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Pendant quatre ans, il s’est préparé, a mis en place une administration solide et cohérente, et cette administration est au pouvoir. Les commentateurs français disent qu’il n’y a plus d’adultes dans la pièce, je dirai : il n’y a désormais que des adultes dans la pièce, et les traîtres et les médiocres ont été éliminés. Des gens de qualité ont été éliminés aussi : Trump a décidé de ne pardonner aucun manquement. Il considère qu’il a une mission à accomplir : redresser les États-Unis et rendre le monde plus sûr pour la liberté.
Ce qu’il a fait au cours des cent premiers jours de sa présidence est impressionnant et doit être souligné.
Sur un plan intérieur, Trump a mis fin à l’entrée d’immigrants illégaux dans le pays et mis fin aussi à l’entrée de Fentanyl, un produit qui était responsable de milliers de morts chaque année. Il fait construire les portions du mur de séparation avec le Mexique restées inachevées fin 2020, mais même avant que le mur soit achevé, sa politique porte ses fruits. La criminalité est en forte baisse partout dans le pays. Trump a défini les gangs les plus dangereux, MS 13 et Tren de Aragua, comme organisations terroristes, ce qui lui donne le droit constitutionnel de les expulser selon une procédure d’urgence absolue.
Il a fait reprendre à plein régime l’extraction de gaz et de pétrole de schiste et l’extraction de pétrole tout court, et il a presque totalement reconstitué les réserves stratégiques américaines que l’administration Biden avait vidées. Le prix du baril de pétrole est tombé à 58 dollars, 20 dollars de moins qu’en janvier. Les prix des carburants ont commencé à baisser, tout comme les prix dans les supermarchés. La baisse du prix du pétrole va aussi bénéficier à l’Europe. Elle va faire baisser fortement les revenus de la Russie, qui va avoir du mal à financer sa guerre.
Le DOGE et Elon Musk ont, sur les directives de Trump, fermé des services bureaucratiques inutiles, aboli le financement de recherches indignes de ce nom (pas celui des recherches dignes de ce nom comme on le dit en France), supprimé l’USAID (qui était devenu un moyen de financer le parti démocrate et la subversion gauchiste dans le monde) et les dépenses publiques ont baissé de plus de 160 milliards de dollars, et ce n’est qu’un début. Musk s’est fixé un objectif de 2000 milliards de dollars.
La taxe à l’importation de produits étrangers de dix pour cent est en place et ne produit pas de hausse des prix, car il n’y a pas d’augmentation massive de la masse monétaire américaine. La taxe est, en outre, compensée par la baisse du prix du pétrole et du gaz. Elle a produit, par contre, des investissements massifs aux États-Unis : plus de huit mille milliards de dollars en trois mois, et les investissements qui ont commencé vont créer des dizaines de milliers d’emplois. Les Européens qui ironisent peinent à trouver dix pour cent de cette somme pour reconstituer des forces armées dignes de ce nom en Europe et vont devoir, eux, faire tourner la planche à billets, ce qui ne sera pas le cas aux États-Unis puisque l’argent vient d’entreprises privées, qui investissent et attendent un retour sur investissements.
Les universités, telles Harvard, qui ont refusé les exigences de combat contre l’antisémitisme et contre la promotion du terrorisme islamique présentées par Trump ont perdu leurs dotations fédérales annuelles : Trump sera intransigeant face à l’antisémitisme et à la promotion du terrorisme islamique, qui ne doivent avoir aucune place dans les universités et dans le système scolaire américain.
Trump a mis fin aussi à la promotion de la transsexualité dans les écoles et les lycées, et a mis dans les textes une évidence, il y a deux sexes, masculin et féminin, et les hommes qui disent être des femmes pour exclure les femmes du sport féminin sont désormais interdits de compétition aux États-Unis.
Ce ne sont là que quelques-unes des mesures prises.
On peut ajouter l’abolition de toutes les réglementations mises en place sous l’administration Biden en matière écologique radicale, ce qui est un geste libérateur pour les entreprises américaines et celles qui s’implantent aux États-Unis. L’une des premières décisions de Trump a été de faire sortir les États-Unis des très socialistes accords de Paris sur le climat, qui sont en train de tuer l’Europe.
