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Avertissement sans précédent : Poutine s’adresse à l’Occident et lance un message clair

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Au cours d’une conversation, Vladimir Poutine a déclaré qu’il devra répondre aux récentes attaques ukrainiennes contre les aérodromes abritant des bombardiers stratégiques russes et aux attentats ukrainiens en Russie.

« Bien sûr, partout et toujours dans les conflits armés, les civils souffrent, malheureusement. Mais ce qui s’est passé à Briansk, dans la région de Briansk, est un coup ciblé contre les civils.
Et selon toutes les normes internationales, de tels actes sont appelés terrorisme. Tous les crimes commis contre des civils, y compris des femmes et des enfants, à la veille d’une série de pourparlers de paix que nous avons proposés à Istanbul, visaient sans aucun doute à saborder le processus de négociation.
La population civile a été frappée délibérément. Cela ne fait que confirmer nos craintes selon lesquelles le régime déjà illégitime de Kiev, qui s’est emparé du pouvoir, se transforme en une organisation terroriste. Et ses sponsors (Emmanuel Macron, Keir Starmer, Friedrich Merz), deviennent les complices des terroristes.

Rappelons-nous qu’il y a peu, les autorités ukrainiennes et leurs alliés rêvaient encore d’une défaite stratégique de la Russie sur le champ de bataille. Aujourd’hui, faisant face à des pertes énormes, battant en retraite sur toute la ligne de contact, essayant d’intimider la Russie, les dirigeants de Kiev se sont tournés vers l’organisation d’actes terroristes.
Et en même temps, ils demandent la suspension des hostilités pendant trente, voire soixante jours, et sollicitent une réunion au plus haut niveau. Mais comment organiser de telles réunions dans ces conditions ? De quoi parler ? Qui négocie avec ceux qui misent sur la terreur et les terroristes ? »

Au cours d’un entretien fort et sans détour, Vladimir Poutine vise particulièrement les Européens qui autorisent l’Ukraine à utiliser des missiles et des explosifs occidentaux contre le territoire russe. Une déclaration lourde de conséquences qui pourrait bien marquer un tournant dans le conflit. Comprenez bien les enjeux de cette mise en garde historique.
« Citoyennes et citoyens de Russie, peuples d’Europe et du monde, responsables politiques, diplomates, soldats, analystes, et penseurs… je m’adresse à vous aujourd’hui, non pas comme simple chef d’État, mais comme homme d’histoire conscient de la gravité du moment, parce que ce que nous vivons n’est pas une crise passagère, ni une simple confrontation entre deux États. Non. C’est un tournant, un carrefour décisif, un de ces rares moments où les décisions prises, ou refusées, définissent le cours des décennies à venir, voire du siècle.

Depuis des années, l’Occident s’éloigne de la voie du dialogue, pas à pas, par idéologie, par arrogance, par incapacité à accepter que le monde ne se réduira plus à un seul pôle de puissance.
Après l’effondrement de l’Union soviétique, nous avons espéré qu’un monde multipolaire émergerait, fondé sur le respect des souverainetés, des identités, des civilisations. Nous avons tendu la main, nous avons coopéré, nous avons proposé des partenariats équilibrés, des échanges équitables, des garanties mutuelles de sécurité. Mais en retour, l’élargissement de l’OTAN, le renversement de régimes indépendants, le financement de révolutions colorées, le bombardement de la Yougoslavie, l’invasion de l’Irak, de la Libye, l’humiliation du Moyen-Orient, et surtout la transformation de l’Ukraine en plate-forme militaire anti-russe.

