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C’était un… 11 juin :

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1775 :  à Reims, sacre de Louis XVI, selon la tradition remontant à Pépin le Bref. Depuis le précédent (plus de cinquante ans auparavant), le principe même de cette cérémonie avait été très critiqué par le mouvement subversif des prétendues « Lumières ». Louis XVI, pieux et respectueux des traditions ancestrales, tint bon. La cérémonie dura six heures et, à l’issue, conformément au rituel, le roi se rendit ensuite dans le parc de la ville pour guérir les écrouelles des quelque 2 400 scrofuleux venus pour l’occasion, leur adressant à chacun la formule : « Le roi te touche, Dieu te guérisse ».

1939 : suite à l’entrée en vigueur du décret Marchandeau (du nom du ministre de la justice, radical-socialiste et évidemment franc-maçon), qui est le premier texte législatif français attaquant la liberté d’expression sous l’angle antiraciste, deux pamphlets de Louis-Ferdinand Céline sont retirés de la vente : Bagatelles pour un massacre et l’Ecole des cadavres.

1974 : mort, à Rome, de l’Italien Julius Evola.

Ce penseur proche du fascisme italien (qu’il essaya d’influencer, de même que le national-socialisme allemand), a eu après la guerre un grand rayonnement sur les milieux de « droite » non chrétiens en Europe (dans la mouvance de la « Nouvelle Droite » par exemple), qu’il séduira par ses critiques de la modernité démocratique et par un certain idéal aristocratique (en particulier avec son livre le plus connu, Révolte contre le monde moderne).
Antichrétien, ésotériste et occultiste (« magie sexuelle » notamment…), il développa une notion trompeuse et gnostique de « Tradition » (comme René Guénon – autre ésotériste gnostique « antimoderne »).
Evola est un auteur fort dangereux, car – par certains aspects – séduisant pour les esprits de droite (y compris catholiques), d’autant qu’il est toujours promu (y compris par exemple par une structure comme Academia Christiania).
On pourra lire utilement un petit livre : Les jeunes et les ruines d’Evola, et par la même occasion, sur Guénon, qui constitue une menace proche de celle d’Evola : René Guénon jugé par la Tradition.

1984 : mort, à Paris, de Mgr François Ducaud-Bourget, à l’âge de 86 ans.
Il fut l’un des chefs de file des catholiques traditionalistes français dans le chaos d’après Vatican II : refusant dès 1969 de célébrer la nouvelle messe, il attira de nombreux fidèles dans des salles de location, jusqu’à ce que l’église parisienne Saint Nicolas du Chardonnet soit « prise » par les « tradis » en 1977 et rendue à la messe de toujours. Il y fut d’ailleurs inhumé. Son titre de Monseigneur, honorifique, lui vint de sa fonction de chapelain de l’Ordre de Malte. Il fut d’autre part un poète accompli, dont l’œuvre en vers fut abondante.

1986 : suite à l’« affaire Roques » (du nom d’un ingénieur à la retraite qui avait soutenu avec grand succès une thèse d’histoire concluant que le témoignage Gerstein – capital dans le récit de la Shoah – n’était pas fiable, ce qui fit scandale), Jean-Marie Le Pen était interrogé dans les colonnes de National-Hebdo, l’hebdomadaire du Front national :

« Cette affaire ne relève ni de l’administration ni de la justice, mais de la seule recherche historique […]. Tous les gens raisonnables admettent, je crois, la mort en masse de Juifs dans les camps nazis. Les historiens dits «révisionnistes» mettent, eux, en doute le moyen de cette extermination — les chambres à gaz — et son étendue — les six millions. N’étant pas spécialiste, j’ai entendu comme tout le monde le chiffre de six millions, mais je ne sais pas exactement comment il est établi. Pour prendre le cas d’un autre génocide — le génocide vendéen — j’observe que les estimations ont varié de 50 000 à 500 000 morts pendant deux cents ans, et qu’aujourd’hui seulement un système d’évaluation sérieux — d’ailleurs imparfait — situe le chiffre à 117 000. Tout cela est de la technique historique qui relève des spécialistes, et, en ce qui regarde le génocide juif, il ne me semble pas incompréhensible que les historiens des deux bords, en toute bonne foi, prennent du temps à établir leur chiffrage. Quant aux chambres à gaz, je m’en tiens aux historiens officiels, qui pensent aujourd’hui qu’elles n’ont fonctionné qu’en Pologne. »

Tollé médiatique, indignation de la gauche et de la fausse droite.

1995 : raz-de-marée du Front national (alors en rien « dédiabolisé » ni renié) aux élections municipales : plus de 2000 conseillers municipaux sont élus et trois grandes villes passent aux patriotes : Toulon, Orange et Marignane. La dynamique sera cassée par la scission du parti en 1998.

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