enjeu central du débat. « Même pour l’authentification des documents, il y a des choses que je sais, mais je n’ai pas le droit de le dire« , confie Ernest Obama, laissant entendre que l’affaire pourrait reposer sur des bases fragiles.

Socrate Ntyama invoque présomption d’innocence

Face aux accusations d’Ernest Obama, Socrate Ntyama adopte une approche juridique rigoureuse pour défendre Samuel Eto’o.

« Le président de la fédération bénéficie encore d’une présomption d’innocence parce que l’authenticité de ces documents n’a été démontrée par personne« , argumente-t-il méthodiquement.

Ntyama développe une analyse technique de la notion de faute de gestion : « Pour qu’on parle de faute de gestion, il faut qu’il y ait une dérogation au principe de spécialité. Ça veut dire que vous avez peut-être 10 millions qui ont été mobilisés pour l’achat d’un stylo, mais cet argent est orienté vers une autre dépense« .

Cette définition juridique vise à recadrer le débat sur des bases factuelles plutôt qu’émotionnelles.

Cependant, Ntyama reproche à Ernest Obama sa stratégie interrogative : « J’ai l’impression que vous lisez dans une boule de cristal. En réalité, la question que vous posez est une question tendancieuse. Nous avons l’impression que vous avez déjà la réponse, mais vous voulez que nous répondions quand même« .

Cette tension révèle les enjeux sous-jacents de cette polémique qui divise les anciens soutiens d’Eto’o.

La question provocante d’Ernest Obama sur la succession financière en cas de décès du président révèle une préoccupation institutionnelle majeure. Cette interrogation soulève un vide juridique potentiellement problématique pour la gouvernance Fecafoot.

L’absence de protocoles clairs sur la gestion des fonds fédéraux transitant par des comptes privés expose l’institution à des risques considérables. Cette faille procédurale questionne les mécanismes de contrôle interne de la fédération.

L’affaire illustre parfaitement les zones grises de la gouvernance sportive camerounaise. Entre pratiques informelles et exigences de transparence moderne, la Fecafoot navigue dans des eaux troubles.

Ernest Obama, par sa position d’ancien insider devenu observateur critique, incarne cette évolution vers plus de transparence. Son expertise des rouages internes confère une crédibilité particulière à ses révélations.

Les 300 millions FCFA en question représentent un montant significatif pour une fédération souvent en difficulté financière. La gestion de telles sommes par des circuits parallèles soulève légitimement des interrogations sur les pratiques comptables.

Cette polémique s’inscrit dans un contexte plus large de remise en cause de la gouvernance Eto’o. Après les tensions avec Geremi Njitap et les critiques sur le bilan sportif, voici un nouveau front qui s’ouvre sur la gestion financière.

L’authenticité des documents reste l’élément clé de cette affaire. Si Ernest Obama détient des preuves de manipulation, cela pourrait totalement inverser la perspective sur cette polémique.

L’issue de cette controverse déterminera la crédibilité des médias qui ont relayé l’information initiale et l’impact sur l’image déjà écornée de Samuel Eto’o.

La bataille informationnelle fait rage autour de la Fecafoot, chaque camp tentant d’imposer sa version des faits dans l’opinion publique camerounaise.

Ces révélations d’Ernest Obama vont-elles disculper définitivement Samuel Eto’o dans cette affaire ?

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