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Samedi 5 juillet 2025, Gringe retrouvait le festival Beauregard et Orelsan, chez lui à Caen. L’artiste s’est confié avec sincérité.
Par Arnaud Héroult Publié le 6 juil. 2025 à 16h43
Régional de l’étape au festival Beauregard, samedi 5 juillet 2025, Gringe était chez lui à Hérouville Saint-Clair près de Caen. Un concert particulier avec la venue (presque) surprise d’Orelsan sur scène. Liberté Caen l’a rencontré pour recueillir ses impressions après le show.
« Ça, on ne le voit pas sur tous les concerts »
Le public était particulièrement réceptif, six ans après votre dernier concert à Beauregard ?
C’est le lien qu’on a créé depuis mes premiers concerts au Cargö, mais je ne pensais pas qu’il y aurait autant de monde. Je ne m’attendais pas à ça. Des titres ont 13 ans et les gens connaissent. Ça, on ne le voit pas sur tous les concerts. On a fait un mélange Hypersensible et Casseurs Flowters, le public était très réactif.
Comment on prépare ce genre de concert avec « son » public ?
On a composé une set liste avec le nouvel album et un medley d’anciens titres qui a fonctionné. On voulait un medley Casseurs pour faire chanter le public. On voulait un truc de partage. Des gens ont grandi avec nous, et des jeunes sont arrivés aussi. Ça, c’est l’effet Orelsan qui fédère tous les publics.
Il y avait de l’énergie, c’était transcendant, encore plus dans la ville qui t’a vu grandir.
Orelsan vous a rejoint sur scène, c’est prévu depuis quand ?
Depuis que je suis programmé au festival. Orel est quelqu’un que j’aime beaucoup parce qu’il est très fidèle en amitié, il est très généreux et on a toujours le feu. Orel a dit « bien sûr, je viens ». Orelsan, c’est la cerise sur le gâteau, pour nous et pour les gens. C’était fou avec Orel ce soir ! C’est toujours un kif pour nous deux. C’est toujours le feu. Lui, il l’a, il est taillé pour ça.
Vers l’écriture et le cinéma
La suite pour vous, c’est quoi ?
La suite logique, c’est la littérature, le cinéma. Je ne dis pas que j’abandonne totalement le rap, il ne faut jamais dire jamais.
En 2019 vous portiez le maillot du Stade Malherbe, c’est de l’histoire ancienne ?
Non, pas du tout. Je vais déménager de Paris, je suis un provincial. En préparant mes cartons, j’ai retrouvé le maillot, il compte toujours pour moi !
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