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Ntimbane Bomo, candidat déclaré à la présidentielle camerounaise 2025, vient de faire des révélations explosives sur l’affaire Polycarpe Abah Abah. L’ancien ministre des Finances serait victime d’une « guerre des réseaux » selon le leader de la Société Civile des Réconciliateurs. Christian Ntimbane Bomo promet même de gracier le père de la TVA camerounaise s’il accède au pouvoir en 2026.
Ces déclarations fracassantes relancent le débat sur les persécutions politiques au sein de l’appareil d’État camerounais.
Polycarpe Abah Abah : Victime d’un complot pouvoiriste ?
« C’est le père de la TVA, cet impôt sur la consommation, devenue la principale ressource du budget de l’État du Cameroun », rappelle Ntimbane Bomo dans sa sortie retentissante. L’ancien ministre des Finances avait également fait annuler en 2006 toute la dette camerounaise grâce à l’initiative PPTE.
Selon le candidat présidentiel, ces succès retentissants ont dérangé : « Des clans pouvoiristes de Yaoundé qui voyaient en lui un candidat sérieux à l’alternance au sommet de l’État, décidèrent d’en découdre ». Une analyse qui jette un éclairage nouveau sur les déboires judiciaires de Polycarpe Abah Abah.
Ntimbane Bomo affirme avoir assisté personnellement aux audiences au Tribunal de grande instance du Mfoundi et au Tribunal Criminel Spécial de Yaoundé. « J’en suis sorti sans voix! C’était horrible », témoigne-t-il avec émotion.
Grâce présidentielle promise pour 2026
Si Ntimbane Bomo remporte la présidentielle 2025, Polycarpe Abah Abah sera « purement et simplement gracié » dès 2026. Plus encore, l’ancien ministre sera nommé « conseiller Spécial du Président de la République chargé d’aviser sur les processus et mécanismes d’augmentation des ressources de l’État ».
Cette promesse s’inscrit dans une vision plus large de « justice sociale », l’une des pierres angulaires du programme de Ntimbane Bomo. Le candidat évoque également les cas de Zachaeus Forgindam et IYA Mohammed, autres figures du régime qu’il compte réhabiliter.
« Aucun pays ne peut se développer en omettant de restaurer les victimes d’injustice dans leurs droits abusés », justifie le leader de la Société Civile des Réconciliateurs. Une philosophie qui contraste avec les pratiques actuelles du pouvoir camerounais.
Cette stratégie de réconciliation nationale séduira-t-elle l’électorat camerounais en quête de justice ?