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Cameroun réforme Vincent-Sosthène Fouda critiquée – un internaute de 237online pulvérise la proposition révolutionnaire avec des arguments explosifs. Le citoyen « Wan » qualifie de « suicidaire » le retour au mandat de 4 ans, invoquant la mentalité camerounaise, les sabotages administratifs et les infrastructures défaillantes. Il prédit même « la mort avant prestation de serment » du nouvel élu dans un contexte de « haine tribale et violence ambiante« . Cette riposte citoyenne révèle les fractures profondes sur la faisabilité démocratique au Cameroun.
Quels arguments dévastateurs ce lecteur oppose-t-il à la révolution constitutionnelle proposée ?
Mandat 4 ans Cameroun : « suicidaire » selon lecteur
La réaction de l’internaute « Wan » démonte méthodiquement la proposition de Vincent-Sosthène Fouda avec une analyse implacable du terrain camerounais. «Ramener le mandat présidentiel à 4 ans au lieu de 7 actuel est suicidaire dans notre pays où l’on travaille très peu», assène-t-il sans détour.
Son argumentation révèle une connaissance fine des rouages administratifs camerounais. Il dénonce les «entraves et sabotages légion» qui paralysent l’action gouvernementale, particulièrement les deux ans précédant chaque élection où les futurs candidats sabotent les résultats du sortant.
«Deux ans après l’élection, les mêmes personnes contestent les résultats et freinent des quatre fers», détaille cette analyse sociologique percutante. Cette mécanique de blocage rendrait impossible tout bilan positif en seulement 4 ans.
L’internaute pointe également les infrastructures défaillantes : «routes, téléphone, électricité, eau, transport peu fiable» qui transformeraient un mandat quadriennal en «passage éclair sans résultats économiques probants».
Cette critique frontale révèle le fossé entre les idéaux constitutionnels et la réalité opérationnelle camerounaise.
Cohabitation Cameroun : risque « violence tribale »
L’analyse la plus saisissante de « Wan » concerne les risques sécuritaires de la cohabitation proposée. Dans le «contexte social camerounais de haine tribale, de violence ambiante et de méchanceté», il prédit dramatiquement «la mort avant prestation de serment de ce nouvel élu».
Cette prédiction macabre révèle les tensions ethniques sous-jacentes qui minent le vivre-ensemble camerounais. La cohabitation présidentielle, loin d’apaiser, pourrait exacerber les rivalités intercommunautaires.
Le lecteur privilégie une alternative plus pragmatique : «le projet de loi actuellement en cours à l’Assemblée Nationale promouvant une vice-présidence anglophone-francophone». Cette solution respecterait les équilibres géopolitiques nationaux.
Il complète sa contre-proposition avec «une élection à deux tours» et «un système rapide, électronique de publication de résultats» pour apporter «de la sérénité» démocratique.
Cette approche graduelle contraste avec la révolution constitutionnelle de Fouda, jugée trop brutale pour les mentalités camerounaises. L’internaute privilégie l’évolution à la révolution.
Sa critique révèle que même les citoyens favorables au changement restent sceptiques face aux propositions révolutionnaires dans un contexte social fragile.
Les Camerounais sont-ils vraiment prêts pour une révolution démocratique ou faut-il privilégier une évolution progressive ?