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FIGAROVOX/CHRONIQUE - Dans le sillage du Royaume-Uni, la ministre de l’Éducation Élisabeth Borne a indiqué que cette série qui traite des ravages causés par les réseaux sociaux sur les jeunes sera proposée comme support pédagogique dès la quatrième. Notre chroniqueuse salue cette initiative.
Aurélie Jean est docteur en sciences et entrepreneuse. Elle a notamment publié Le code a changé. Amour et sexualité au temps des algorithmes (L’Observatoire, 2024).
La ministre de l’Éducation nationale vient d’annoncer, non sans un certain retard, la mise à disposition de la série britannique Adolescence dans les écoles après avoir obtenu les droits. C’est une excellente nouvelle au regard de la puissance pédagogique et éducative de cette série, mais aussi malheureusement des tristes événements d’agressions impliquant des (pré)adolescents dont notre époque est régulièrement témoin. Mais pourquoi un tel retard ?
Il y a quelques mois, au pic de popularité de la série, alors que le Royaume-Uni venait d’annoncer la projection d’Adolescence dans les collèges et lycées, notre ministre avait rejeté cette idée. Selon elle, nous avions déjà de très bons contenus pédagogiques construits entre autres par l’audiovisuel public. Elle a raison ! Mais en quoi cela vaudrait-il de ne pas soutenir…