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EMMANUEL DUNAND/AFP
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À 66 ans, Alain Guilloteau est revenu en Touraine, sa terre natale, pour y ouvrir des chambres d'hôtes. Un nouveau projet professionnel loin des terrains d'opérations du GIGN. Pour « Marianne », il raconte sa carrière hors du commun de gendarme de ce corps d'élite, depuis les épreuves de sélection jusqu'aux huit jours passés comme otage en Nouvelle-Calédonie en 1988.
Petit, je passais mon temps à jouer avec les enfants des gendarmes, on habitait juste à côté de la caserne. Après mon service militaire, à la gendarmerie de Bergerac, j'y suis resté comme instructeur avant d'étudier à l’école de Gendarmerie de Montluçon (Allier) et un premier service à la brigade de Pithiviers (Loiret). En 1982, j’ai passé les tests pour entrer au GIGN, mais j'ai échoué à l’épreuve de natation.
Alors j'ai rejoint le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) et j’ai commencé à m’occuper de la protection le président du président de la République. La journée, je travaillais à Paris, parfois à l’étranger ou dans les Landes pour protéger Pascale et Justine, les petites-filles de François Mitterrand avec leur maman Françoise, ou dans le Gers avec Élisabeth et Adrien, sa belle-fille et son petit-fils.
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