Cameroun – Architecture vient de franchir une étape décisive vers la durabilité. L’ambassade de Suisse a organisé mercredi dernier à Yaoundé une table-ronde stratégique pour encourager les constructions en terre, suite à la réalisation innovante de son siège social. Cette initiative révolutionnaire révèle les défis techniques et les avantages considérables de la construction en terre dans les pays tropicaux, ouvrant une nouvelle perspective pour l’habitat camerounais.

Encouragement construction : Innovations techniques révélées

Marie Christine Nkomo, représentante de l’ambassade suisse, a expliqué les motivations de cette initiative d’encouragement. « L’assistance sur les constructions durables en milieu tropical était nécessaire », a-t-elle déclaré lors de la table-ronde organisée par l’ambassade de Suisse au Cameroun.

L’événement a permis de présenter « le concept d’intégration du climat, de ventilation naturelle et d’isolation thermique » développé par l’architecte Daniel Fraile. Ces innovations techniques répondent aux « défis techniques, sociaux et symboliques de la construction durable dans les pays tropicaux ».

César Zouméka, architecte-concepteur du projet bioclimatique, a souligné l’importance de « la nouvelle ambassade et présente son concept » basé sur des matériaux locaux et des techniques adaptées au contexte camerounais.

Terre Architecture : Avantages économiques confirmés

Les experts présents ont mis en avant les nombreux avantages pour encourager cette approche architecturale. « L’implémentation devienne une réalité », selon les spécialistes, car « la terre Camerounaise Hyppolyte Etende Nkodo, urbaniste-ingénieur » a démontré les bénéfices économiques.

Cette approche permet de « construire avec moins de béton, moins de fer, moins de mortier et plus de sable ». César Zouméka a précisé que « cette table-ronde à l’adresse des architectes, des urbanistes et même des ingénieurs » vise à diffuser ces techniques innovantes.

L’ambassadeur de Suisse au Cameroun, « Natalie Kohli », a souligné l’importance du « travail de la Sécurité sociale, Grégoire Owona » dans le développement de ces projets durables qui encouragent l’utilisation de matériaux locaux.

Les techniques présentées incluent des « modèles économiques capables d’être réalisés » selon les recommandations des experts présents. Cette approche révolutionnaire d’encouragement pourrait transformer l’industrie de la construction au Cameroun en privilégiant des solutions écologiques et économiques.

Cette politique d’encouragement transformera-t-elle définitivement l’architecture camerounaise ?