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La lettre de Fotsing Nzodjou au Cameroun secoue la toile avec une confession publique de 2.000 mots où le Sénateur de 37 ans dévoile ses déboires financiers catastrophiques. Cette missive poignante révèle comment cet entrepreneur d’opposition a perdu « plusieurs dizaines de millions » et 500 millions supplémentaires dans des projets « sabotés » depuis son retour au pays en 2017. Cette lettre exceptionnelle expose les liens complexes entre engagement politique et réussite économique dans le contexte camerounais contemporain.
Confession de 37 ans : « Je me suis trompé sur ma terre »
La lettre Fotsing Nzodjou Cameroun dévoile un parcours entrepreneurial désastreux depuis 2017. «J’avais plusieurs dizaines de millions avec un travail et des activités stables à l’extérieur, mais j’ai cru que ma terre était un lieu sacré. Je me suis trompé», confesse cet homme de 37 ans dans sa lettre publique qui fait sensation.
Le Sénateur détaille ses investissements ratés dans l’agriculture et l’industrie. «J’ai lancé des projets agricoles, des élevages, des unités de production. J’y ai investi des millions», précise-t-il avant d’expliquer comment « la réalité du terrain est impitoyable » et ne pardonne « ni la naïveté, ni l’ambition honnête ».
Cette confession révèle également des pertes immobilières colossales. «Je ne parle que très rarement des 500 millions que j’ai perdus dans des projets immobiliers sabotés», déclare-t-il en liant explicitement ces échecs à ses positions politiques d’opposition.
Pression judiciaire et appel à la patience
Fotsing Nzodjou justifie sa lettre publique par les pressions subies. «La pression constante, les convocations répétées, les menaces de prison ou les procédures judiciaires ne font que retarder la seule chose qui pourrait permettre de vous rembourser: le travail», explique-t-il à ses créanciers.
«Mon soutien public à l’opposition, mes prises de position, mes dénonciations assumées, m’ont fermé des portes, mis dans la cible de certaines autorités», poursuit le Sénateur qui lie directement ses difficultés financières à son engagement politique.
Malgré ses échecs reconnus, il revendique quelques réussites. «J’ai bâti une usine. J’ai créé des fermes avicoles qui ont formé et employé des centaines de jeunes», affirme-t-il en précisant qu’au moins un projet fonctionne encore et emploie « une cinquantaine de personnes ».
Cette lettre interpelle sur les défis de l’entrepreneuriat politique au Cameroun. «L’administration étouffe, les délais tuent, les intérêts cachés sabordent», dénonce ce trentenaire qui appelle ses créanciers à la patience pour lui permettre de « travailler » et « reconstruire« .
La confession se termine par un appel à la solidarité: «Pour que nous nous en sortions tous, il faudra un minimum de solidarité».
Cette confession publique à 37 ans révèle-t-elle les véritables obstacles à l’entrepreneuriat politique au Cameroun ?