La formation des jeunes au bambou et rotin révolutionne au Cameroun avec la signature d’une convention de partenariat jeudi dernier à Yaoundé. Le ministre Tchroma Bakary (Minefop) et René Sam, Directeur général de l’Organisation internationale sur le bambou et le rotin (INBAR), scellent cet accord stratégique pour « fournir un cadre adéquat équipé des plateaux techniques et outils modernes pour une formation professionnelle ». Cette initiative transforme l’avenir de milliers de jeunes camerounais.

Ce partenariat inédit ouvre des perspectives économiques révolutionnaires pour la jeunesse.

Convention INBAR transforme formation professionnelle

L’accord signé entre le Cameroun et l’INBAR établit un nouveau paradigme de formation technique. Cette convention vise à « créer un centre de formation aux métiers du développement et de l’insertion professionnelle du capital humain » selon les termes officiels.

Le partenariat prévoit « la valorisation, le développement de pôles emplois et offrir, l’appui aux artisans de ce secteur, le renforcement des capacités des jeunes ». Cette approche holistique transforme l’écosystème de formation professionnelle camerounais.

L’initiative « s’inscrit aux besoins des jeunes entrepreneurs » avec un focus particulier sur les filières porteuses. Elle cible spécifiquement « les engagements respectifs de chaque partie » pour maximiser l’impact socio-économique.

Le Minefop « doit mettre en place au sein des centres de formation aux métiers pour les équipements acquis » dans le cadre de cette collaboration stratégique.

Plateaux techniques révolutionnent apprentissage bambou rotin

L’INBAR s’engage à fournir « des plateaux techniques et outils modernes pour une formation professionnelle adaptée aux besoins du marché ». Ces infrastructures de pointe transformeront l’apprentissage des métiers du bambou et du rotin.

Cette technologie avancée permettra aux « 359 jeunes en économie verte » de bénéficier d’une formation de qualité internationale. L’organisation apporte également son expertise technique pour optimiser les programmes pédagogiques.

Les « centres de formation et nos six centres d’orientation sur l’ensemble du territoire » seront modernisés grâce à ce partenariat. Cette approche décentralisée garantit un accès équitable à la formation sur tout le territoire national.

L’initiative transforme « le bambou et le rotin » en secteurs économiques porteurs pour l’emploi des jeunes. Ces filières vertes offrent des opportunités d’entrepreneuriat durable dans un contexte de transition écologique.

Le programme « vise à mettre en valeur toutes les richesses que notre sol peut produire » selon les autorités camerounaises, positionnant le pays comme leader régional dans ces secteurs d’avenir.

Cette formation révolutionnera-t-elle l’insertion professionnelle des jeunes camerounais ?