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D’abord, qu’est-ce que cette « Fête de la Musique »? Il s’agit d’un événement culturel célébré en France chaque année le jour du solstice d’été depuis 1982. L’initiative du ministère de la Culture socialiste Jack Lang vise à « démocratiser » l’accès à la musique en encourageant musiciens amateurs et professionnels à se produire gratuitement dans les rues, les places publiques, les bars ou les institutions culturelles. La fête repose sur le principe que « la musique est partout et le concert nulle part », valorisant la spontanéité, la diversité des genres (du classique au rap) et la participation citoyenne.
Des musiciens classiques ou jazz jouent dans les cafés, restos, galeries, parfois même chez des particuliers qui ouvrent leur cour ou leur salon. Dans de nombreuses villes et villages, des DJ installent leurs équipements à l’extérieur, sur des places publiques, trottoirs ou devant des bars, ce qui donne lieu à de véritables mini-boîtes de nuit à ciel ouvert, parfois avec des jeux de lumière et de la fumée avec une piste de danse improvisée sur l’asphalte. À Paris, le centre Point Éphémère offre des sets de DJ gratuits, qui ont lieu de 15h à 4h dans quatre espaces différents, incluant des pistes de danse en plein air.
Les artistes ne sont pas rémunérés, mais jouent bénévolement, par passion ou dans le but de se faire connaître. Aucun prix d’entrée ne peut être demandé, même si les établissements ont le droit de vendre des consommations. La Fête de la Musique repose sur un principe clair : tout doit être gratuit, pour le public comme pour les artistes.
La France contemporaine n’est plus celle de 1982. La soirée du 21 juin 2025 a été marquée par une succession de débordements, d’actes de violence et de troubles urbains, sur fond d’incendies volontaires et de dégradations. À Paris et dans plusieurs grandes villes, les festivités de la Fête de la Musique ont été marquées par des rixes, des agressions, des vols avec violence, des dégradations de commerces – dont le pillage de plusieurs enseignes du centre de la capitale – ainsi que par des affrontements avec les forces de l’ordre, qui ont entraîné 371 interpellations et 305 gardes à vue. On dénombre 14 blessés graves parmi les civils et 13 policiers légèrement atteints, tandis que plus de 1 500 personnes ont dû être prises en charge par les secours. Les incendies volontaires ont également été nombreux, avec 51 véhicules brûlés et 39 feux allumés sur la voie publique.

On ne peut pas dissocier cette dégénérescence de l’ensauvagement de la société française au terme de décennies d’immigration massive et non contrôlée. N’en déplaise à l’animateur/présentateur devenu député de La France Insoumise, Aymeric Caron, selon qui « les agités (…) étaient tous blancs », les vidéos montrent clairement une surreprésentation d’individus de provenance extra-européenne, dont certains sont probablement en situation irrégulière. La présence de clandestins sur le territoire français n’est un secret pour personne. Le mépris d’une portion des personnes issues de l’immigration envers la France non plus.

Parmi les incidents constatés, le parquet de Paris fait état de nombreux coups de couteau, y compris des violences aggravées avec arme blanche.
Par ailleurs, une vague d’agressions sexuelles a été rapportée dans le centre de la capitale, notamment autour du quartier des Halles, avec plusieurs dizaines de viols, tentatives ou attouchements non consentis signalés aux autorités.

Dans ce contexte déjà alarmant, un phénomène inédit a suscité une couche d’inquiétude supplémentaire : environ 145 personnes, principalement des jeunes femmes, ont rapporté avoir été piquées à l’aide de seringues alors qu’elles se trouvaient dans la foule. Selon les bilans officiels du ministère de l’Intérieur et les sources médiatiques, douze suspects ont été interpellés, certains en possession de seringues, et les victimes ont été hospitalisées pour des analyses toxicologiques, alors qu’il reste incertain si des substances comme du GHB ou du Rohypnol ont réellement été injectées. Les victimes ont ressenti des effets subtils comme un malaise ou la nausée, mais aucune intoxication grave n’a été prouvée.
Avant la Fête de la Musique de 2025, certains comptes avaient relayé sur Instagram et X (ancien Twitter) des messages alertant de rumeurs selon lesquelles des appels seraient lancés pour piquer des femmes dans la foule. Le ton était souvent alarmiste et vague, sans détails concrets sur l’origine, mais on parle de groupes privés sur les réseaux sociaux et de canaux sur Telegram. La possible coordination sur les réseaux sociaux fait désormais l’objet d’enquêtes policières, mais aucun réseau structuré n’a été identifié à ce stade. Une douzaine de suspects ont toutefois été placés en garde à vue. Selon le média français Frontières, plusieurs étrangers en situation irrégulière ainsi que des individus déjà connus des forces de l’ordre figurent sur la liste des suspects interpellés.
Depuis 2021, des cas similaires de « piqûres sauvages » ont été signalés en France, notamment dans des boîtes de nuit et festivals, souvent sans preuve d’injection de substances toxiques. À Nancy ou Limoges, certains suspects ont été poursuivis pour violences avec arme par destination, mais la plupart des victimes présentaient peu ou pas de symptômes graves. Les aiguilles utilisées étaient souvent rudimentaires, et les secours ont surtout rapporté des malaises légers.
Au-delà du préjudice physique, qui heureusement a plus souvent qu’autrement été léger, ces attaques à la piqûre ont un impact psychologique profond : elles suscitent une peur omniprésente de la contamination, du viol ou de l’atteinte à l’intégrité physique. Ce geste anonyme, furtif et souvent impossible à prévenir ou identifier dans une foule dense, induit un sentiment de vulnérabilité, particulièrement chez les femmes vu qu’elles sont principalement visées. La violence réside autant dans l’acte que dans le climat d’insécurité et de méfiance qu’il installe durablement.
Qu’est-ce qui se profile derrière ces attaques? Est-ce un stupide défi que se sont lancé de jeunes hommes qui méprisent la gente féminine? Ou une stratégie préméditée afin d’exacerber une déstabilisation sociale (déjà bien amorcée en France)? Ces piqûres pourraient-elles viser la mixité homme-femme et les fêtes jugées « haram » par les intégristes? De nombreux témoignages font état de pressions sociales envers des femmes habillées « à l’occidentale », jugées trop dénudées, qui se font interpeller, voire insulter, dans certains quartiers à forte population musulmane. Il serait naïf de ne pas considérer de possible lien entre ses « piqûres sauvages » soit avec la « racaille des banlieues » ou avec une pression islamiste. Après tout, les agressions sexuelles de masse survenues à Cologne lors de la nuit du Nouvel An 2015–2016 ont été largement attribuées à des hommes d’origine nord-africaine ou arabe, en grande majorité des migrants ou demandeurs d’asile. Un changement de population entraîne un changement de mœurs. Comme noté plus haut, cette édition de la Fête de la Musique confirme que la France contemporaine n’est plus celle de 1982.