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Bastien André / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
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La proposition de baptiser la future promotion de la faculté de droite de l'ULB du nom de l'eurodéputée insoumise propalestinienne a suscité les protestations d'ancien diplômés. Comment expliquer ce choix ? se demande Nadia Geerts, notre chroniqueuse d'outre-Quiévrain. Est-ce la présence intensive sur le campus d’activistes louant la résistance armée qui a pu conduire les étudiants à considérer ce nom comme une hypothèse sérieuse ?
Chaque année, les futurs diplômés de la faculté de droit de l’Université libre de Bruxelles (ULB) peuvent choisir quel nom donner à leur promotion. Et cette année, parmi les quatre noms qui ont été proposés à leur suffrage figure celui de Rima Hassan, députée européenne de la France insoumise.
Les autres noms sont ceux de l'avocate fiscaliste Typhanie Afschrift, récemment décédée, de la juriste de l'ULB Michèle Grégoire et de Gisèle Pelicot. Et le vote a finalement été reporté à la rentrée académique, les diplômes n’étant de toute manière remis qu’en octobre. En cause, apprend-on dans le quotidien La Libre Belgique, des « problèmes techniques » rencontrés lors du premier vote…