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Une vaste mafia de faux documents officiels vient d’être démantelée dans les services de la Sous-préfecture de Bafoussam 1er, selon une dénonciation explosive adressée au Gouverneur de l’Ouest le 16 juin 2025. Cette organisation criminelle fabriquait de faux actes de mariage et de naissance en utilisant des techniques sophistiquées de falsification, causant des préjudices considérables à des dizaines de familles camerounaises. L’affaire MEDAP veuve NEMBOT révèle l’ampleur de ce réseau qui sévit depuis cinq années dans l’administration.
Le Poste de commandement opérationnel (PCOPS) du secrétariat d’État à la défense a mené une enquête rigoureuse qui a permis de crever cet abcès administratif majeur. Les investigations révèlent un modus operandi particulièrement élaboré utilisant des logiciels de retouche photo sur des souches authentiques.
Un réseau sophistiqué au cœur de l’administration
Le scénario orchestré par cette bande de criminels, dirigée par une belle-mère en fuite à l’étranger, consistait à créer de fausses veuves et de faux orphelins pour paralyser les jugements d’hérédité. « Le maître d’œuvre de fabrication des pièces, une dame, a reconnu les faits et décrit toute la procédure », révèle la dénonciation officielle.
Cette organisation de la Sous-préfecture de Bafoussam 1er bénéficiait de complicités au sein de l’administration, impliquant « certains officiels civils et militaires ». Les criminelles ont été déférées devant le procureur de Bafoussam après leurs auditions au secrétariat d’État à la défense.
Des implications nationales alarmantes pour le Cameroun
L’existence de cette mafia dans la Sous-préfecture de Bafoussam 1er soulève des questions graves sur la sécurité documentaire au Cameroun. Les falsifications concernent potentiellement les concours, examens officiels, cartes nationales d’identité et passeports, créant une « insécurité documentaire et juridique aux implications bien au-delà du cadre national ».
Cette affaire fragilise la crédibilité des documents officiels camerounais et pourrait avoir des répercussions diplomatiques importantes. Le dénonciateur exige une enquête appropriée pour « mettre fin à ce véritable bordel inacceptable qui souille et décrédibilise notre administration publique ».
Cette révélation marque-t-elle le début d’un vaste assainissement de l’administration camerounaise ?