Les journaux français et les démocrates ont dit qu’il y avait eu un chiffre indiquant une croissance négative au premier trimestre, mais oublient de dire que, dans le calcul du produit intérieur brut, les activités administratives sont comptabilisées, et dès lors que des bureaucraties et des dépenses inutiles ont disparu, le chiffre de moins 0,3 pour cent de croissance du PIB est une excellente nouvelle.
Sur un plan extérieur, la guerre en Ukraine n’a pas pris fin, contrairement à ce que voulait Trump mais, je l’ai dit, c’est la faute au jusqu’auboutisme illusoire et délétère de Zelensky, Macron et d’autres dirigeants européens, et comme le dit Trump, cette guerre est celle de l’administration Biden, et si le jusqu’auboutisme persiste, il pourra s’en détourner et laisser Zelensky, Macron et les dirigeants européens qui le suivent face à leurs responsabilités. Trump a proposé le seul accord envisageable. Il a obtenu de Zelensky que l’Ukraine signe l’accord sur les minerais et les terres rares, qui sera un atout pour l’Ukraine si la guerre prend fin et si un accord de paix est signé. Mais il faudrait un front uni derrière les propositions de Trump pour obtenir un cessez-le-feu et l’acceptation par Poutine de l’accord proposé par Trump. Ce front uni n’existe pas. Macron, Starmer, Merz et Tusk se sont rendus à Kiev samedi, ont persisté dans le jusqu’auboutisme, et sommé Poutine d’accepter un cessez-le-feu inconditionnel que Poutine ne peut accepter. Trump a donné son aval à leur exigence tout en sachant que c’est une exigence vaine dont ni le quatuor de Kiev ni Zelensky n’ont les moyens. Poutine a proposé des négociations directes entre lui et l’Ukraine, sans parler de cessez-le-feu, sans associer les Européens et sans associer Trump aux négociations. Il sait que Trump envisage de se retirer et ne veut pas s’associer aux négociations. Il sait que le quatuor de Kiev et Zelensky n’ont effectivement pas les moyens. Il sait qu’il est en position de force. Je doute que Zelensky accepte la proposition de Poutine, et je pense que la guerre va continuer. Le quatuor de Kiev et Zelensky se conduisent de manière irresponsable, et Trump ne peut remédier à leur irresponsabilité. La continuation de la guerre se fera au détriment de l’Ukraine et de l’Europe. Ce ne sera pas la faute de Trump, et ses électeurs ne lui reprocheront rien. Les États-Unis sont loin de l’Ukraine et ont d’autres dossiers urgents à traiter.
Le dossier du nucléaire iranien n’est pas réglé, mais son règlement est en cours : Trump vient de mettre en place les conditions qui peuvent conduire à une nouvelle asphyxie du régime des mollahs si celui-ci ne répond pas aux exigences de Trump, l’asphyxie pourrait être rapide. Et les bombardements restent une possibilité concrète.
La destruction du Hamas à Gaza n’est pas achevée, mais elle le sera bientôt, et Israël gérera à nouveau la bande de Gaza. Il restera à permettre aux Arabes de Gaza de partir ailleurs, étape indispensable avant la reconstruction du territoire. Des centaines de milliers d’habitants de Gaza veulent partir et leur départ doit être facilité. Israël s’y emploiera.
Les milices Houthies peuvent encore nuire : on vient de le voir avec le missile tiré vers l’aéroport de Tel Aviv. Leurs dirigeants viennent de dire qu’ils acceptaient toutes les conditions américaines, ce qui signifie que les milices Houthies sont à l’agonie. Un différend entre Trump et Netanyahou sur le dossier iranien fait qu’Israël désormais bombardera seul les milices Houthies, ce qui ne changera rien à leur glissement vers la disparition. Je ne veux pas accorder trop d’importance à ce différend.
