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La production poisson lait Cameroun franchit un cap historique avec l’ambition de passer de 2 450 tonnes actuelles à 450 000 tonnes d’ici 2026. Cette révolution s’appuie sur une convention stratégique signée vendredi dernier à Yaoundé entre le ministère de l’Élevage et la Banque des PME. Un partenariat qui pourrait transformer définitivement l’autonomie alimentaire du pays.
Financement révolutionnaire : La BC-PME débloque les crédits
«Nous allons produire le lait dont nous avons besoin au lieu de l’importer», a déclaré le Directeur général de la BC-PME lors de la cérémonie. Cette convention de partenariat s’inscrit dans le cadre du Plan intégré d’import-substitution (PIISAN) 2024-2026.
La Banque des Petites et moyennes entreprises s’engage à accompagner les acteurs de la chaîne de valeur lait et poisson en facilitant l’accès aux crédits. Le cahier de charges prévoit un total déboursement pour les investissements dans les infrastructures de production et de transformation.
Objectifs ambitieux : 340 000 tonnes de poisson visées
Le PIISAN ambitionne d’accroître la production de poisson en faisant passer de 24 000 tonnes actuelles à 340 000 tonnes en 2022 à 350 000 tonnes à partir de 2026. Pour le lait, l’objectif vise une transformation radicale de la production nationale.
«Nous allons mobiliser nos acteurs pour faire du Piisa un véritable moteur de développement», précise le Directeur général de la SODEPA. Cette initiative représente un investissement stratégique dans l’économie locale camerounaise.
Chaque agence d’exécution optimise ses ressources pour moderniser ses pratiques et contribuer activement à l’atteinte des résultats attendus. Le secteur privé bénéficiera de financements adaptés pour renforcer les capacités des entrepreneurs.
Cette convention marque-t-elle le début d’une véritable révolution dans l’agriculture camerounaise ?