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Les appels à la démission de la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, s’accumulent. Mercredi, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) a emboîté le pas à la Confédération des syndicats nationaux (CSN) qui avait réclamé son départ lundi.
La CSQ lui reproche entre autres de « manquer de sensibilité aux multiples coupes » qui touchent le réseau collégial.
La Presse avait révélé lundi que les cégeps vont devoir composer avec un manque à gagner de 151 millions de dollars cette année. Il s’agit de compressions « sans précédent », selon la Fédération des cégeps.
« De son côté, la ministre est complètement indifférente à tout ce qui affecte le réseau globalement. Elle choisit plutôt de faire de la microgestion directement dans les établissements sur des sujets qui ne la concernent pas », a soutenu le président de la Centrale des syndicats du Québec, Éric Gingras, dans un communiqué.
En décembre dernier, le gouvernement caquiste avait lancé des enquêtes sur « la sécurité des étudiants » dans les collèges montréalais Vanier et Dawson, dans le contexte de tensions liées à la guerre qui se déroule au Proche-Orient.
Certains exemples évoqués par Mme Déry pour expliquer cette démarche étaient toutefois « inexacts », avait relevé le Syndicat des professeurs du Collège Dawson. De son côté, le Collège Vanier avait dit n’avoir traité « aucune plainte » justifiant ces enquêtes.
D’autres détails suivront.