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! Bientôt un printemps démocratique en Iran

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La situation actuelle que vit le peuple iranien va-t-elle déboucher sur un Nowrouz (un printemps) démocratique perse ?

Avec les destructions massives de l’appareil de répression des Gardiens de la Révolution (les fameux Pasdarans) qui sont les piliers de la république islamique de l’Ayatollah Khamenei, un espoir de liberté plane au-dessus de Téhéran. Grâce aux coups donnés par Tsahal au régime des mollahs (les enturbannés noirs de Satan), le bout du tunnel est proche. Depuis 1979, c’est la première fois que l’espoir de la renaissance du grand peuple perse est perceptible. Peut-être envisagée dans les plus brefs délais.

Faire croire que le régime des mollahs est indéboulonnable comme l’affirment certains experts occidentaux sur les plateaux de télévision et les radios est un déni historique et surtout un manque de considération pour  la culture et la civilisation perses. Et surtout le courage des femmes iraniennes.

Ces mêmes ‘experts’ se sont emballés durant le ‘fameux printemps arabe’ pour annoncer la naissance de la démocratie dans le monde arabe qui s’est transformée en un hiver islamiste. Ce ‘printemps arabe’, tant encensé par l’Occident, a tout simplement accouché du chaos et surtout il a favorisé la charia et le retour au Moyen Âge des peuple arabes qui ne pensent qu’au pouvoir d’Allah et de sa justice terrestre.

Et maintenant,  couper les mains des voleurs et  bâcher les femmes font fantasmer les illuminés d’Allah de ces contrées. Et même en France, au pays du blasphème, la charia est toutes les lèvres des jeunes mahométans.

J’ai, moi-même, écrit à l’époque sur RL, le 15 août 2011 : « Le printemps arabe demeurera une plaisanterie de mauvais goût tant que l’islam demeurera » pour dénoncer cette posture machiavélique de l’Occident qui a applaudi des mains et des pieds ce ‘fameux printemps’. La fin de cette histoire, c’est l’immigration islamique continue  de l’Occident et avec comme prime finale sa soumission au dieu de la Mecque.

Les Iraniens sont majoritairement chiites et les Arabes sont des sunnites qui considèrent les premiers comme des hérétiques. Les conditions des soulèvements des Tunisiens, des Égyptiens, des Libyens et des Yéménites sont différentes de ce qui se passe actuellement en Iran. Les révolutions ne se ressemblent pas et m’empruntent jamais le même chemin. Mais ça, l’oligarchie européenne semble l’ignorer tout en courant  derrière les événements pour exister.

Les Iraniens savent ce que la charia leur a apporté comme souffrance et chaos. Les Arabes restent des adeptes acharnés et convaincus de la charia.

Les Iraniens ont connu la dictature d’Allah depuis 46 ans. Ils savent ce qu’elle représente, car il faut le dire et le redire, le chiisme n’a jamais accepté de s’occuper de la gestion de la cité, contrairement au sunnisme.

Quant aux Arabes sunnites, ils réclament matin et soir l’application stricte de la charia qu’ils connaissent parfaitement. Quant aux mahométans qui se sont installés durablement en Occident à cause de la misère, ils font du forcing pour obliger les pouvoirs publics à leur concéder des aménagements conformes à la charia.

Depuis 1948, les régimes arabes considèrent la question palestinienne comme sacrée. Cette cause est un alibi bien huilé qui permet aux autocrates locaux de se maintenir au pouvoir. Et à son tour, l’Ayatollah Khomeiny a fait de la cause palestinienne l’axe principal  de sa politique dans l’espoir d’unir autour de lui l’ensemble des musulmans dans le seul but  d’exporter sa révolution et d’être considéré comme le Mahdi Mountadar (le rédempteur eschatologique – le bien guidé ). D’ailleurs, il considère l’État d’Israël (l’entité sioniste) comme le petit Satan  qui  doit disparaître un jour ou l’autre, laissant le territoire s’étendant de la rivière à la mer uniquement aux Palestiniens. Quant aux Etats-Unis, le Grand Satan, il faut les combattre jusqu’à la fin des temps.

