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C’était pas la vie de château pour le jardinier des Macronescu

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Pour le même prix, je peux élaguer la moustache de Madame !

Les jardiniers ont toujours occupé une place de choix dans l’histoire et la littérature françaises. La culture et l’agriculture y faisaient bon ménage, et les jardiniers les plus talentueux étaient traités à l’égal des plus grands artistes. Quant aux « petites mains », on respectait leur travail. On ne les écrasait pas sous l’odieuse condescendance de nouveaux riches des Trognon-Macreux.

Au temps des rois, les monarques estimaient leurs jardiniers. Ils échangeaient des idées avec eux. Ils s’intéressaient à leur pratique. Parfois, ils les ennoblissaient comme André le Nôtre, que le Roi Soleil appréciait. La vraie grandeur qui restera à jamais inaccessible à Fripounette et Jean-Michel.

Le verrouillage du nid d’aigle du führer à Berchtesgaden et la datcha fortifiée de Staline à Sotchi paraissent d’aimables villages de vacances pour congés payés en comparaison des normes ubuesques imposées par les Trognon-Macreux.

Lucas G., 33 ans, a entretenu pendant plusieurs années les pelouses, les arbustes, les parterres et les allées du jardin le plus prestigieux de la République. Un travail qui exige de réelles compétences. On peut donc supposer qu’il n’a pas eu le job grâce à un coup de piston de La France Islamique, malgré les relations contre-nature entretenues lors des élections par le paltoquet et le merluchon.

Le jardinier du roitelet capricieux s’était pris d’une véritable passion (c’est lui qui le dit) pour le jardin de 5 hectares de la Lanterne, niché dans le parc du château de Versailles. Congédié comme un laquais qui aurait pissé dans la soupe à la grimace, il contribue à dessiner un peu mieux les traits hideux du médiocre qui pontifie à l’Élysée.

« C’est un lieu superbe, avec son court de tennis, son parc, ses arbres, et son immense pelouse », raconte Lucas avec un pincement au cœur. Sans dire que les préposés aux plaisirs des usurpateurs y organisaient des soirées privées auxquelles Ersilia aurait pu être conviée. Comme le murmurent dans les dîners en ville de vils calomniateurs.

Un autre couple habite à demeure sur le site, Nicolas et Ludivine T. Ils sont les régisseurs de ce château de villégiature des Macronescu. Parmi d’autres résidences secondaires. Exonérées des impôts locaux.

Ludivine est « camériste ». Titre donné aux dames de cour qui servaient les princesses de sang royal. Rien que ça. En fait, elle s’occupe du linge et du ménage. Son mari fait office de concierge et dirige l’unique employé permanent : le jardinier. Celui-ci doit respecter une consigne impérative : disparaître lorsque les Macronescu sont annoncés. Sans doute par crainte qu’il ne surprenne quelque inavouable secret royal. « Il fallait que je parte avant leur venue. Même quand Madame s’y rendait seule en semaine, je ne devais pas rester, c’étaient les ordres ».

À la Lanterne qui jouxte le château de Versailles, on ne pend plus les aristos. Mais par une inversion de l’histoire guère surprenante chez des invertis, le despote immature et son partenaire du troisième âge ont restauré le servage.

Il était temps de remettre à leur juste place les gueux originaires du terroir de France. Les sans-dents nés pour être exploités et devenir des victimes de crimes que, par pudeur, on appelle « faits divers ». Faute de pouvoir inculquer les bonnes manières aux barbaresques importés.

Histoire de se défouler, les usurpateurs ont exercé une vengeance mesquine sur Lucas, leur jardinier à la Lanterne. Ils l’ont puni pour avoir révélé l’état sordide du logement de fonctions qu’on lui avait alloué. Un logis insalubre dont des squatteurs ne voudraient pas. Et qui susciterait l’ire de toutes les associations de bien-pensance et de repentance si on l’attribuait à des demandeurs d’asile, habitués aux hôtels trois étoiles aux frais de la princesse.

Selon le magazine Marianne, Lucas a été renvoyé après avoir osé diffuser sur les réseaux sociaux, malgré la surveillance paranoïaque des employés, fouilles fréquentes et téléphones confisqués, pire qu’en prison, une vidéo dans laquelle il montrait la façon dont la ripoublique traite ses plus humbles serviteurs. Des images glaçantes où l’on voit le local vétuste et déglingué mis à sa disposition.

