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Cameroun : Le Prof. Vincent-Sosthène FOUDA rejette le projet de loi sur les greffes!

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Le projet loi greffes Cameroun vient de créer la polémique à l’Assemblée nationale. Le Prof. Vincent-Sosthène FOUDA a prononcé un discours fracassant rejetant catégoriquement le projet de loi sur les greffes humaines, dénonçant un manque de confiance dans le système de santé camerounais. Son intervention parlementaire soulève des questions cruciales sur la transparence hospitalière et les « histoires d’organes volés, de cadavres envolés, de familles brisées » qui circulent dans l’opinion publique, créant un débat national sur l’éthique médicale.

Prof. Fouda dénonce : Système santé défaillant révélé

Le professeur Vincent-Sosthène FOUDA a livré une critique sévère du timing de ce projet législatif. « Dans ce pays, le Cameroun, où le sang manque dans les hôpitaux comme l’eau dans les rivières asséchées, où les familles pleurent des corps disparus dans les morgues, comment peut-on, sans frémir, parler de greffes d’organes ? », a-t-il interrogé avec véhémence.

Son argumentation met en lumière les défaillances structurelles du système de santé camerounais. « Comment parler de don d’organes quand le simple don de sang est un combat quotidien ? Quand les poches de sang sont plus rares que les promesses tenues ? », questionne le professeur avec pertinence.

L’intervenant dénonce également la méfiance populaire généralisée : « Dans les rues de nos villes, dans les villages reculés, dans les marchés et les taxis, le peuple murmure. Il murmure des histoires d’organes volés, de cadavres envolés, de familles brisées ».

Greffes Cameroun : Appel consultation élargie

Le Prof. FOUDA plaide pour une approche plus inclusive du processus législatif. « Légiférer sur la vie, c’est convoquer l’éthique, la science, la foi et la culture à la même table. C’est écouter les médecins, mais aussi les prêtres, les imams, les chefs traditionnels, les mères, les jeunes, les anciens », argumente-t-il avec conviction.

Sa position n’est pas un rejet du progrès médical : « Je ne suis pas contre la greffe. Je suis pour la vie. Mais une vie digne, éclairée, respectée. Une vie qui ne se marchande pas dans l’ombre, qui ne se prélève pas dans le silence ».

Le professeur recommande le rejet temporaire du projet : « Rejetons ce projet dans sa forme actuelle. Non par refus du progrès, mais par amour de la justice. Non par peur de l’avenir, mais par respect du présent ».

Il conclut par une métaphore saisissante : « Car une loi sur les greffes ne peut naître que dans un pays qui a d’abord greffé la confiance dans le cœur de ses citoyens ».

Cette intervention parlementaire relance-t-elle le débat sur la modernisation du système de santé camerounais ?

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