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Aurore Bergé veut racketter les Gafam qui tolèrent la liberté d’expression

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Débusquer les pédophiles, loger les narcotrafiquants, traquer les escrocs en ligne, quel honnête citoyen pourrait être contre ? L’ennui est que ces cibles prioritaires sont secondaires pour Aurore Bergé, la Marie-Chantal du clan Macronescu.

Elle les aborde à titre subsidiaire, dans un cadre plus général, carrément obsessionnel, où les méchants sont les patriotes dits d’extrême drouâte, et les gentils, les mahométans qui nous aiment tant et enrichissent notre culture. Avec un objectif : aider Bruxelles à plumer les dissidents. Pour le compte des oligarques. Avec des miettes pour leurs sycophantes.

Levée aux aurores, la Bergé est mal réveillée

La mission qui lui a été confiée par le paltoquet giflé serait de protéger la société et les enfants de « la haine ». Un concept manipulé par l’extrême gauche qui a fait la fortune de l’ultra gauchiste Mathieu Kasowitz, dans un mauvais film éponyme en noir et blanc, sorti il y a trente ans.

Une ordure cinématographique adorée des bobos qui l’ont érigée en référence, dans laquelle les racailles valorisées à l’extrême sont des victimes et les flics des assassins. Du Merluchon avant l’heure. De quoi entretenir les rancœurs, et justifier les méfaits d’un banditisme ethnique qui ne ferait que se défendre. Où les émeutes seraient de la légitime défense. Celle que les juges refusent aux pères tranquilles menacés dans leur vie et leurs biens.

L’individu qui souhaite ardemment la prompte disparition des Français d’origine française et européenne, et leur Grand remplacement par des peuples venus du Sud, a pondu en 2011 une autre ordure cinématographique « L’ordre et la morale». Son désordre et son immoralité en novlangue, où il justifie l’assassinat en Nouvelle-Calédonie, de quatre gendarmes pris en otage par des indépendantistes.

Vexé dans son orgueil de petit bourge révolutionnaire, le génial metteur en scène qu’il croit être est ulcéré que ses nouvelles vomissures ne soient pas récompensées des césars, oscars, carambars et calamars comme « La haine » sous les applaudissements debout de la caste politico-médiatique. « J’encule le cinéma français. Allez vous faire baiser avec vos films de merde » dira-t-il. Puisque les seuls bons films sont les siens.

Pour l’anecdote, cet individu devenu la référence intellectuelle du gouvernement a été condamné en 2019 à une peine très légère pour possession de produits stupéfiants et injures aux forces de l’ordre qu’il trouve « bien susceptibles » (sic) dans un modèle d’inversion accusatoire sous le nez de magistrats bien indulgents.

Pour que les moutons ne s’écartent pas du troupeau, Aurore la bergère a rameuté le ban et l’arrière-ban de toutes les crapules liberticides.

Cette « haine » qui déborde largement du cadre sémantique en fonction des intentions que le pouvoir prête à ses ennemis est une aubaine de plus pour tous les garde-chiourmes de la ripoublique et les parasites subventionnés.

Elle a convoqué à son ministère, terminus de la liberté, des représentants de Meta, Snapchat, TikTok, Twitch, YouTube et X pour leur rappeler l’obligation de modération des contenus haineux sur leurs plateformes. Étaient présents l’Arcom, la Gestapo de l’audiovisuel et du numérique, Pharos, un site gouvernemental de délation en ligne, ainsi que Clara Chappaz la ministre chargée de l’Intelligence artificielle qui ne brille pas beaucoup par son intelligence naturelle.

Manquaient à l’appel les « signaleurs de confiance », encore une invention des Macronescu, des mouchards rémunérés pour piéger et dénoncer à l’Arcom ceux qui pensent mal. Les pères et mères fouettard nommés par le dictateur se chargeront ensuite de les persécuter et de les ruiner comme il se doit.

Bien entendu, toutes ces saloperies sont enrobées dans une houppelande de vertu 2.0

L’objectif serait de faire retirer prioritairement les contenus illicites sur les réseaux sociaux. Les propos racistes, antisémites, sexistes ou anti-LGBT en font partie. « Je ne suis pas là pour imposer un point de vue moral, mais pour rappeler le cadre légal qui s’applique aux réseaux sociaux», a affirmé la bergère déguisée en loup-garou.

Mais elle se garde bien de dire qu’on est revenus au Moyen Âge pour la définition des infractions et l’application des sanctions. Intuitu personae. Comme quand braconner un lapin valait la potence à un gueux tandis qu’un assassin aristo était pardonné. JMLP condamné pour de mauvais calembours. Des islamo-gauchistes relaxés pour des appels au meurtre. On ne doit pas enseigner à Sciences Pots de chambre l’abolition des privilèges et droits seigneuriaux, le 4 août 1789.

Par ailleurs, elle exprime la vassalisation de la France soumise aux diktats germaniques de l’Eurocrature, en évoquant comme allant de soi la domination du Digital Services Act (DSA) qui définit des délits et des peines, non votés par le Parlement, en violation de l’article 34 de notre Constitution… En aggravant les dispositions de la loi Avia annulée par le Conseil constitutionnel faisant preuve, pour une fois, de bon sens et de courage.

Dans son immense mansuétude, le führerin Pustula la Hyène a octroyé un délai de 24 heures pour faire amende honorable. En clair retirer les propos litigieux et dénoncer leurs auteurs à la police de la pensée. Sinon la punition pourra atteindre 6 % du chiffre d’affaires mondial de la plateforme si elle ne se soumet pas aux cenSSeurs. En avant le racket !

Les exceptions sont si nombreuses, si nébuleuses, si aléatoires et si arbitraires que ces mesures ne peuvent se prévaloir d’aucune légitimité.

Le racisme, c’est mal. Les injures racistes aussi. Mais pas quand il s’agit d’islamistes. Il y a trop à perdre avec les Émirats. Et c’est trop risqué avec les bandes d’émeutiers qui ne demandent qu’à se reconstituer. La remarque vaut aussi pour le dénigrement des femmes, l’antisémitisme, l’homophobie et l’apologie du terrorisme. C’est illégal, mais on préfère ne rien voir quand les coupables ont un certain profil. Afin de ne pas jeter de l’huile sur le feu.

C’est plus facile de traquer et harceler des personnes excédées qui peuvent tenir des propos excessifs, mais n’ont jamais été poursuivies pour avoir commis des délits de droit commun. Autres que ceux de la mal-pensance.

Mais il n’y a pas que ça. La petite dame ne doit pas savoir que les réseaux de vente de produits stupéfiants, de pédophilie et de prostitution enfantine sont hors de portée de son arquebuse. D’abord parce qu’ils opèrent depuis le dark web sur lequel elle n’a aucune emprise. Et ensuite, parce que souvent, ces mafias fournissent des hautes personnalités de la politique, de la finance, de l’industrie, des médias et du spectacle, quand ces crapules ne sont pas carrément aux manettes.

Que sont en comparaison de ces crimes, les plateformes de publicités plus ou mois bien déguisées où des « influenceurs » en prennent à leur aise ? Diffusant pour beaucoup depuis l’étranger, se sabordant pour renaître ailleurs si la webstapo s’intéresse d’un peu trop près à leurs faisanderies.

Véronique Béchu, commandante de police, relativise les capacités répressives de la bobo Bergé

Son champ d’action : le grooming (manipulation pour piéger un mineur à des fins sexuelles), les sextorsions et les revenge porn (diffusion d’images privées à l’insu des acteurs pour leur nuire ou les faire chanter). Des délits graves dont le nombre submerge les services de police. Quelles priorités établir parmi les 180.000 signalements annuels de violences aux mineurs sur les plate formes du web ? Lesquels sont des témoignages sincères ? Des plaintes justifiées ? Lesquels sont de la diffamation pure et simple ? Pour se faire un peu de blé par ricochet.

Sa conclusion est navrante : « La lutte contre la pédocriminalité n’est pas une priorité. Les mineurs ne votent pas et la lutte contre les violences qui leur sont faites coûte de l’argent, elle n’en rapporte pas. » Quand on en interpelle les auteurs, contrairement aux stupéfiants ou aux dossiers financiers, nous ne saisissons aucun avoir criminel ou très peu. » 

Apparemment, la Bergé n’en a rien à cirer. C’est plus intéressant de racketter des milliards sur le dos des GAFA lorsqu’ils laissent passer des remarques acrimonieuses sur la politique des Macronescu et la collusion du pouvoir avec les Frères musulmans. Et de dépouiller des particuliers lorsqu’ils s’insurgent contre les petites mafias tolérées par le gouvernement.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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