Avec un vestiaire pisseux, des fuites d’eau entre des murs délabrés aux auréoles indélébiles, la toiture qui n’est plus étanche, la tuyauterie et l’électricité en très mauvais état ou hors service. « Pas de douche, pas de toilettes, il fallait pisser dans le sous-bois… ». Tout ça sent l’abandon, la pourriture, les moisissures, la misère d’une ruine condamnée.

Comme si cela ne suffisait pas, Lucas a eu droit à la double peine. Du moment où il a commencé à demander une remise en état de son logement, on l’a ignoré, mis à l’écart, humilié, méprisé. Il a été harcelé par sa hiérarchie, et finalement viré.

« Quand j’ai commencé à alerter mes supérieurs, on m’a dit que j’avais tort de me plaindre, qu’il y avait d’autres priorités » explique le jardinier. Nul n’ignore quelles sont les priorités des Trognon-Macreux avec le pognon soutiré aux Français, quand ils ne font pas la guerre à la Russie ou à Israël : dîners plantureux, caprices somptueux, distractions fastueuses, subventions faramineuses à leurs courtisans, et générosité illimitée pour les grands remplaçants.

Depuis cette publication, Lucas a été réaffecté à la mairie de Villeurbanne (Rhône). Il vient de saisir le tribunal administratif pour abus de pouvoir car il estime qu’on n’avait aucune faute professionnelle à lui reprocher, et que son éviction est uniquement liée à ses révélations sur les défauts d’un des logements de la ripoublique. Lequel ne respecte aucune des normes d’hygiène, de sécurité, d’isolation thermique et d’habitabilité imposées au vulgum pecus.

La riposte de l’Élysée dont on connaît la sincérité ne s’est pas fait attendre

Le château allègue une mésentente entre collègues qui aurait donné lieu à l’ouverture d’une enquête interne. Ses conclusions évoquent des désaccords mineurs entre employés. Sans plus. Quant au respect du droit du travail, quand on est au sommet de l’État, on s’assoit dessus.

Le magazine ActuLyon rappelle qu’il n’y a pas d’instances représentatives, ni syndicats, ni comités d’hygiène et de sécurité, ni élections professionnelles pour les 800 employés au service de la Présidence de la ripoublique (jardiniers, cuisiniers, maîtres d’hôtel, femmes de chambre, perruquiers et maquilleuses). Le palais présidentiel a déjà perdu plusieurs procès contre des agents dont certains ont été indemnisés pour un état anxio-dépressif professionnel reconnu.

Qui peut s’en étonner ? Les Macronescu considèrent leur petit personnel comme l’ensemble des Français : de la valetaille à leur service. Des manants. Des croquants. Des loufiats. Des gens de rien qu’ils peuvent maltraiter comme ils l’entendent sans avoir à rendre des comptes personnellement.

S’en prendre à un jardinier royal participe à la politique macronesque de destruction de tout ce qui est susceptible de contribuer, même modestement, à la grandeur de la France.

Au temps où l’on faisait de vraies études, avec de vrais professeurs, dans de vrais lycées qui n’étaient pas des coupe-gorges, on étudiait et commentait la lettre de Boileau à son jardinier.

Nicolas Boileau (1636-1711) historiographe de Louis XIV, académicien, théoricien de l’esthétique classique, établit un parallèle pertinent entre deux activités aussi nobles l’une que l’autre : le travail sur l’esprit en friche de l’écrivain qui doit être sarclé comme le potager confié au jardinier. Le talent, c’est 1 % d’inspiration et 99 % de transpiration. Des propos plus classieux que ceux des coraniques qui assimilent les femmes à un champ que les hommes peuvent labourer à leur guise.

François-Marie Arouet, un islamophobe notoire qui se cachait sous le pseudonyme de Voltaire (1694-1778), écrivait dans « Candide » publié en 1759 que le plus important est de cultiver son jardin. Une métaphore invitant chacun à développer ses talents et ses passions, et de prendre en main sa propre existence plutôt que de s’en remettre au destin.

La veille de sa mort, Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) écrivait : « La termitière future m’épouvante. Et je hais leur vertu de robots. Moi, j’étais fait pour être jardinier. » Un propos d’une profondeur inaccessible à ces frimeurs frivoles de Macronescu.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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