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• 1689 : à Paray-le-Monial, Marguerite-Marie Alacoque, religieuse de la Visitation – jouissant depuis plusieurs années d’apparitions du Christ qui lui parle particulièrement de la dévotion à son Cœur Sacré –, a une nouvelle vision, durant laquelle Jésus-Christ lui demande :
« Fais savoir au Roi de France, l’aîné des fils de mon Sacré-Cœur, qu’il consacre sa personne, sa famille et son royaume à mon Sacré-Cœur, et qu’il fasse peindre mon Cœur sur ses étendards et armes, afin que je le protège et que je fasse triompher son règne de tous ses ennemis. »
Cette demande restera lettre morte du côté de la monarchie : un siècle plus tard, la Révolution française débute.
• 1734 : mort, à l’âge de 82 ans, du vainqueur de Denain, Louis-Hector duc de Villars, « maréchal général des camps et armées du roi ». L’un des plus brillants chefs militaires du règne de Louis XIV. Une biographie (préfacée par le Mal Pétain) lui a été consacrée.
• 1778 : sans qu’il y ait eu de déclaration de guerre, la frégate La belle poule est attaquée par les Anglais. Bataille navale le 27 juillet au large d’Ouessant entre les deux flottes. Avantage français.
• 1793 : allocution consistoriale de Pie VI sur la mort de Louis XVI. « Espérons que le sang innocent de Louis crie en quelque sorte et intercède afin que la France reconnaisse et déteste son obstination à accumuler sur elle tant de crimes,
et qu’elle se souvienne des châtiments effroyables qu’un Dieu juste vengeur des forfaits a souvent infligé à des peuples qui avaient commis des attentats beaucoup moins énormes. »
• 1887 : la République vend les joyaux de la Couronne : un acte politique. Constituée en 1530 par François Ier qui la déclara inaliénable, la collection des joyaux de la Couronne avait survécu à la Révolution et à la Commune, mais quand la « jeune IIIe République, encore fragile, arrive au pouvoir, elle est embarrassée par cet héritage des monarques. Désireuse de priver les prétendants à la couronne de la possibilité de remettre un jour la main sur ce trésor, elle décide de le disperser en le vendant aux enchères. »
C’est le député d’extrême gauche Benjamin Raspail qui dépose à la Chambre des députés dès 1878 une motion en ce sens. Il s’agit là, selon lui, « de faire non seulement un acte philanthropique, mais aussi un acte politique », relève le journal républicain Le Temps. La proposition est néanmoins approuvée en juin 1882, par 345 voix contre 90. »
Les biens furent en réalité vendus bien en-deçà de la valeur historique et réelle des pierres et chefs-d’œuvre de la joaillerie.
Les acheteurs, principalement des bijoutiers, achevèrent de dépecer la plupart des joyaux pour en réutiliser les pierres. (source)
