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« Khaybar, ya Khaybar, djeïch Mohammed, sa yaôud » ce qui donne en français : « Khaybar, Ô Khaybar, l’armée de Mahomet sera de retour ». Ce refrain de guerre est chanté par les djhadistes pour accroître la peur des Juifs, disent-ils.
Ce refrain est une des nombreuses preuves de la haine que nourrissent les musulmans à l’encontre des Juifs.
Cette haine ne date pas de 1948, au moment de la proclamation de l’État d’Israël, mais elle tire ses racines au milieu du VIIIe siècle, dès l’apparition de l’islam du Khorasan (La Perse Antique).
Pour comprendre ce refrain de la mort, il faut se référer au premier récit islamique (la sira nabawiya-vie du prophète Mahomet) écrit par Ibn Hicham qui a vécu entre le VIIIe et le IXe siècle en Mésopotamie (Irak actuel). Mais l’historien qui a détaillé à la virgule près la vie du prophète de l’islam comme s’il était un de ses nombreux compagnons, soit deux siècles après sa mort supposée, est Ibn Jarir Tabari (831-923), un perse du Tabaristan, célèbre par son livre « histoire des prophètes et des rois » qui fait référence chez les musulmans (sunnites ou chiites).
Khaybar est une oasis, située au nord de Médine (Hedjaz-Arabie Saoudite). Selon le narratif islamique, elle fut conquise par Mahomet en 628, en l’an 6 de l’hégire. Médine était habitée par des tribus juives et notamment les Bannu Qonayna, les Bannu Nadir et les Bannu Quarayza.
Les Bannu Qonayqa furent expulsés de Médine en 624 par Mahomet pour aller s’installer à l’oasis de Khaybar. Les Bannu Nadir furent expulsés de Médine par Mahomet après avoir été dépouillés de tous leurs biens en 625 et rejoignirent à leur détour l’oasis de Khaybar. Quant à la dernière tribu juive de Médine, les Bannu Quorayza, Mahomet les avait égorgés notamment les hommes sous les applaudissements de ses adeptes. Ainsi, en 627, entre 800 et 900 Juifs furent massacrés en une journée. Leurs femmes et leurs enfants furent réduits en esclavage.
Depuis lors, l’islam est devenu la terreur d’Allah sur terre contre les non-musulmans et surtout à l’encontre des Juifs.
En 628, Mahomet attaqua sans raison évidente les oasis de Khaybar et de Fadak, les dernières cités juives du Hedjaz situées à 150 km au nord de Médine. Après avoir soumis ces cités, il autorisa chacun de ses guerriers à choisir une femme parmi les captives juives. Le choix d’un des soldats d’Allah tomba sur Safiya. Le père, le frère et le mari de Safiya bent Hounayn furent froidement assassinés par Mahomet. Elle était âgée de dix-sept (17) ans. Plusieurs hadiths précisent que lorsque les compagnons décrivirent la beauté de Safiya à Mahomet, il ordonna immédiatement au soldat qui la détenait comme sabaya (esclave sexuelle) d’en choisir une autre et de la lui remettre. Sur le chemin du retour, Mahomet obligea Safiya à avoir des rapports sexuels avec lui, sans observer le délai de viduité prévue par la charia afin d’éviter les conflits de filiation paternelle (sourate 2, verset 234 et sourate 65, verset 4). En guise de dot pour ce nikah (rapport sexuel), il l’affranchit. Dans un hadith authentique, Safiya avait dit : “Le prophète était pour moi l’homme le plus détestable, il a tué mon mari, mon père et mon frère”.
Tout ce récit est rapporté par l’historien Tabari.
Selon la tradition islamique, Mahomet était atteint d’adduction sexuelle aiguë. L’apôtre d’Allah, le beau modèle de l’humanité, fut un obsédé sexuel.
Que dire devant le comportement du prophète qui prétend être l’ami d’Allah (Habib Allah) ?
Mohammed ibn Abdallah, le prophète de l’islam, fut-il réellement un envoyé qui obéissait à Allah, ou bien n’écoutait-t-il que ses pulsions sexuelles ?
L’islam est animé d’une haine viscérale envers les Juifs. D’ailleurs, 172 versets coraniques sont vraiment judéophobes. Ils considèrent les Hébreux comme descendants de singes et de cochons (verset 60 sourate 5).
