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Automobile. Un sondage confirme que les Français ne voulaient plus des ZFE

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Les militants de l'abolition des zones à faibles émissions (ZFE) ont obtenu gain de cause à l'Assemblée nationale après l'abrogation du dispositif des ZFE. Mais un récent sondage de l'Ifop, commandé par la Fédération française des motards en colère et le mouvement des #Gueux, affirme que les Français ne veulent plus de ce dispositif soutenu par l'exécutif depuis son déploiement le 1er juillet 2019 à Paris. 

Sur un échantillon de 1 000 personnes, représentatifs de la population française, 78 % d'entre eux souhaitent que les ZFE soient suspendues pour que le parc automobile « se renouvelle naturellement ». Ce qui ressort de ce sondage est assez clair. Près de neuf Français sur dix savent désormais que les ZFE interdisent la circulation de certains véhicules.

« Ce sont les plus modestes qui en pâtissent »

Un chiffre qui montre qu'ils sont désormais beaucoup plus informés qu’au début de la mise en place de ces restrictions. Plus de six Français sur dix y sont défavorables, principalement parce qu'elles « empêchent les catégories les plus démunies d'accéder aux villes et agglomérations. » 

Charlotte Liotta, chercheuse en économie de l’environnement à l’université Autonome de Barcelone, avait expliqué au Dauphiné Libéré les conséquences pour les catégories sociales les plus modestes : « Globalement, ce sont les plus modestes qui en pâtissent, car ils possèdent davantage de vieux véhicules polluants, et habitent plus loin des transports en commun ou de leur lieu de travail. Nos recherches ont démontré que les employés et les ouvriers sont les plus impactés par une perte d’accessibilité à l’emploi à cause des ZFE. »

Plus de 2,4 millions de véhicules concernés

Roole Data, spécialisé dans les données autour de l’automobile, montre que ces ZFE concernent actuellement plus de 2,4 millions de véhicules interdits de circulation en ville. Selon une étude de l'entreprise, 1 466 000 véhicules sont concernés à Paris, soit 24,8 % du parc automobile. Lyon et ses 303 000 véhicules (24,3 %), Montpellier et ses 125 000 véhicules (26,7 %), ainsi que Grenoble (105 000 véhicules, soit 25,7 %) sont les métropoles les plus impactées.

Toutefois, la suppression des ZFEdevraient permettre le retour de nombreuses voitures polluantes dans les grandes agglomérations. À Grenoble, le dispositif est en vigueur depuis le 1er janvier 2025. Les premiers résultats de la qualité de l'air sont positifs dans la métropole grenobloise pour Gladys Mary, correspondante territoriale de l'observatoire pour la surveillance de la qualité de l'air (ATMO). « Sur le polluant de l’air principale ciblé qui est le dioxyde d’azote, on a une réduction de 10 % supplémentaire de ce polluant-là grâce au renouvellement accéléré de ces véhicules », a-t-elle expliqué à RMC.

Les dernières estimations de Santé publique France révèlent que 40 000 décès sont attribuables à une exposition aux particules fines chaque année. La pollution de l'air représente une perte d'espérance de vie de 8 mois en moyenne pour les personnes âgées de 30 ans et plus.

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