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Avant l’immigration musulmane, les enfants n’avaient pas de couteaux à l’école

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Hier, invitée sur BFM TV, Sarah Knafo, face à des personnalités politiques et médiatiques plutôt immigrationnistes, a défendu les victimes françaises de l’insécurité en France. Elle a rappelé les origines de l’insécurité que sont l’impunité et l’immigration massive. Elle s’est félicitée qu’une majorité de Français soit sortie du déni sur ce sujet-là contrairement à Emmanuel Macron qui méprise les victimes en parlant de « faits divers ». Elle a aussi appelé à la construction de 100 000 places de prison pour enfermer les délinquants car c’est l’unique moyen de lutter efficacement contre la récidive. Elle a pointé du doigt ceux qui relativisent en permanence une réalité que tous les Français vivent douloureusement au fond de leur chair, et ceux que nous appelons les noyeurs de poisson.

Dans un registre complémentaire, ce matin, invitée par Apolline de Malherbe, la mère d’Élias, assassiné à 14 ans à la machette – ce que les médias ont caché – en plein Paris, par deux racailles de la diversité, multirécidivistes, laissées en liberté, pointait du doigt les propos ahurissants et insupportables d’Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, ancien Premier ministre, qui, faisant la leçon de manière technocratique aux Français, expliquait qu’il fallait encore réfléchir avant de prendre des décisions qu’elle jugeait trop radicales. On fera remarquer que pour laver le cerveau de nos enfants avec des histoires de sexe, Borne est moins hésitante…

Le coup de gueule de la mère d’Elias, tué à coups de machette, contre Elisabeth Borne pic.twitter.com/3n7lJ0Hr5i

— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 10, 2025

Il y a quelques jours, le père de Benoit, tué à la veille de ses 18 ans par un migrant de 16 ans qui n'avait rien à faire en France, criait sa douleur et sa révolte contre la mort de son fils. Il réclamait des sanctions exemplaires contre celui qu'il appelait un lâche, une "merde" qui avait tué Benoit à coups de couteau, ne lui laissant aucune chance. Bien loin d'un Antoine Leiris et de son "Vous n'aurez pas ma haine", il affirmait qu'il était prêt à administrer lui-même le châtiment mérité à l'ordure de migrant qu'on avait accueilli, et qui tuait nos enfants.

🔴 "J'ai la haine"

À Dax, le discours poignant du père de Benoît, mortellement poignardé par "un réfugié", samedi dernier. Un hommage lui est rendu. Benoît devait fêter ses 18 ans, ce vendredi. @Valeurs pic.twitter.com/ORhGnQ9l3w

— Nicolas Boutin (@NicolasBoutin11) June 6, 2025

Il y a quelques semaines, Lorène, 14 ans, une enfant magnifique, était massacrée de 57 coups de couteau en pleine classe, dans une école catholique de Nantes, par un élève de 15 ans dont on cachait soigneusement aux Français qu'il était d'origine turque, donc musulman. Là encore, on avait droit aux hurlements moralisateurs de la gauche et des journalistes, mentant aux Français et leur interdisant ce qu'ils appellent tout amalgame.

Ce matin, dans une école de Haute-Marne, un élève de 14 ans, lors d'une fouille de cartable, a poignardé mortellement une surveillante de 31 ans, mère d'un enfant de 4 ans, blessant un gendarme lors de son arrestation. Bien évidemment, les autorités, d'habitude si silencieuses sur les prénoms des assassins, qu'elles n'hésitent pas à franciser quand ils sont musulmans, ce qui est le cas la plupart du temps, ont très vite précisé que le tueur s'appelait Quentin.

On peut faire confiance à la gauche pour affirmer, sans vergogne, suite à la mort du musulman de la Grand-Combe dans une mosquée et à l'assassinat d'un Tunisien par un Français dans le Var, pour profiter du drame de Nogent et du prénom de l'assassin - dont on ignore tout, pour le moment - pour accuser ce qu'ils appellent l'extrême droite d'instrumentaliser chaque "fait divers". Et cela pour "faire monter la haine contre les immigrés" alors que, selon leur propagande, "les musulmans seraient victimes d'une islamophobie qui tue, alors qu'ils ne seraient pas plus impliqués que les Français dans les agressions, viols ou meurtres". C'est cette ritournelle que les collabos habituels essayaient de raconter, hier, sur le plateau de BFM, pour contrer les arguments de Sarah Knafo. Ce sont les arguties d'une Élisabeth Borne, technocrate socialiste de gauche, pour mentir aux Français et les envoyer tous les jours davantage à la mort.

La terrible réalité est que la gauche et Macron ont transformé notre pays en un gigantesque coupe-gorge, à cause de l'immigration majoritairement musulmane, et qu'aller à l'école devient à présent une angoisse pour tous les parents, les élèves et les professeurs, pendant que Macron fait la leçon aux Français qui se feraient laver le cerveau par des extrémistes. Chacun redoute, et à juste raison, un scénario à la Mohamed Merah, tuant des enfants juifs à Toulouse, où comme ce jour où un ancien élève a tué onze enfants et enseignants, en Autriche, et en a blessé douze autres, avant de se suicider, pour des raisons que nous n'avons pas à l'heure de ce bouclage.

Dans l'excellent livre de François Bousquet, "Le racisme anti-Blanc", l'auteur expliquait que nombre de "Quentin", Français de souche, confrontés à leur isolement dans les quartiers islamisés, trouvaient, pour survivre, la solution de s'allier aux racailles et d'agresser d'autres Français, tout en bordélisant davantage les cours et les récréations. Et cela pour se faire accepter par les jeunes envahisseurs et éviter de se faire massacrer à dix contre un à la sortie de l'école, de se faire racketter, de se faire harceler en cour de récréation, etc.

À cette heure, nul ne peut savoir pourquoi un enfant de 4 ans ne reverra jamais sa mère, surveillante dans une école, parce qu'elle a croisé la route d'un assassin de 14 ans appelé Quentin. Mais une chose est sûre, c'est que, avant qu'il n'y ait l'immigration musulmane :

- Les enfants n'avaient pas de couteau quand ils allaient à l'école ;

- Les Français ne risquaient pas, tous les jours, de prendre un des 200 coups de couteau, souvent à la gorge, qui frappent d'innocentes victimes, parce qu'elles sont au mauvais endroit au mauvais moment ;

- Il n'y avait pas d'attaques à la kalachnikov contre des foules dans un théâtre, dans une rédaction, ou autres lieux ;

- Il n'y avait pas d'attaques à la voiture bélier, lancée à toute allure pour tuer un maximum de piétons ;

- Il n'y avait pas une multiplication de points de deal dans toutes les grandes villes et, à présent, les villes moyennes et même les zones rurales.

À cette époque, la France était encore la France, celle dont nous étions fiers et qui faisait rêver le monde entier.

Faut-il ajouter à ces quelques éléments ce que j'écrivais il y a plus de dix ans dans cet édito qui a eu tellement de succès qu'un internaute l'a attribué à un journaliste du Monde, pour la plus grande rage des journaleux du média de référence des bobos-collabos ?

Sans l’islam et ses soldats, la France serait encore un pays extraordinaire

Donc, n'en déplaise aux Insoumis, voilà un édito qui confirme une islamophobie que notre site assume totalement, et cela depuis toujours...

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