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C’était un… 4 juillet :

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1564 : le roi Charles IX signe une ordonnance qui fixe désormais le début de l’année civile au 1er janvier. Selon les diocèses, l’année débutait alors soit à Noël, soit le 25 mars, soit le 1er mars ou encore à Pâques. Mais c’est le pape Grégoire XIII qui, en 1582, généralisa cette mesure à l’ensemble du monde catholique en même temps que la réforme instituant le calendrier grégorien.

1776 : à Philadelphie, Thomas Jefferson proclame l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique, bien que la guerre contre la Grande-Bretagne continue (jusqu’à ce que les Anglais reconnaissent leur défaite six mois plus tard).

1848 : mort, dans un modeste appartement de la rue du Bac, de François-René de Chateaubriand, l’un des plus brillants et des plus ardents défenseurs de la monarchie,  considéré comme l’une des figures centrales du romantisme français et de la littérature française en général.
Il avait renié sa jeunesse : « de chrétien que j’avais été, j’étais devenu un esprit fort, c’est-à-dire un esprit faible. Ce changement s’était opéré à la lecture des ouvrages philosophiques » (comprendre : de la mouvance des prétendues « Lumières »).
Dès 1792, il avait rejoint l’armée des émigrés. Revenu en France, il sera un ennemi irréductible de Napoléon Ier à qui il ne pardonnait pas l’assassinat du duc d’Enghien.  Il sera le chef de fil des ultras (royalistes) sous Louis XVIII, dont il fut ministre d’État en charge des Affaires étrangères. Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ».
Il mit son talent au service de la revue Le Conservateur (l’un des premiers journaux de « droite ») et du Journal des débats.
Il écrivit le Génie du christianisme « avec l’ardeur d’un fils qui bâtit un mausolée à sa mère ».
Sa mort passa inaperçue, étant survenue pendant les émeutes de 1848 dont les fracas s’entendaient de sa chambre. « Quel est ce bruit ? » demanda-t-il – « C’est le canon, on se bat dans Paris » – « Je veux y aller ». Ce furent ses derniers mots. La veille, il avait terminé son testament : « je déclare devant Dieu rétracter tout ce qu’il peut y avoir dans mes écrits de contraire à la foi et aux mœurs et généralement aux principes conservateurs du bien. »

► autre livre suggéré, de cet auteur : De Buonaparte et des Bourbons.

1848 : publication, à Londres, du Manifeste du parti communiste de Karl Marx et Friedrich Engels.

► sur ce thème, lire par exemple : le communisme dans l’histoire de l’abbé Onclair, Connaître le communisme de Jean Daujet (excellente synthèse doctrinale),  le communisme dans la révolution antichrétienne de l’abbé Meinvielle, et d’autres.

1940 :  on lit dans l’Humanité clandestine, mais tolérée (pour cause de Pacte germano-soviétique) : « il est particulièrement réconfortant en ces temps de malheur de voir de nombreux travailleurs parisiens s’entretenir amicalement avec des soldats allemands, soit dans la rue soit au bistrot du coin. Bravo, camarades, continuez, même si cela ne plaît pas à certains bourgeois, aussi stupides que malfaisants. »

1974 : mort, à Beyrouth, d’Hadj Amin el Hussein, devenu grand Mufti de Jérusalem à 27 ans en 1921. Figure de premier plan de la Palestine sous mandat britannique, s’opposant au sionisme dans les années 30, il misa sur une alliance avec Mussolini et Hitler, à partir de 1941, avant de s’installer au Liban après la Seconde guerre mondiale.

undefinedHadj Amin al-Husseini passant en revue une unité de la division SS Handschar, composée en grande partie de musulmans de Bosnie (Silésie, novembre 1943).
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