Language

         

 Publicité par Adpathway

Cameroun : Marafa privé des obsèques de son épouse

4 week_ago 11

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

Marafa Hamidou Yaya, ancien secrétaire général de la présidence camerounaise, vit un drame personnel bouleversant depuis sa cellule de la prison centrale de Yaoundé. Détenu depuis 2012, le septuagénaire de 71 ans s’est vu refuser l’autorisation d’assister aux obsèques de son épouse Jeannette, décédée récemment. Cette tragédie humaine soulève des questions profondes sur l’humanité du système carcéral camerounais et les limites de la compassion judiciaire.

Pour un homme emprisonné depuis plus d’une décennie, perdre sa compagne de vie sans pouvoir lui dire un dernier adieu représente une souffrance indicible. Cette interdiction révèle la rigidité extrême d’un système pénitentiaire qui ignore les liens affectifs fondamentaux.

Un système carcéral sans compassion humaine

L’impossibilité d’obtenir une permission de sortie pour un événement aussi sacré que les funérailles de son épouse expose l’absence totale de considération humaine. Marafa Hamidou Yaya, qui fut l’un des plus proches collaborateurs de Paul Biya, se retrouve aujourd’hui abandonné par celui qu’il a fidèlement servi pendant des décennies.

« Cette fidélité de plusieurs décennies n’a pas suffi à lui épargner les rigueurs de l’emprisonnement », constate un observateur de la situation carcérale camerounaise. L’ironie de cette situation frappe par sa cruauté : l’ancien homme de confiance présidentiel privé de compassion dans ses moments les plus douloureux.

Une détérioration sanitaire alarmante ignorée

Au-delà de cette tragédie familiale, l’état de santé de Marafa Hamidou Yaya continue de se détériorer dangereusement. Atteint d’un glaucome sévère, il a déjà perdu l’usage de son œil droit et risque la cécité totale.

Ses demandes d’évacuation sanitaire pour une intervention chirurgicale à l’étranger restent sans réponse. Cette indifférence médicale s’ajoute au refus de toute clémence, même dans les circonstances les plus dramatiques.

Condamné pour « complicité intellectuelle de détournement d’argent public », il purge une peine de 25 ans d’emprisonnement. Il demeure le seul des six condamnés de cette affaire à être encore incarcéré, soulevant des interrogations sur les véritables motivations de son maintien en détention.

Cette situation symbolise-t-elle les dérives d’un système judiciaire instrumentalisé à des fins politiques ?

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway