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Au moins trois jours de deuil s’imposent après les  réjouissances suite à la victoire du PSG, la mère porteuse du Qatar, qui ont fait des morts et des blessés et entraîné des pillages, des razzias et des destructions à la mode du djihad islamique.

Le bilan de ces réjouissances est très lourd. On compte deux morts et plusieurs blessés, dont des blessés graves. À Paris, un conducteur de scooter d’une vingtaine d’années a été mortellement percuté par une voiture. À Dax, en marge d’une fan-zone, un jeune homme de 17 ans a été poignardé et a succombé à ses blessures. Concernant les blessés, on a déploré à Paris 192 personnes touchées dans le public, dont quatre graves.

De source policière rapportée par Le Figaro, 22 gendarmes et policiers ont été blessés (dont 18 à Paris) ainsi que sept pompiers. À Coutances (Manche), un policier a été touché à l’arcade sourcilière par un feu d’artifice. Hospitalisé, il a été plongé dans un coma artificiel.

La victoire dudit PSG a donné lieu à une magnifique manifestation du djihadisme. Un message fort adressé au pouvoir. Ce n’est point surprenant. Cela fait plusieurs jours que le pouvoir et ses médias déblatèrent sur un rapport sur les Frères musulmans. Un rapport qui, finalement, ne dit absolument rien sur le danger des Frères musulmans en France.

La racaille, qui célèbre la victoire du PSG, semble dire que le Macron peut se torcher de ce rapport. Le Bayrou aussi. Mais peut-être que le Macron s’en est déjà servi.

Il l’a en sa possession dans les toilettes depuis plusieurs mois. Il le lit en évacuant.

Ledit rapport a suscité la convocation du Conseil de Défense et de Sécurité nationale. Un Conseil présidé par le Macron lui-même, mais qui semble s’en foutre. Une nouvelle réunion dudit Conseil doit se tenir en ce début de juin. Mais tout le monde s’en fout.

On serait reconnaissants au Qatar s’il délocalisait son équipe dite PSG en Turquie, au Sri Lanka, au Bangladesh ou ailleurs.

Le PSG, pour être et rester parisien, doit être purifié. Il doit être purifié de la mainmise de l’islam.

Et du Qatar.

Messin’Issa