NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Aïcha Kamoise, influenceuse camerounaise controversée, vient de présenter ses excuses publiques après avoir accusé Mélanie Kamayou, épouse d’André Onana, d’infidélité avec Harry Maguire. Cette volte-face spectaculaire intervient après le dépôt de plaintes pour diffamation en France et au Cameroun contre la blogueuse. Les accusations sans preuves de la « marmailleuse » des réseaux sociaux avaient créé un tollé international.
Dans une vidéo virale, Aïcha Kamoise avait affirmé que l’épouse du gardien de Manchester United entretenait une liaison avec le défenseur anglais. Aucun média britannique n’a jamais confirmé ces allégations mensongères.
Plaintes internationales forcent Aïcha Kamoise aux excuses
Les conséquences judiciaires n’ont pas tardé. Mélanie Kamayou et Harry Maguire, sentant leur honneur bafoué, ont déposé des plaintes pour diffamation dans deux pays. Cette pression légale a contraint la blogueuse camerounaise à faire machine arrière.
« Si j’ai offensé quelqu’un dans mes propos, du plus profond de mon cœur, je m’en excuse », a déclaré Aïcha Kamoise dans sa lettre d’excuses. Un revirement à 180 degrés pour celle qui prétendait détenir des informations exclusives sur la vie privée du couple Onana.
La transcription de Fair Play Entertainment révèle l’embarras de l’influenceuse face aux multiples appels de ses proches lui conseillant de « retirer son pied » de cette affaire explosive.
Quand le « kongossa » dépasse les limites légales au Cameroun
« C’est le kongossa qui est plus fort que moi », avoue candidement Aïcha Kamoise, utilisant ce terme camerounais désignant les ragots. Cette confession illustre parfaitement les dérives des réseaux sociaux où la frontière entre information et diffamation s’estompe dangereusement.
L’affaire soulève des questions cruciales sur la responsabilité des influenceurs camerounais. Avec des millions de followers, leurs paroles peuvent détruire des réputations en quelques clics. Le cas Aïcha Kamoise pourrait créer un précédent juridique important pour encadrer les contenus diffamatoires au Cameroun.
Les plaintes déposées simultanément en Europe et en Afrique montrent la dimension internationale de cette affaire qui dépasse le simple « kongossa » local. Pour Mélanie Kamayou et André Onana, c’est une bataille pour préserver leur image familiale face aux rumeurs malveillantes.
Cette affaire marquera-t-elle un tournant dans la régulation des contenus diffamatoires sur les réseaux sociaux camerounais ?