NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
L’Assemblée nationale Cameroun vient de franchir une étape décisive. Le 3 juillet 2025, les députés ont adopté deux projets de loi cruciaux à l’hémicycle du Palais de verre Paul Biya, portant sur la sous-traitance et la greffe d’organes. Ces textes révolutionnaires, défendus par le ministre de la Santé publique Manaouda Malachie, visent à lutter contre le tourisme médical et à dynamiser l’économie camerounaise à travers les PME.
Greffe organes Cameroun : Lutte contre tourisme médical
Le premier projet de loi adopté par l’Assemblée nationale concerne « la sous-traitance, le don et la greffe d’organes ». Cette législation répond à un impératif sanitaire majeur : combattre « le tourisme médical et l’exploitation des organes humains ».
Le ministre Manaouda Malachie a souligné les lacunes du système de santé camerounais lors des débats parlementaires. « Le système de santé camerounais est loin d’être à la hauteur de ses attentes », a-t-il reconnu devant les députés.
Cette législation introduit un cadre juridique strict pour encadrer les pratiques médicales et protéger les citoyens vulnérables. L’objectif est de « mettre en place un dispositif qui régule les évolutions de la médecine et des avancées de la pratique médicale ».
Sous-traitance PME : Innovation économique validée
Le second texte adopté porte sur « la sous-traitance au Cameroun », une innovation majeure pour stimuler l’économie nationale. Cette loi vise à « booster le développement des petites et moyennes entreprises (PME) » selon les explications gouvernementales.
L’Assemblée nationale a reconnu l’importance des « petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’Artisanat » dans le développement économique du pays. Le texte ambitionne de « mieux organiser et encadrer l’activité de la sous-traitance ».
Cette législation s’inscrit dans une logique de modernisation économique, permettant aux PME camerounaises de bénéficier de nouvelles opportunités d’affaires. « L’effet de ce plan juridique est de booster le développement des petites et moyennes entreprises », ont précisé les parlementaires.
Les innovations apportées par cette loi concernent notamment « l’exécution de leurs marchés tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur », ouvrant ainsi des perspectives internationales aux entreprises locales.
Ces deux validations parlementaires marqueront-elles un tournant dans la modernisation du Cameroun ?