Depuis 1979, le peuple iranien s’est rendu compte que les mollahs les volaient pour alimenter leur djihad contre les juifs et les croisés. Les enturbannés de la Mecque, d’Al-Azhar, de Qom sans oublier Karbala et Najaf (Irak) radotent que les juifs et les chrétiens sont leurs ennemis éternels. Pour eux, le monde se portera mieux avec la soumission des chrétiens et surtout des juifs, ces pervers, ces semeurs de chaos.

La cause palestinienne explique la différence entre les Perses et les Arabes. Les premiers ne se sentent pas concernés, quant aux seconds, ils en font une  cause existentielle.

D’ailleurs, les Iraniens crient sur tous les toits que les mollahs arabes les colonisent depuis 1979. Et pour preuve de cette colonisation, l’Ayatollah Khomeiny, le fondateur de la république islamique est en réalité d’origine sikh (indienne) mais s’est déclaré comme un authentique descendant direct de Mahomet, par conséquent un Koraïchite, un  Arabe de souche.

Qui peut parler mieux que Khomeiny de son arabité ?

Quand Macron déclare qu’il ne faut pas dégommer par la force le régime des mollahs car, selon lui, cela risquerait de reproduire le scénario irakien ou libyen, mais de qui se moque-t-il ?

En vérité, il met dans le même panier les Perses et les Arabes. Apparemment pour le président français, les Perses sont encore des bédouins  immatures. Quel mépris à l’encontre des Perses !

Pourtant, toutes les statistiques prouvent que les Iraniens sont de loin les plus éduqués du monde arabo-islamique. Actuellement plus de 60 % d’Iraniens ont quitté l’islam et les mosquées sont vides. Il y a à parier que sans la terreur des mollahs, l’islam deviendra minoritaire en Iran.

Quant aux femmes iraniennes qui sont bien instruites, et de loin dans le monde islamique, elles sont à l’avant-garde du combat contre l’islam rétrograde qui fait d’elles des mineures perpétuelles.

Et en plus, le président Macron oublie que les Hébreux ont une dette historique envers les Perses. Et le moment est venu pour que les Israéliens aident à leur tour les Iraniens à se libérer de la dictature des mollahs.

L’histoire enseigne que Cyrus le Grand, roi des rois de la  Perse, après avoir occupé Babylone en 538 avant J.C, prit un édit (décret) pour libérer les Hébreux qui étaient faits prisonniers après la destruction du Temple de Jérusalem en 588 avant J.C. par Nabuchodonosor II, roi de Babylone.

Cyrus le Grand ordonna aussi la reconstruction du temple de Salomon en 520 avant J.C.

Et ce que fait Israël actuellement en Iran n’est qu’un retour normal de l’histoire de la région du Moyen-Orient qui fut saccagée par l’avènement de l’islam, cette idéologie de la barbarie et du totalitarisme.

Les Perses et les Hébreux ne sont-ils pas des peuples frères, unis par l’histoire et la géographie ?

Pourtant, il suffit au président Macron de relire les manuels d’histoire pour savoir que la civilisation perse n’a rien à voir avec l’islam et que la civilisation arabe est prisonnière de l’idéologie mortifère de l’islam abbasside (du Khorasan).

Cherche-t-il à protéger l’islam, cette idéologie de la terreur et de la dictature pour plaire  à l’émir du Qatar, ce sponsor des Frères musulmans ?

Les assassinats des femmes iraniennes non voilées dans les prisons du dictateur Khamenei ne semblent pas ébranler la conscience de Macron, devenu  l’ami de l’islam conquérant.

Quant aux opposants politiques des mollahs, qu’ils soient pendus au bout d’une grue ou torturés à mort est loin de faire bouger ne serait-ce qu’un centimètre l’oligarchie occidentale.

Le président Macron en particulier et les Occidentaux en général oublient de dénoncer  les gardiens de la révolution (les pasdarans) qui sont à la tête des réseaux des trafics de drogue, de la pédophilie et les plus grands pourvoyeurs de la prostitution dans les monarchies arabes du Golfe arabo-persique (Dubaï, Bahreïn).

La défense du président Macron des mollahs est surtout guidée par la géopolitique du gaz et du pétrole. Car demain, un Iran démocratique qui possède  la plus grande réserve mondiale de gaz naturel portera un coup fatal  au Qatar dans la fourniture du gaz naturel à l’économie mondiale. Les bakchich dont profitent largement les dignitaires occidentaux s’assécheront. Et cette éventualité leur fait peur, car le statu quo actuel arrange leurs affaires. Ils n’ont que faire de la liberté des Iraniens. Que va-t-elle leur apporter ? Des broutilles !

