Milanette Tchoupou décès tragique frappe le secteur de la santé camerounais après un accident de moto fatal survenu le mercredi 18 juin 2025 à Yaoundé. Cette infirmière trentenaire du quartier Simbok a perdu la vie en se rendant à son travail, devenant l’unique victime parmi les trois personnes à bord du véhicule. Originaire du village Bapépa dans le groupement Batcham, elle laisse derrière elle une famille endeuillée et des collègues sous le choc. Ce drame illustre une fois de plus les dangers quotidiens auxquels font face les professionnels de santé dans leurs déplacements.

Un accident mortel aux portes de l’hôpital de Simbok

L’accident mortel infirmière Yaoundé s’est produit dans des circonstances particulièrement dramatiques à l’entrée même de la formation hospitalière où travaillait Milanette Tchoupou. «Infirmière dans une formation hospitalière du quartier Simbok à Yaoundé, elle a perdu la vie dans un accident de moto à l’entrée même de son lieu de service», rapporte une source proche de la famille.

Cette tragédie survenue au petit matin du 18 juin 2025 révèle l’ironie cruelle du destin pour cette professionnelle de santé qui se rendait au travail pour sauver des vies. Parmi les trois occupants de la moto, elle fut malheureusement la seule à succomber à ses blessures.

Le quartier Simbok, connu pour son activité médicale dense, déplore aujourd’hui la perte d’une soignante dévouée. Cette zone de Yaoundé concentrate plusieurs établissements de santé où exercent quotidiennement des centaines de professionnels.

Une famille brisée par la perte de Milanette Tchoupou

La disparition brutale de cette mère de famille originaire de Bapépa endeuille toute la communauté Batcham. Paul Chouta, lanceur d’alerte bien connu, a rendu hommage à la défunte : «Originaire du village Bapépa dans le groupement Batcham, elle était mariée et mère d’enfants. Ngiemboon sur les ondes présente ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches».

Cette tragédie rappelle la vulnérabilité des professionnels de santé camerounais dans leurs déplacements quotidiens, souvent effectués dans des conditions de transport précaires. Les accidents de moto restent une cause majeure de mortalité au Cameroun, particulièrement dans les zones urbaines comme Yaoundé.

L’impact de cette perte se ressent autant dans la sphère familiale que professionnelle, privant le système de santé d’une ressource humaine précieuse.

Cette tragédie ne devrait-elle pas pousser à améliorer la sécurité des transports pour nos soignants ?