Je dois le souligner : avant le retour de Trump, personne ne parlait de faire la paix en Ukraine, personne ne sommait l’Iran de se débarrasser de ses installations nucléaires, et l’armée israélienne était freinée dans son action. Avant le retour de Trump, personne ne parlait de mettre les milices Houthies hors d’état de nuire, et les milices Houthies entravaient profondément la navigation dans la mer Rouge et la traversée du canal de Suez.
Trump utilise les taxes à l’importation comme des outils de négociation avec tous les pays qui ont placé des barrières tarifaires et non tarifaires face aux produits américains (quasiment tous les pays) et c’est une action salubre et indispensable qu’aucun président américain avant lui n’avait envisagée, car elle implique de la ténacité et du courage. Il est évident que les pays qui ont abusé des États-Unis ne peuvent qu’être mécontents. Des négociations sont en cours avec plus de 70 pays, et les pays qui ne feront pas ce que Trump demande en subiront les conséquences. Les États-Unis représentent moins de cinq pour cent de la population mondiale, mais 40 pour cent de la consommation mondiale. L’intérêt bien compris des pays européens est d’écouter Donald Trump plutôt qu’ironiser ou se scandaliser : l’Europe est protectionniste et se comporte en assisté ingrat, cela doit cesser. Les États-Unis ne peuvent continuer à avoir une balance commerciale et une balance des paiements déficitaires. Aucun pays ne peut survivre longtemps avec une balance commerciale et une balance des paiements déficitaires. Et on veut l’oublier sans cesse, les États-Unis sont, de fait, les garants de l’ordre du monde. Le Royaume-Uni a été le premier pays à signer un accord avec l’administration Trump, et cet accord va permettre aux entreprises américaines de vendre de multiples produits au Royaume-Uni, quasiment sans taxes à l’importation et en échange, Trump permettra aux entreprises automobiles britanniques de vendre des voitures aux États-Unis quasiment sans taxes à l’importation. C’est un accord gagnant-gagnant qui sera suivi par d’autres accords du même type. Trump va révolutionner les échanges commerciaux mondiaux en érodant les barrières tarifaires et non tarifaires, et mettre fin aux abus pratiqués à l’encontre des États-Unis.
Trump utilise les taxes à l’importation de manière massive face à la Chine, et il importe de comprendre pourquoi il le fait : la Chine est un État communiste prédateur qui vole la propriété intellectuelle des entreprises occidentales et qui veut dominer le monde. La domination du monde par une puissance communiste devrait être considérée comme impensable et inadmissible par toute personne saine d’esprit. Trump veut obtenir de la Chine des changements radicaux et contrer l’action prédatrice de la dernière grande puissance totalitaire.
Il est, depuis 2001, l’année où la Chine a été autorisée à entrer dans l’Organisation Mondiale du Commerce grâce à l’aveuglement de tous les dirigeants occidentaux, y compris George Walker Bush, le premier président des États-Unis à prendre vraiment au sérieux la menace chinoise. Et cela doit être salué.
Il parviendra à ses fins : la Chine ne peut pas se passer de 40 pour cent de la consommation mondiale, non. Des négociations entre Scott Bessent, Jamieson Greer et des diplomates chinois sont en cours à Genève. La Chine est en très mauvaise situation économique et n’est pas du tout en position de force.
Certes, les juges de gauche et d’extrême gauche mis en place sous Obama et sous Biden font tout pour bloquer l’action de Trump et parviennent à la freiner. Certes aussi, la Cour Suprême des États-Unis inclut seulement deux juges conservateurs dignes de ce nom, Samuel Alito et Clarence Thomas, et peut elle-même prendre des décisions entravant l’action de Trump (les trois juges nommés par Trump lors de son premier mandat, Neil Gorsuch, Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett, manquent de consistance, hélas).
Certes, les grands médias américains sont en rage contre Trump, et les démocrates sont plus que jamais imprégnés d’une frénésie gauchiste insensée qui montre que Trump doit écarter le risque de voir les élections de mi-mandat conduire au moindre recul républicain.
Néanmoins la présidence Trump s’annonce comme l’une des présidences les plus importantes et les plus révolutionnaires de l’histoire des États-Unis.
Elle commence à peine. Et comme l’a dit Trump : « vous n’avez encore rien vu ».
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.