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CHRONIQUE - Que le nouveau représentant de l’État dans les Hauts-de-Seine ouvre sa mission en désignant l’islamisme comme l’une de ses priorités n’est pas un hasard. C’est parce qu’il connaissait son sujet qu’il y a été envoyé.
C’est une première. Non pas qu’un préfet de la République présente devant son conseil départemental sa feuille de route depuis sa nomination et qu’il y parle sécurité, immigration et laïcité, mais qu’il en fasse un document public signé par lui et publié par la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol)*, que le ministre de l’Intérieur choisit de préfacer. Lui-même l’ouvre par cette phrase : « La menace doit d’abord être clairement nommée, ce sont les islamistes. »
Ce préfet tout neuf, c’est Alexandre Brugère. Il aura 38 ans en juillet. Il s’est fait une réputation de « gros bosseur » armé de « sens politique ». Il a su gagner la confiance des très politiques Xavier Bertrand dans les Hauts-de-France, Gérald Darmanin, aux Comptes publics (à Bercy) puis à l’Intérieur (où il anime le « Beauvau de la sécurité » dont le protocole sera signé, non pas par la majorité, mais par tous les syndicats de policiers). Et c’est son nouveau ministre, Bruno Retailleau, qui le…