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La banalisation de l’inceste Cameroun atteint des proportions alarmantes ! Depuis un mois, ce phénomène répandu dans certaines familles alimente la chronique des faits divers nationaux avec des victimes majoritairement mineures. L’Association camerounaise des femmes juristes (Acafej) tire la sonnette d’alarme face à cette recrudescence préoccupante. Une audience publique s’est tenue le 13 juin pour examiner plusieurs dossiers troublants. Des révélations qui bouleversent la société camerounaise !
► Acafej mobilise contre les violences familiales
L’Association camerounaise des femmes juristes intensifie sa lutte contre cette forme de violence domestique qui gangrène de nombreux foyers. Cette mobilisation juridique vise à briser le silence complice qui entoure ces crimes intrafamiliaux.
« La société civile doit se mobiliser pour protéger ces enfants vulnérables », déclare la présidente de l’Acafej. Cette organisation spécialisée accompagne les victimes dans leurs démarches judiciaires et sensibilise les communautés sur les conséquences dramatiques de ces actes.
Les statistiques révèlent une augmentation inquiétante des cas signalés aux autorités compétentes. Cette tendance reflète probablement une meilleure sensibilisation des victimes et de leur entourage aux recours légaux disponibles.
→ Justice camerounaise face aux crimes intrafamiliaux
Le système judiciaire camerounais traite désormais ces affaires avec la gravité requise. L’audience publique du 13 juin illustre cette volonté institutionnelle de poursuivre systématiquement les auteurs de ces crimes contre l’enfance.
Les procédures judiciaires s’accélèrent pour raccourcir les délais de traitement des dossiers. Cette efficacité renforcée vise à éviter la prescription et garantir une justice rapide aux victimes mineures.
L’intervention des médias traditionnels et des réseaux sociaux contribue à lever le tabou sur ces violences intrafamiliales. Cette médiatisation nécessaire sensibilise l’opinion publique sur l’urgence de protéger les mineurs camerounais.
Les associations de défense des droits de l’enfant multiplient les campagnes de prévention. Ces initiatives éducatives ciblent particulièrement les zones rurales où ces pratiques persistent par méconnaissance de la loi.
La société camerounaise doit collectivement condamner ces comportements criminels. Cette prise de conscience générale constitue le préalable indispensable à l’éradication définitive de ce fléau social.
Cette mobilisation judiciaire suffira-t-elle selon vous à protéger efficacement les enfants camerounais ?