Depuis 2014, nous avons vu se former à Kiev un régime guidé, non par les intérêts du peuple ukrainien, mais par ceux de stratèges étrangers, un régime qui persécute la langue russe, interdit les partis d’opposition, glorifie les collaborateurs nazis, et alimente le feu de la haine entre deux peuples historiquement frères. Et pendant tout ce temps, l’Occident n’a rien vu, ou plutôt a tout vu et s’en est réjoui.
Mais aujourd’hui, ce n’est plus seulement l’Ukraine qui est concernée. Aujourd’hui, vous franchissez une ligne rouge brûlante, vous autorisez l’utilisation de vos armes contre la Russie elle-même. Je parle ici non de simples kalachnikovs ou de vieux tanks abandonnés. Je parle de missiles à longue portée, de drones sophistiqués, de données satellitaires fournies en temps réel, de coordination directe par des agents occidentaux opérant sur le terrain.
Quand ces armes frappent les régions de Belgorod, de Koursk, de Briansk, de Voronej, ce ne sont pas seulement des infrastructures qui sont visées, ce sont nos écoles, nos hôpitaux, nos familles. Ce sont des actes de guerre. Et je le dis calmement, mais fermement, la Russie ne l’acceptera pas, la Russie ne reculera pas. Vous vous illusionnez si vous croyez pouvoir mener une guerre limitée, à distance, par procuration. Ce genre de guerre n’existe pas, l’histoire le prouve. Et si vous persistez à croire que vous pouvez frapper impunément notre sol, tout en restant à l’abri dans vos capitales vitrées, vous jouez avec un feu qui dépassera tout ce que l’Europe a connu depuis 1945.

À l’intention des dirigeants occidentaux, regardez ce que vous avez fait de votre propre continent. Vous parlez de liberté, mais vous bâillonnez la presse. Vous parlez de démocratie, mais vous ignorez la voix de vos peuples qui ne veulent pas de guerre. Vous parlez de paix, mais vous envoyez chaque jour des convois de munitions, des instructeurs, des technologies létales.
Et maintenant, vous osez dire l’Ukraine peut utiliser nos armes pour frapper la Russie. Autrement dit, vous ne soutenez plus un pays attaqué, vous vous engagez dans une guerre ouverte, vous devenez de fait des cobelligérants.
À ce stade, je dois être clair. Plus que jamais, nous savons tout. Nous savons qui commande, qui autorise, qui planifie, qui observe les frappes en temps réel. Vos généraux, vos agents de renseignements, vos satellites, vos radars, nous savons exactement où ils se trouvent, et nous savons comment y répondre. Contrairement à ce que votre arrogance vous fait croire, la Russie n’est pas sans défense, la Russie n’est pas la Libye, la Russie n’est pas l’Irak. La Russie est une puissance nucléaire, technologique, industrielle, morale, un peuple uni, debout, prêt à faire face.

À l’Europe, écoutez bien ce que je vais vous dire. Nous n’avons rien contre vos peuples. Nous avons admiré vos cultures, nous avons coopéré avec vos ingénieurs, vos entreprises, vos agriculteurs. Mais aujourd’hui, vos dirigeants vous sacrifient, pour des intérêts qui ne sont pas les vôtres. Pensez-vous réellement que Washington viendra vous sauver si tout s’embrase ? Croyez-vous que la Maison-Blanche dépensera le sang américain pour défendre Varsovie, Berlin ou Paris ?

Regardez l’histoire. Posez-vous les bonnes questions. Posez-vous surtout cette question : jusqu’où êtes-vous prêts à aller ? jusqu’où allez-vous suivre les États-Unis dans leur fuite en avant ? Aujourd’hui, je vous tends une dernière fois la main, dernière, pas par faiblesse, pas par crainte, mais par responsabilité historique. Car si une nouvelle frappe majeure, utilisant vos armes, touche notre sol, notre population, ou nos installations stratégiques, alors la riposte de la Russie sera non seulement rapide, mais écrasante. Elle ne sera pas limitée à la ligne de front, elle visera les centres de décision, où qu’ils se trouvent. Et à ce moment-là, vous ne pourrez plus dire, nous ne savions pas. Vous ne pourrez plus dire, ce n’était pas nous. Vous aurez été prévenus.
Nous avons hérité d’une terre forte, et nous la laisserons plus forte encore. Quiconque tentera de nous soumettre découvrira la force d’un peuple qui ne plie pas. Merci ».

Retranscription écrite de deux interventions de Vladimir Poutine, le 4 juin 2025.

Jean Saunier

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