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Cameroun : Chronique de Jean-Pierre Bekolo sur les conducteurs

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Jean-Pierre Bekolo vient de livrer une chronique incendiaire sur l’arrogance des conducteurs camerounais au volant. Le célèbre cinéaste dépeint sans complaisance la « jungle urbaine » de Yaoundé et Douala, où règne la loi du plus fort aux carrefours sans feu. Sa description saisissante du « regard camerounais » de victoire humiliante fait sensation sur les réseaux sociaux. Une radiographie impitoyable de nos comportements routiers qui interroge profondément l’identité camerounaise.

Cette chronique explosive révèle les codes cachés de l’incivisme routier au Cameroun.

« Jungle urbaine » : Bekolo dénonce l’anarchie routière

« Si tu as déjà conduit à Yaoundé ou à Douala, tu sais exactement de quoi je parle », attaque d’emblée Jean-Pierre Bekolo dans sa chronique virale. Le réalisateur décrit avec précision la mécanique implacable des carrefours camerounais : « Il arrive à toute vitesse à l’intersection. Il te coupe la route, pile au moment stratégique où toi, tu es déjà engagé ».

Cette tactique routière typiquement camerounaise révèle, selon Bekolo, un système de domination sociale bien rodé. L’automobiliste agressif « sait que tu ne peux plus rien, il est devant toi. Tu as perdu. Il le sait ».

Le cinéaste pousse l’analyse plus loin en soulignant le paradoxe du comportement : celui qui était « si pressé a désormais tout son temps » une fois la manœuvre accomplie. Une observation qui résonne chez tous les usagers de la route camerounaise.

Le « regard camerounais » : Victoire par l’humiliation

L’élément le plus frappant de la chronique reste la description du fameux « regard » post-victoire. Jean-Pierre Bekolo traduit cette expression typiquement camerounaise : « Passe alors, on voit », « Tu croyais que quoi ? », « Vois-moi celui-là ! », « Viens cogner ».

« C’est ce regard qui fait la victoire », analyse le cinéaste avec justesse. Pour lui, cette attitude révèle un trait culturel profond : « Au Cameroun, la victoire se savoure dans l’humiliation de l’autre. Tu perds, et on te le fait sentir ».

Cette sociologie routière improvisée interroge nos rapports de force quotidiens. Bekolo conclut par une question interpellante : « Pour le Camerounais il doit gagner contre quelqu’un. Alors, COMMENT ON APPELLE ÇA ? »

Une interrogation qui dépasse largement le cadre routier pour questionner nos comportements sociaux généraux.

Cette chronique de Jean-Pierre Bekolo vous rappelle-t-elle vos propres expériences de conduite au Cameroun ?

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