Depuis lors, les Juifs sont devenus les boucs émissaires des échecs renouvelés des musulmans qui ne veulent pas reconnaître qu’ils sont victimes de l’ignorance sacralisée qui les endoctrine du berceau au tombeau.
Pour les mahométans, les Juifs sont des semeurs de trouble et de discorde sur terre. Et c’est ainsi qu’ils sont devenus leurs souffre-douleur.
La gauche occidentale continue de dérouler le tapis à l’islam au nom de la liberté de conscience, faisant fi de la haine, du racisme, de la misogynie et de la barbarie qu’il véhicule.
Au nom des droits de l’homme, la gauche et les mondialistes cupides ont sacralisé l’islam guerrier qui est devenu leur allié pour soumettre l’humanité à la dhimmitude.
Crier sa haine envers les Juifs en 2025 dans les rues de Paris ne dérange nullement cette oligarchie aveuglée par sa puissance de tigre en carton.
Mais quand sonnera le jour de la soumission, ces humanistes de pacotille baisseront les yeux tels des captives apeurées en attente d’être violées par les cavaliers d’Allah. Ce jour-là, leurs corps finiront à coup sûr au bout d’une corde attachée au sommet d’une grue de bâtiment comme le furent les communistes et les libéraux iraniens dès la prise de pouvoir par l’Ayatollah Khomeiny en 1979, qui, pourtant, furent ses alliés.
Le narratif de l’histoire islamique se répète depuis l’épopée de Khaybar mais cela n’a pas secoué la conscience de l’oligarchie politico-médiatique occidentale qui scande que l’islam est une religion respectable et qui a des valeurs humanistes, en un mot, une religion de paix et d’amour. Rien que ça. Alors vive la tolérance islamique à sens unique.
En attendant le jour de gloire, sur la place de la République à Paris, rebaptisée entre temps, place de la Oumma, les gauchistes continuent de boire du thé à la menthe accompagné de gâteaux orientaux tout en scandant : « Intifada, intifada ! ».
Lorsque les islamistes, main dans la main avec la gauche révolutionnaire crient dans les rues de Paris « Intifada, intifada ! (Insurrection, insurrection !) », il faut décoder : « Djeïch Mohammed est de retour ! ».
Mais cette situation de pré-révolution islamique à la Khomeiny ne semble pas inquiéter les Français dont les neurones ont été lobotomisés par les discours de soumission de la bien-pensance. Avant l’heure !
Alors peut-on dire dès maintenant à ces Français qu’ils doivent se préparer à faire un adieu au vin et au cochon ? Et surtout à céder leur appartement pour loger les conquérants d’Allah ?
Pendant ce temps, hadji Rachid Ibn Malak, l’imam el-moutadar (le bien guidé), qu’Allah l’agrée et le protège du mauvais œil des mécréants, est en train de préparer l’avènement de la nouvelle France créolisée (islamisée) avec sa nouvelle langue french arabic composée de wesh-wesh, wallah, sur la tête de ma mère, sur le coran et sur le dine.
Hadji Rachid doit rapidement consulter un marabout afin qu’il lui confectionne un talisman de protection contre le laser du mauvais œil des mécréants conformément aux versets 50 et 51 de la sourate 68 :
« Puis son Seigneur l’élut et le désigna au nombre des gens de bien. »
« Peu s’en faut que ceux qui mécroient ne te transpercent par leurs regards, quand ils entendent le Coran, ils disent : il est certes fou ! ».
Il est temps que Hadji Rachid prenne conseil auprès d’un confectionneur assermenté des talismans coraniques avant que le mauvais œil mécréant ne lui fasse un croc-en-jambe.
Avec la trahison et la compromission de la classe politique, la France est devenue un territoire de Dar al-Sulh, où les gouvernements successifs ont conclu un armistice avec l’islam qui a permis aux mosquées casernes d’être des lieux sacralisés et certifiés de la conquête islamique.
Ainsi, on comprend mieux la démarche politique de hadji Rachid qui appelle à la formation de la nouvelle France, car les ingrédients de son projet du nouveau peuple français sont réunis. Et bientôt, de Marseille à Dunkerque, la french arabic sera la langue officielle de la France créolisée (islamisée).
Hamdane Ammar