Actuellement, le Qatar n’est-il pas en train de voler le gaz iranien avec l’accord des mollahs pour financer le djihad et la secte des Frères musulmans ?

Il est fort probable que le futur État démocratique de l’Iran va demander des comptes pour l’accaparation de ses richesses gazières par le Qatar. Et ce jour-là, les masques de l’hypocrisie occidentale vont se transformer en lambeaux de la honte.

Pour cette oligarchie européenne, la liberté des Iraniens est le dernier de ses soucis, seul compte leur porte-monnaie.

Et les Iraniens, vont-ils continuer à écouter les discours moralisateurs de la honte de Macron et compagnie qui préfèrent la dictature d’Allah à la démocratie ?

Pourquoi la gauche française continue-t-elle à défendre les mollahs, ces bras armés d’Allah ?

Elle n’ose pas abandonner ses alliés, car indirectement depuis 1979, elle participe aux nombreux crimes commis contre le peuple iranien. En effet, lors de son passage à Neauphle-le-Château (Yvelines – région parisienne) entre le 6 octobre 1978 et le 31 janvier 1979, l’Ayatollah Khomeiny fut courtisé par le gratin gauchiste du boulevard Saint-Germain à commencer par Jean-Paul Sartre et Michel Foucault qui croyaient trouver l’homme providentiel pour abattre le capitalisme qui leur rappelle la civilisation judéo-chrétienne.

Toute la gauche occidentale et notamment française a soutenu la révolution khomeyniste. Elle a agi pareillement avec Pol Pot. Elle n’a jamais changé de fusil d’épaule. Elle n’a pas jamais défendu les damnés de la terre comme elle le prétend. Elle n’a développé que des slogans creux, sans réelle portée.

Depuis 1979, la gauche française est en admiration (en extase) devant l’Ayatollah Khomeiny. Elle a trouvé en la personne de ce sanguinaire d’imam son maître, son idole, son messie. En vérité, à travers Khomeiny, elle renoue avec son passé de la terreur.

On comprend mieux la stratégie de l’islamo-gauchisme qui sévit actuellement en France, avec comme étendard le Hamas et son sponsor la République islamique d’Iran.

En vérité, les gauchistes ne cherchent qu’à capter les voix des quartiers islamisés de France oubliant que demain, quand sonnera l’heure de la soumission, ils seront les premiers pendus comme le furent les communistes iraniens qui avaient aidé les mollahs à s’emparer du pouvoir à Téhéran. Triste sort qui attend les gauchistes en ce bas monde.

Les électeurs qui  votent pour la gauche ne savent pas  que l’Ayatollah Khomeiny fut le premier dirigeant arabo-islamique à avoir autorisé le changement de sexe (la transsexualité). Et cette décision révolutionnaire a permis aux gauchistes de fermer les yeux sur les pendaisons des homosexuels.

La fatwa autorisant la chirurgie à opérer le changement de sexe a absous tous les assassinats contre les femmes, les homosexuels et les opposants politiques des mollahs.

En 1963, lors de son séjour en Irak (Najaf) Khomeiny a indiqué dans un ouvrage que la chirurgie de la transsexualité ne contrevient pas aux principes de l’islam. Au lendemain de la révolution islamique de 1979, il a fait passer un décret religieux (fatwa) favorable aux transsexuels diagnostiqués. Cette fatwa a été perpétuée par l’actuel guide de la révolution, l’Ayatollah Ali Khamenei.

Et c’est pour cette raison que ces fatwas sur le transgenrisme poussent la gauche française à défendre contre vents et marrées la République islamique d’Iran.

On peut dire que Téhéran, sous les mollahs, est devenue la Mecque du changement des sexes, de la pédocriminalité, de la prostitution divine, avec  son mariage de plaisir (ou temporaire) et du trafic de drogue à l’échelle mondiale, de l’Amérique Latine jusqu’en Afghanistan, en passant par l’Occident où le pouvoir des consommateurs est élevé, et Allah sait qu’ils sont nombreux.

Mais l’oligarchie politico-médiatique oublie que  l’islam est en perte de vitesse en Iran, là où il est apparu au VIIIe siècle. Les événements actuels le poussent vers la sortie…

Hamdane Ammar

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